Invasion migratoire : la France doit entrer en résistance avec Viktor Orbàn

Tous à la manifestation du samedi 7 novembre à 15 heures à Paris devant l’ambassade de Hongrie !

(Ambassade de Hongrie  5, square de l’avenue Foch 75016 Paris – Métro : RER avenue Foch)

Entretien avec Karim Ouchik, président du SIEL, organisateur de cette 2e manifestation contre l’invasion de l’Europe.

1. Le SIEL, que vous présidez, organise une manifestation, le 7 novembre, en soutien à la Hongrie. Pourquoi ce soutien ?

Avec le SIEL, je veux exprimer le soutien des Français à la politique d’indépendance nationale de Viktor Orban car je suis convaincu que le combat courageux du premier ministre hongrois est le nôtre. Depuis plusieurs mois, cette forte personnalité alerte les opinions publiques européennes sur les dangers du chaos migratoire qui s’est abattu sur notre continent. Les grands équilibres ethnico-culturels européens sont bouleversés par l’arrivée de ces centaines de milliers de migrants clandestins : non seulement les autorités de l’Union européenne laissent un tel phénomène s’amplifier, mais elles s’appliquent à organiser méthodiquement, avec le système de quotas forcés, un véritable processus de substitution de peuples, sous la houlette autoritaire d’Angela Merkel, grand architecte de l’invasion migratoire. Paris est malheureusement complice de cette politique suicidaire alors que notre pays devrait prendre exemple sur la politique hongroise : comme nos amis Hongrois qui soutiennent massivement leur gouvernement, nous devons en France tourner le dos aux oukazes de la chancelière allemande, résister aux contingents migratoires et défendre notre modèle de civilisation.

2. Plusieurs autres pays d’Europe de l’Est ont commencé à réagir également contre l’arrivée massive d’immigrés clandestins. Pensez-vous qu’il soit possible de fédérer les pays opposés à la submersion de l’Europe ?

Comme beaucoup de Français j’observe que la capacité de résistance des peuples s’expriment davantage en Europe centrale ou de l’Est, c’est à dire dans cette zone géographique qui fut autrefois dominée par des empires, russe ou austro-hongrois, qui surent préserver l’identité de leurs minorités ; sans doute aussi parce que ces pays de l’orient européen, longtemps isolés par la chape de plomb soviétique, ont été moins touchés par le matérialisme anglo-saxon et le phénomène de sécularisation qui a tant érodé le socle anthropologique chrétien de l’Europe occidentale. Animés par un élan vital profond, ces peuples éprouvent un attachement considérable à leurs héritages culturels façonnés par le christianisme. Il n’est donc guère étonnant que la résistance au chaos migratoire actuel s’organise d’abord en Hongrie, en Slovaquie, en Tchéquie ou en Pologne… Comme je pressens par ailleurs la prochaine mise en oeuvre par l’administration bruxelloise de mesures de rétorsion (sanction financières, mise au ban de l’UE…), il est urgent de leur apporter notre appui politique, en France comme partout ailleurs en Europe occidentale. En un mot comme en cent, j’appelle à l’organisation d’un mouvement de résistance des peuples européens, lesquels doivent prendre le maquis pendant qu’il en est encore temps. Le SIEL s’attelle à cette tâche.

3. L’une des causes majeures de la crise actuelle tient à l’abandon par la plupart des nations européennes du contrôle de leurs propres frontières, notamment dans le cadre du traité de Schengen. Est-il possible de revenir à un contrôle national des frontières, et, si oui, comment l’envisagez-vous ?

La mise en place de l’espace Schengen a démantelé nos frontières nationales en repoussant celles-ci aux marges de l’Europe, tout en confiant leur contrôle à des pays limitrophes qui se révèlent bien incapables d’y satisfaire, y compris en s’appuyant sur Frontex, l’agence européenne qui est chargée, sans grand succès, de sécuriser nos frontières extérieures. A quoi s’ajoute, à l’intérieur de l’Union européenne, le sacro-saint principe de liberté de circulation des biens et des personnes qui a fragilisé le contrôle des mouvements de populations. C’est pourquoi, il est essentiel de rétablir nos frontières intérieures en recouvrant au plus vite notre souveraineté territoriale : le démantèlement de l’espace Schengen constitue, à mes yeux, une nécessité absolue. Avec l’arrivée de plus de trois millions de ‘‘migrants’’ d’ici 2017, nul ne peut douter que la question de la maîtrise de nos frontières territoriales sera l’un des enjeux majeurs de la campagne des élections présidentielles…

4. Compte tenu des millions de personnes qui, sur la rive Sud, attendent de traverser la Méditerranée, les citoyens ont souvent l’impression que la politique ne peut, au mieux, que freiner la submersion, en aucun cas l’arrêter. Le pensez-vous également ?

Je ne crois pas au fatalisme en politique et le passé de notre pays de France en atteste largement : de Jeanne d’Arc à de Gaulle, des femmes et des hommes ont su se lever pour déjouer les prétendues logiques de l’Histoire. L’exemple de Viktor Orbàn démontre que le volontarisme politique est un facteur puissant de nature à modifier le cours des choses. Collectivement, nous pouvons donc peser sur nos élites et rompre avec la politique migratoire européenne, pour peu que nous agissions avec persévérance et conviction : le bulletin de vote est un moyen d’action politique ; l’expression pacifique de la colère populaire, dans la rue, en est un autre….

5. Dans les pays d’Europe de l’ouest, le décalage entre les opinions publiques et les dirigeants n’a jamais paru aussi important qu’en ce moment, et particulièrement sur le sujet de l’immigration. Ne pensez-vous pas que c’est, en réalité, l’ensemble du système dit par antiphrase de “démocratie représentative” qui est périmé? Et, dans ce cas; par quoi le remplacer ?

Le système médiatico-politique français est de moins en moins sûr de lui : les succès électoraux du FN en témoignent comme l’accrédite également la perte de vitesse de la Caste sur le terrain des idées. Pour le dire autrement, le Système a perdu la bataille des idées et, avec cette défaite, il ne lui est plus possible de détourner le peuple français de cette évidence : avec l’invasion migratoire actuelle, l’identité de l’Europe est menacée dans ses fondements ethniques et culturels. Le Grand remplacement est à l’œuvre. Avec le SIEL, le FN et d’autres formations politiques patriotes, une offre politique nouvelle se présente aux Français qui refuserait les faux-semblants et les renoncements. Un programme présidentiel s’élabore, un personnel de gouvernement se met en place : en somme, nous préparons une alternative authentique au Système politique actuel qui semble largement aux abois….

6. L’un des aspects de cette vague migratoire concerne le risque d’islamisation de l’Europe. Considérez-vous qu’il s’agisse d’un “fantasme populiste” ou pensez-vous que ce risque est réel? Et, dans ce dernier cas, comment pouvons-nous faire face à ce risque ?

L’essentiel des migrants clandestins qui gagnent le sol européen est de confession musulmane : c’est une réalité qui ne peut être ni occultée, ni minorée. Lorsque l’on voit à quel point il est difficile, en France, d’assimiler une partie des descendants d’immigrés de deuxième ou de troisième générations, il est à craindre que le travail d’intégration de plusieurs millions d’individus attachés à une confession, – qui par ailleurs porteuse de modes de vie radicalement étrangers à nos coutumes -, ne soit un exercice impossible à relever. Indépendamment des défis immédiats à affronter (logement, scolarisation, emploi…), ces mouvements massifs de populations ne peuvent à terme que déstabiliser profondément les sociétés d’accueils qui n’auront ni le temps suffisant, ni les moyens matériels de les assimiler. Concentrés en masse dans certaines portions attractives de nos territoires, ces ‘‘migrants’’ refuseront de surcroît, pour la plupart d’entre eux, de renoncer à leurs pratiques confessionnelles et à leurs cultures d’origine, lesquelles s’imposeront donc de facto aux populations autochtones. Si rien n’est fait pour enrayer le chaos migratoire actuel, le risque d’islamisation progressive de nos sociétés, déjà perceptible dans bien des villes françaises, sera une réalité qui se vérifiera sous peu en tous points de notre territoire.

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29 Comments

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  • richard b , 6 novembre 2015 @ 16 h 20 min

    Il le faudrait,! quant on voit des ministres chantés contre le FN, il se foutent pas mal du peuple, et quant on voit des abrutis qui les suivent , on n’est pas prêt de s’en sortir , tout le monde à peur,

  • jacky4546 , 6 novembre 2015 @ 17 h 30 min

    Penelope,
    pour abonder dans votre sens, voici la lettre que j’ai adressé à Holland, Valls, Cazeneuve et Fabius, le 31 août :

    Messieurs,
    J’ai eu la chance de vivre les 30 glorieuses; j’aurai bientôt le malheur d’avoir vécu les 40 déliquescentes, à cause des cinq derniers présidents de la République, même si le 9 mai 1981 la France ne devait encore rien à personne…

    Oui la Constitution Française prévoit l’asile aux opprimés. Mais elle prévoit aussi, qu’en prenant ses fonctions, le président de la République s’engage à protéger la France et les Français, ses concitoyens, de tous risques de toutes natures. Malheureusement, les Droits de l’Homme n’ont de valeur que pour ceux qui nous envahissent, et nous, nous n’avons que des devoirs, en particulier celui de les accueillir et d’assurer leur bien être, à nos frais, quelque soit notre situation, dont personne, semble-t-il, ne se préoccupe…

    Avec 3.000 milliards de dette (10 fois celle de la Grèce), et 5 millions de demandeurs d’emploi, la France ne peut accueillir toute la population d’Afrique et du Moyen Orient.
    Même Michel Rocard, ministre socialiste a dit – et ce fut, bien sûr, repris des dizaines de fois ensuite – : « nous ne pouvons accueillir toute la misère du monde ».
    Doit-on accueillir tous les Chinois qui souffrent, tous les Indiens, les Tibétains, les Brésiliens… ???

    Extraits d’une lettre de Georges Marchais, au recteur de la grande mosquée de Paris ; c’était en 1981 : « En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur familles la poursuite de l’ immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. La cote d’alerte est atteinte. C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration. Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration… »

    Douce France, où 14% de Français vivent au-dessous du seuil de pauvreté ;
    où 16% de ceux qui travaillent ne perçoivent pas assez pour finir le mois, certains même ne peuvent même pas se loger ;
    où les agriculteurs « crèvent de faim » ;
    où les artisans, PMI, PME et même les grosses entreprises sont assassinées de charges et impôts ;
    où l’Etat vole de plus en plus dans les caisses de retraites et autres caisses sociales ;
    où le pouvoir d’achat ne cesse de diminuer ;
    où l’on est contraint de faire appel aux dons pour sauver une fillette ou une jeune femme, qui ne peuvent être opérées qu’à Barcelone (Espagne) – et uniquement à Barcelone -, parce que la « Sécu » préfère partager l’argent de ceux qui triment et tentent de faire fonctionner ce Pays avec les parasites qui n’ont jamais cotisé le moindre centime en France ;
    Douce France, qui recrute des « soldats », juste pour leur offrir des baptêmes de l’air, pour faire rire les dirigeants de daèch…

    Les accueillir définitivement n’est pas la solution, pas même pour eux. Tous ceux qui ne sont pas vraiment des réfugiés de guerre – et c’est la majorité – doivent être immédiatement reconduits chez eux. Quant aux vrais réfugiés de guerre, leur accueil ne doit être que provisoire. Qu’attend-on pour vérifier ce qui est fait des subventions – dettes annulées = subventions – à ces pays. Le Général disait : « oui, Peyrefitte on peut les aider, mais il faut s’assurer que ces aides ne se transforment pas en robes Dior, ou en Rolls-Royce »

    L’image d’un enfant mort est toujours catastrophique. Mais il faut cesser de nous attendrir et nous culpabiliser. Combien d’enfants meurent chaque jour en France et dont personne ne parle, sauf bien sûr, lorsqu’il s’agit de mort violente telles celles qui ont fait l’actualité récemment ? Combien sont mort en mer dont on n’a pu avoir des images ?

    A l’inverse, on s’est bien garder de nous informer du viol d’une fillette allemande de 7 ans, en août, à Chemnits (Saxe), par un migrant…De même que l’on s’est bien gardé de relaté l’assassinat, également en août, en Italie, d’un couple de personnes âgées de 68 et 70 ans, par un jeune Ivoirien qui, lui, n’a aucun problème politique dans son pays, et qui aurait donc dû être immédiatement refoulé.

    Par ailleurs, malgré les commentaires des journaleux de gauche, qui ne savent quoi faire pour nous culpabiliser, et qui, comme de coutume ne correspondent pas aux images transmises, j’ai noté que ces pauvres gens, ces opprimés, qu’ils soient jeunes ou plus âgés, sont en pleine forme. Les enfants sont magnifiques de santé. Tous sont vêtus d’habits que je ne peux moi-même m’offrir, ils ont tous des téléphones mobiles et de l’argent plein les poches. Et je n’ai vu aucun d’eux porter le moindre pansement, le moindre bras en écharpe, la moindre paire de béquilles…Et où ont-ils pris l’argent nécessaire à leur passage et celui qu’ils ont sur eux. De plus, devant les caméras, ils se foutent de nous !

    Quelqu’un, parmi tous ces bien-pensants au cerveau ramoli, a-t-il pensé à posé à l’un de ces jeunes de 20 ans, la question de savoir s’il se sent bien dans sa peau, en demandant l’asile, en manifestant de surcroît, en revendiquant, avec arrogance, avec exigences, à un pays duquel les jeunes de son âge se battent et risquent leurs vies, chez lui, pour lui … ? A-t-il une idée de ce qu’il pensera dans 30 ans, en regardant en arrière et qu’il verra ce poltron de 20 ans qu’il était, et qui a fui son pays plutôt que de se battre ? Mais sans doute qu’il s’en moque. A-t-il un soupçon d’honneur ? Sans doute préfère-t-il vivre en parasite aux crochets de ceux qui l’accueillent. Mais quand la « Vieille Europe » se sera effondrée – car son effondrement est voulu et organisé par ceux qui, actuellement, prétendent « la faire », y compris les américains, et elle s’effondrera – quand il aura chassé ou exterminé le dernier Européen, il se retrouvera à la case départ, incapable de vivre de lui-même, dans un pays qu’il aura mis au niveau du sien, après l’avoir dévasté…

    Tout près de chez moi, en forêt d’Orléans, comme en bien d’autres lieux, sur les territoires occupés par les « Maquisards », en 42, 43, 44…, on peut voir des dizaines de sépultures de gosses de 15, 16, 17 ans, qui ont rejoint la Résistance, les armes à la main…

    Il y a 71 ans déjà, l’Europe a connu d’autres débarquements. Des gamins de 20 ans sont venus par milliers, non pour nous envahir et s’installer en parasites, mais pour se battre, pour libérer un pays qui n’était même pas le leur…Des milliers sont morts, un grand nombre sur les plages de Normandie ou de Provence, à peine débarqués de leurs « péniches », d’autres sur les routes de Paris, Strasbourg, Grenoble et ailleurs…Et quand en 51, 60.000 autres sont venus, pour 16 ans, dans le cadre de l’OTAN, ils sont venus pour nous aider à restaurer la France, et ils nous aimaient et nous respectaient ! En 66 j’avais 20 ans à mon tour, j’ai eu la chance d’être invité, en tant que soldat Français, à l’une des fêtes qu’ils donnaient à l’occasion de leur départ

    Quitte à se répéter : cet accueil ne peut donc être que provisoire. La solution c’est que tout doit être fait pour qu’ils puissent retourner et vivre chez eux. Votre comportement, vos décisions, constituent une pompe aspirante, et, quelque soit « le résultat des négociations et accords sur le climat et l’environnement » (dernière conférence de presse du président ??), il seront bientôt des millions qui envahiront l’Europe, attirés par nos systèmes sociaux qui finiront par imploser. D’ailleurs compte tenu des mensonges dont on nous gave, on en comptera certainement bien plus de 850.000 d’ici fin 2016…L’Allemagne a besoin de redorer son blason ? Alors puisque Madame Merkel prétend que c’est une chance pour elle, qu’elle les accueille tous !

    L’ONU, donneuse de leçons, comme Bruxelles, compte 193 pays membres dont les 22 pays les plus puissants au monde. Qu’attend-on pour former une coalition suffisamment puissante pour éradiquer ce cancer planétaire que sont daèche et l’état islamique. Pourquoi la France est-elle pratiquement seule sur le terrain, dans les basques du grand et faux frère, du grand et vrai faux cul d’outre Atlantique ? Que fait-on là- bas puisque vous avouez être impuissant contre ce fléau ? S’il ne s’agit que de jouer les Malbrough…, s’il ne s’agit que de faire croire que vous êtes les gendarmes du monde, comme de rêver de donner des leçons à Vladimir Poutine…, c’est totalement inutile. Faut-il croire que 191 pays ne se sentent pas concernés par ce problème ? Où est l’intérêt alors, de cette « organisation » ? Monsieur Jacques MYARD a raison, lui aussi : fut il dictateur – présumé, comme Saddam Hussein ou Kadhafi (on mesure les résultats de leurs morts) -, il faut absolument, pour pouvoir ensuite négocier avec lui, aider Bachar el-Assad, sous peine de voir s’installer à sa place Abou Bakar al-Baghadi, calife auto-proclamé de l’état islamique.

    A propos de Vladimir Poutine : combien d’armes auraient-on pu fournir à ces opprimés, avec le prix des deux Mistral ? Car c’est bien cela qu’il faudrait faire – leur fournir des armes -, plutôt que de les vendre à l’Arabie Saoudite qui les revend à Daeche ; plutôt que d’en fournir directement aux islamistes pour les aider à renverser Bachar el-Assad…En un mot, il faut rétablir la paix en Syrie ! Et ce n’est pas avec quelques promenades d’avions de chasse qu’on y parviendra !

    Qu’attend-on pour exiger de l’Arabie Saoudite, du Qatar et autres pays richissimes du Golfe qu’ils accueillent en premier leurs frères musulmans et voisins proches ? Malheureusement, parmi ces voisins, se trouvent des chrétiens, et même s’ils ne sont que 1%, il est hors de question de prendre ce risque, – chez eux, cela ferait tache – tandis que pour nous, absorber les 99% restant qui sont musulmans, cela ne pose aucun problème…

    Enfin, qui peut nous assurer avec certitude, que parmi ces migrants on ne compte pas des centaines, voir des milliers de jihadistes qui, lorsqu’ils seront suffisamment nombreux, déterreront les kalachnikov qu’Al-Quaïda éparpille tranquillement à partir de sa base qui n’est autre que Marseille, ce que tout le monde sait, mais sans lever le petit doigt.

    Il est grand temps également de se décider à expulser les 90% de demandeurs d’asile dont la demande a été rejetée, et non 10% seulement, comme c’est le cas.

    Quoi qu’il en soit, dans tous les cas, l’émigration est une catastrophe pour l’Afrique et le Moyen Orient, l’immigration est une catastrophe pour l’Europe.

    Il aura fallu plus de dix siècles aux Monarchies pour construire la France et lui donner sa splendeur. Un siècle et demi suffira aux Républiques – prétendues démocratiques – pour la détruire.
    Je dis bien prétendues démocratiques, car, une fois de plus, l’avis du peuple Français, pourtant premier concerné, ne vous intéresse pas.

    Quelque soit le domaine ou le sujet – politique étrangère, éducation dont on ne pense qu’à tirer le niveau vers le bas, social, sécurité, croissance… – JAMAIS, depuis qu’elle s’appelle France, la France n’a été aux mains de tels incapables. J’ai longtemps cru que Mitterrand détenait tous les records, eh bien NON, on peut faire pire. Ce que nous voyons aujourd’hui, nous ne l’avons jamais vu, et il faut souhaiter ne jamais le revoir. – Ph. Bouvard.

    Vous saluer serait commettre un acte de faux jeton.

    P.S. : Vous refusez obstinément d’intervenir sérieusement en Syrie, tout simplement par crainte de rendre service à Bachar al-Assad qui, pourtant se bat pour protéger les minorités religieuses, et avec lequel, j’en suis persuadé, on pourrait ensuite négocier des changements conduisant la Syrie vers la démocratie ; par crainte de rendre service à V. Poutine auquel vous préférez prétendre donner des leçons, pour ne pas déplaire à Obama, qui, lui non plus, comme vous, n’a que faire de la France et de l’Europe . Et surtout, vous refusez tout simplement par principe, pour faire le contraire de ce que préconise la droite. C’est juste honteux.

  • montecristo , 6 novembre 2015 @ 17 h 40 min

    Alainpsy
    … et les gouvernants jouent avec ces préjugés et ces états d’âme, après les avoir fabriqués et … les entretiennent avec soin !

    Mais surtout … à la lecture de cet article … il transparait une chose à mes yeux qu’il ne faut pas négliger : pendant que nous tergiversons sans arrêt sur ce que nous aurions le droit de faire ou ne pas faire “légalement”, pendant que nous sommes menottés par des textes auxquels il est obligatoire de se référer pour rester dans l’Etat de Droit, pendant que nous sommes soumis sans cesse au politiquement correct, le musulman, lui … se marre !
    Il se marre … parce que nous ne savons pas à quel point il serait obéissant si nous protégions nos valeurs, notre identité, nos frontières, notre patriotisme et notre foi, par une simple volonté politique non écrite ! Il n’a pas besoin de textes ! Il a simplement besoin qu’on lui dise : “Nous sommes chez nous” ! Il comprend beaucoup mieux de cette façon. Car, il n’y a pas plus subtil que lui pour nous retourner nos lois dans la gueule … et en profiter !

  • Macandide , 6 novembre 2015 @ 18 h 35 min

    Je trouve absolument génial (pour parler djeune, ou presque!) que, dans ce contexte, notre ministricule de l’intérieur ait la bétise d’expliquer qu’on va fermer les frontières de la France “pour quelques semaines”. Et tout bonnement parce qu’on va avoir un truc nommé COP21 à Paris!
    D’une part ça va à l’encontre du bon sens, de fermer les frontières parce que c’est juste une manifestation verte, bisounours, bonheur pour tout le monde tout de suite, étouétou (ou je me trompe?!), donc qui a priori ne le justifie absolument pas (ni sur le principe, ni en termes de coût),
    mais d’un autre coté ça me réjouit et me conforte: C’EST DONC POSSIBLE de revenir “en arrière” et de fermer nos frontières, braves gens! Noël, Noël!

    Si c’est possible pour quelques semaines (alors que vous et moi, pauvres bétas, pensions que c’était compliqué et cher !), ça doit être possible à plus long terme, non?

    Ou bien j’ai tout faux dans ma tête, coté raisonnement logique ?!!
    Ben oui, vous comprenez, c’est que je ne suis que de droite, moaaa…

  • Monique Neveu , 6 novembre 2015 @ 19 h 33 min

    @ Macandide
    Il faut ce qu’il faut. Pour proteger la reunion des ecolos pasteques on a les moyens, mais proteger les autochtone? Meme s’il y avait les moyens, la methode serait contre. Car la methode c’est: Encore plus de futurs chomeurs pour aider l’economie. Ca au moins c’est de la logique!

  • flamingo , 6 novembre 2015 @ 20 h 14 min

    tous ceux qui pense comme moi, main dans la main pour prendre tous les imigrands et les jeter à la mer.

  • Alainpsy , 6 novembre 2015 @ 22 h 54 min

    Vous avez raison, d’autant que je l’ai entendu de la bouche même d’un musulman, effaré du laxisme de notre pays: “ici, vous êtes trop cons” ! Même eux n’en reviennent pas, je rappelle au passage qu’en algérie les prières de rue sont interdites et réprimées. Ici, les lois ne sont plus craintes que par les honnêtes gens. De l’aveu d’un type que j’ai jadis connu et qui fait des séjours réguliers en prison: “quand j’y vais, tu verrais c’que j’bouffe…” ! voilà où nous en sommes, la prison n’est plus un obstacle au passage à l’acte, elle ne fait plus peur et c’est une catastrophe. Nous sommes dans une démocratie molle en totale décadence. Je discutais hier avec une retraitée, élue de gauche, qui parlait de Mai 68 en disant qu’ils avaient élevé leurs enfants de façon complètement déraisonnable et suicidaire, le bilan était désastreux. J’étais heureux et surpris de cette lucidité venant d’une élue socialiste, mais je crains que cela ne suffise pas. Les tenants du pouvoir, politique ou économique, jouent aux apprentis sorciers avec les peuples, les puissants s’amusent, totalement enivrés par autant de puissance: détruire une culture, un civilisation
    multi-séculaire en quelques années seulement. Regardez l’EI, avec quelle jouissance ils détruisent les traces du passé. Chez nous, c’est une autre méthode mais les résultats sont identiques, c’est l’histoire de l’enfant pathologiquement installé dans la toute puissance et qui détruit avec plaisir tout ce qu’il touche.
    Le temps passe…ce sera très compliqué, sauf à faire parler les armes.

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