Nicolas ,
Non, je ne serai pas parmi vous.
Je ne crois plus en Nicolas Sarkozy, tel qu’il se présente aujourd’hui. Et pourtant, en 2007, j’ai été un militant très actif, probablement le plus actif du Morbihan. Dans la circo de Goulard, où le mot d’ordre était de ne rien faire, j’ai créé et animé 10 comités de soutien. J’ai aussi milité en 2012.
J’apporterai ma voix et mon soutien financier au parti qui osera prononcer clairement les mots :
– arrêt de l’islamisation
– arrêt de la déconstruction de la France : histoire, culture, enseignement, famille, nation
– arrêt de l’immigration (comme en Australie)
– réduction drastique des dépenses aux différents étages des fonctions publiques et territoriales pour tendre en 10 ans vers le niveau allemand : 55 fonctionnaires pour 1 000 habitants contre 95 en France
– entente cordiale avec la Russie au lieu de suivre bêtement les Américains dont l’objectif énoncé par Brzeziński en 1996 ou 97 est d’empêcher un rapprochement de l’Europe avec la Russie par tous les moyens – y compris fomenter une guerre en Ukraine .
Prononcer ces mots – tabous pour le politiquement correct -, ce serait un premier pas : accepter de regarder en face les périls qui menacent plus que jamais la France. C’est, notamment, oser dire au Peuple qu’on va sortir du déni d’une réalité qui a commencé avec Giscard et son “regroupement familial”
Le deuxième pas sera de les graver dans le marbre d’un programme. Si la droite parlementaire ne s’y colle pas, elle sera ba-la-yée. Maintenant que le FN est libéré de sa xénophobie, le “Peuple de droite” a une alternative, et il va la saisir si la classe politique continue à l’ignorer et le traiter par ce mépris qui consiste à lui faire des promesses sans les tenir, tout en omettant de faire des promesses concernant les problèmes réels.
Aujourd’hui il n’y a aucun signe d’un premier pas. Si “Les Républicains” n’affichent pas leur détermination aux prochaines élections, je voterai FN, y compris au 2e tour de la présidentielle. (…)
Gilles L.M.
58 Comments
Comments are closed.