Qu’importe, qu’il soit issu de l’immigration ou non, revendique son appartenance religieuse, c’est un droit que personne ne peut lui contester et qui est inscrit dans notre constitution, mais quand il se déclare d’abord de telle ou telle religion avant de se dire français, il y a bien un problème d’intégration, d’assimilation ou d’identification. Il est dommageable de constater que c’est principalement ceux qui se revendiquent de la religion mahométane, en la plaçant au-dessus des lois de la République, qui veulent absolument imposer leurs points de vues. Avec, il faut le répéter, la complicité bienveillante de la gauche en général et de ses satellites (les associations droit-de-l’hommistes et autres tartufferies) mais aussi de la droite, sans parler de certains “spécialistes” du fait religieux.
Si d’emblée, les élites avaient tenu bon sur nos principes républicains et laïcs, en rappelant à chaque immigré qui voulait s’installer définitivement sur notre sol ou qu’il l’était déjà, qu’être Français, cela se mérite, que cela ne donne pas seulement des droits, mais oblige à des devoirs, aurions-nous ce dilemme ?
Aucun immigré, avant l’arrivée massive de musulmans principalement algériens, n’a eu un comportement religieux aussi ostentatoire. La faute à qui ? Certainement pas à ceux, même si on peut leur reprocher, qui veulent imposer leurs concepts ; ils essaient et ça marche : pourquoi s’en priveraient-ils ? La faute est principalement imputable, depuis la loi sur le regroupement familial, à nos gouvernements successifs de droite comme de gauche qui font entrer, bon an mal an, 200 000 immigrés superflus sur notre territoire. Mais aussi aux maires et autres responsables “républicains laïcs” qui non seulement ont encouragé et conforté le communautarisme en donnant le feu vert à des constructions de mosquées monstrueuses, la plupart du temps surabondantes et le plus souvent avec l’argent des contribuables par tous les moyens détournés possibles quand ce n’est pas franchement à coups de subventions illégales et contraires à la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Que dire de ces élus républicains qui organisent toujours aux frais des contribuables des fêtes et des manifestations en l’honneur de “nos compatriotes musulmans” ?
Quelle que soit la religion que l’on pratique, celle-ci doit rester une affaire de croyance privée. La pratique religieuse ne vainc pas mieux à être ostentatoire. À part quelque décérébrés illuminés ou quelques militants intégristes qui ne conçoivent la religion que comme un moyen de conquête politique et qui n’ont toujours pas compris qu’en voulant trop en faire, cela risquera bien un jour de se retourner contre eux, la grande masse des croyants de presque toutes les religions, sont plutôt discrets ou ne pratiquent pas. C’est également vrai pour les musulmans, mais qui par leur silence assourdissant devant la multiplication de signes religieux manifestes tels que le voile, le jilbab ou la burqa pour les femmes et la djellaba ou le kami et la grande barbe pour les hommes (comme là-bas…) cautionnent peu ou prou cette dérive communautaire qui devient pesante et même accablante. Trop, c’est trop : réveillez-vous, les “modérés” !
Quant aux autres décérébrés – souvent de troisième ou quatrième génération – voyous, casseurs, dealers ou profiteurs qui polluent nos cités et nos quartiers et qui se disent algériens musulmans d’abord et ensuite accessoirement français, ils feraient bien de réfléchir un peu que la double nationalité que la plupart d’entre eux revendiquent ne les protégera pas toujours, mais pourrait bien être un argument irrécusable pour les renvoyer “chez eux”. Ce qui aurait dû être mis en œuvre depuis longtemps contre tout délinquant “étranger” si nous avions eut des gouvernements respectables et respectueux des droits et des devoirs de chacun. La double nationalité peut se justifier quand l’immigré songe un jour ou l’autre à rentrer dans son pays d’origine, mais quand il s’agit de Français nés en France souvent de parents Français cela est tout de même curieux et suspect. Ce ne sont probablement que des Français de papier, pour avoir des droits, que des droits, mais pas de devoirs envers une patrie qui les a éduqués, nourris, entretenus et supportés, mais qu’ils méprisent et détestent copieusement en brûlant et en crachant sur le drapeau tricolore français ou en sifflant l’hymne national, “La Marseillaise”.
Ils s’étonneront, ces “croyants”, que 74% des Français considèrent l’islam comme une religion intolérante et que 60% la jugent menaçante pour l’identité française…
Et il faudra bien, un jour, régler aussi ce problème de double nationalité non justifiée.
Ces doubles-nationaux, ces musulmans : “une chance pour la France” ?
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