Lorànt Deutsch : «moi qui suis fils de juif hongrois, petit-fils de déporté, on me traite de nazillon !»

Mis en cause mardi par le journaliste Gilles Verdez sur le plateau de “Touche pas à mon poste” sur D8, Lorànt Deutsch a redit son amour de la France : “Moi, j’ai envie de dire du bien de mon pays, c’est pas réac’ ». « Je trouve que votre livre est dangereux parce que c’est un livre de la France blanche, de la France nationaliste. Je trouve que vous nous ressortez une idée de l’histoire qui n’est plus enseignée depuis 1970 », a attaqué son contradicteur. “Est-ce qu’on a le droit d’aimer l’histoire de France ? Est-ce qu’on a le droit d’avoir envie de retranscrire et de raconter cette histoire de France sans être taxé de réac’ ou de facho ? » s’est interrogé Lorànt Deutsch avant de se plaindre que « (lui) qui (est) fils de juif hongrois, petit-fils de déporté, on (l’a) traité de nazillon » suite à la sortie d’Hexagone : Sur les routes de l’Histoire de France

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Qui est donc William Blanc, l’ « historien » critique du Métronome ? par Frédéric Laurent
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97 Comments

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  • 0 / 10
  • ranguin , 8 novembre 2013 @ 7 h 50 min

    Il faut virer ceux qui refuse l’intégration. Hassan II avait répondu à Anne Sinclair qui lui demandait comment les Marocain pouvaient s’intégrer dans notre pays, “Je peux vous dire qu’un Marocain ne s’intègrera jamais, culturellement il ne le peut pas. Votre immigration ne peut se faire, non s’en mal, sue d’Est en Ouest, comme cela s’est fait depuis la nuit des temps”.
    Méditez cela et vous comprendrez notre histoire.

  • ranguin , 8 novembre 2013 @ 7 h 52 min

    Vous ne perdez pas grand chose. Cet homme est un “nul”.

  • Will , 8 novembre 2013 @ 9 h 24 min

    Je ne suis pas d’accord avec cette vision. La Sarkozie a été une sorte de parenthèse bonapartiste (sans les résultats malheureusement). Si les Bonnets Rouges partent en croisade, c’est parce qu’Hollande imite très mal la façon de faire monarchiste. Mais je ne suis pas sûr que les français souhaitent un retour de l’immobilisme monarchique, ils ont été autant lassé par l’immobilisme chiraquien que l’agitation sarkozienne. Hollande est en dessous de ceux-là, ni homme d’action, ni homme d’Etat, d’où le mécontentement.

  • itou , 8 novembre 2013 @ 15 h 22 min

    VERDEZ est un marxiste pur jus (cf sa biographie). Sa réaction face à L Deutsch est caractéristique à savoir que pour un coco toute référence à l’histoire déclenche la haine, car racine et identité sont non conformes au répertoire doctrinaire marxiste. La seule évocation de toute racine historique est un crime odieux contre leur dialectique. Cela les mets hors d’eux (il suffit d’observer la réaction démentielle de Verdez qui immédiatement recourt à l’insulte: catho de droite fasciste pétainiste) Avec un coco il n’y a pas d’échange objectif possible car tout marxiste est avant tout dialecticien, partisan et violent. En régime marxiste Deutsch serait déjà au Goulag, d’abord par ce que juif, il appartient à une culture à forte identité, et qu’à ce titre il doit être considéré comme un ennemi au même titre qu’un catho.

  • itou , 8 novembre 2013 @ 15 h 47 min

    Détruire la France par le marxisme passe d’abord le sabotage organisé de l’enseignement de sa langue, de son histoire, donc des fondamentaux de son identité. Ajoutez à cela 18 millions d’immigrés de 1ère, 2è ou 3è génération qui dans leur très grande majorité rejettent l’intégration, soit un français sur quatre. Et l’on ose dire que les Français sont racistes simplement par ce qu’ils ont une indigestion d’émigration. Ajoutez à cela, sous prétexte de libération de la femme, le génocide de 10 000 000 de petits français génocidés à l’avortoir (250 000 par an depuis 40 ans). Ajoutez à cela une destruction planifiée de l’emploi, une désindustrialisation minutieusement organisée sous prétexte de mondialisation, une confiscation de la démocratie (le référendum trahi) et un endettement artificiel de l’état, des municipalités et la ruine des comptes sociaux. Tous les ingrédients sont réunis avec un zèle diabolique pour détruire l’identité, la dignité et le moral d’un peuple et de son état-nation. Cette trahison est l’œuvre de notre classe politique qui depuis 40 ans sous couvert d’une alternance démocratique bidon nous conduit à la guerre civile. A qui donc obéissent les traitres.

  • itou , 8 novembre 2013 @ 15 h 50 min

    le communiste craint l’histoire, car l’histoire est son antidote.

  • itou , 8 novembre 2013 @ 16 h 53 min

    c’est mot pour mot le langage de l’ump depuis 30 ans, voilà où ça nous a mené

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