Je suis blanc, Nadine Morano aussi, et candide avec çà, c’est à dire, selon la vieille coutume électorale romaine, revêtue de lin blanc.
Je suis aussi blanc de rage, car mes aïeux l’étaient et mes descendants connus et reconnus le sont, et qu’on voudrait que je fasse « table rase » de cette humanité dont mon ADN est témoin ?
Nadine Morano ne savait pas qu’il lui fallait être incolore, transparente, ectoplasme sans histoire pour être de parole autorisée, et qu’elle se devait d’être fécondée par la couleur du monde…
Mais elle a réagi, la Morano, et s’est souvenue que tout le continent européen, jusqu’au pays des Scythes, était blanc depuis au moins 100 000 ans. C’est ce puits profond de la longue mémoire qui lui a donné la fierté nécessaire pour l’affirmer.
On remarquera que sur le plateau du « cirque Rouquier » la contre argumentation d’un certain Moix fut d’asséner que la France serait peut-être bientôt musulmane, comme si ceci contredisait cela.
Quoi, les arabes seraient-ils de race noire ? Quoi, l’islam serait une race et on ne l’aurait pas su ?
“Ce méli-mélo signifie simplement que ces traîtres ont choisi d’inviter le monde entier, pourvu qu’il ne soit pas d’origine européenne, à s’installer en France et parallèlement en Europe.”
Ce méli-mélo signifie simplement que ces traîtres ont choisi d’inviter le monde entier, pourvu qu’il ne soit pas d’origine européenne, à s’installer en France et parallèlement en Europe.
Et Nadine Morano a tout bonnement réalisé que notre civilisation allait disparaître si notre peuple d’européens blancs venait à être, submergé d’abord, éradiqué ensuite, sous le flot des autres continents.
Mais il est des européens qui refusent de quitter la scène, et qui sont en train de redécouvrir que leur existence ne doit rien au hasard, mais tout à la volonté des centaines de générations qui les ont précédés. Ces hommes de « Cro-Magnon » de « Neandertal » ou d’ailleurs, en choisissant leurs femmes, en éduquant leurs enfants, et en reproduisant, en l’améliorant, le modèle d’origine, ont abouti au milliard d’individus européens de race blanche qui sont sur terre.
Les « scientifiques » en mission, comme Axel Cahn, peuvent nous asséner que les « hommes » sont « sortis » d’Afrique il y a 75 000 ans (Un 2 mars pour être précis) et qu’ils étaient noirs (Des traces de peau sur des os l’attestent probablement) leur propagande nous laisse froids. C’est probablement au fur et à mesure de leur avancée en terrain vierge qu’ils ont blanchi, mais en demeurant noirs au fond d’eux-mêmes, ce qu’ils veulent ignorer les marauds !
Certes, ils ont du rencontrer des néandertaliens qui eux n’arrivaient pas d’Afrique, et les ont décimés. Ô, les « scientifiques » en mission affirment qu’on ignore tout des causes de cette disparition, que « ces pauvres gens » étaient dotés d’une fragilité mortifère et d’une mortalité infantile qui ne leur auraient pas permis de survivre. Donc eux, les « indigènes », subissaient des conditions de vie (Qui durèrent jusqu’au début du vingtième siècle pour ce qui est de la mortalité infantile) dont les nouveaux arrivants, des migrants surement, auraient été exempts ! Et ceux-ci, inadaptés au rude climat de l’Europe, auraient survécu ? Sacrés gaillards que ces « africains » !
“Le même Axel Cahn continue son numéro en posant qu’entre un Scandinave et un Aborigène d’Australie, il y a moins de différence qu’entre l’Aborigène et un Africain.”
Mais de génocide, que nenni ! Et qu’on se le dise, il n’y a plus personne dans le monde des anthropologues et paléontologues pour soutenir le contraire (Celui qui l’oserait perdrait ses subventions et ses droits « acquis »).
Et le même Axel Cahn continue son numéro en posant qu’entre un Scandinave et un Aborigène d’Australie, il y a moins de différence qu’entre l’Aborigène et un Africain. Donc il y en a une entre le Scandinave et l’Africain, forcément. Et pourquoi passe-t-il par « l’Aborigène » pour comparer l’Européen à l’Africain, cela ne peut-il pas se faire directement ?
Donc, nous « sortons » d’Afrique et finalement nous avons de grandes différences génétiques avec les Africains. Dans cette confusion du non-savoir mêlé à de l’idéologie, la science fait grise mine. Vous me direz qu’elle est aussi foireuse quand on parle de climat ! Alors que reste-t-il de sérieux dans les dires de cette engeance ?
En conclusion, messieurs les savants, juste une anecdote. Lors de ma visite à la magnifique exposition sur le siècle d’Auguste au grand palais l’an dernier, nous nous tînmes, mon épouse et moi, devant la grande carte de l’empire romain de cette époque du début de notre ère. Je lui fis remarquer, non sans émotion, qu’elle était déjà potentiellement née en Gaule aquitaine et moi en Hispanie et en Italie, mais que mon lieu natal réel était déjà romain en Africa.
C’est dire si nous étions compatriotes, et si les discussions actuelles sont dérisoires.
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