C’est l’histoire de Thibault. C’est un modèle réussi de la recette qui mélange théorie du genre, « famille sociale », propagande homosexuelle et ce qui devrait encore et toujours être considéré par la justice comme de la corruption de mineurs.
Thibault a 4 ans. Ses parents sont en procédure de divorce. Thibault, « se déguise en fille ». Il « aime » se vêtir des affaires de sa maman : boucles d’oreilles, chapeaux, foulards, et pose pour l’appareil photo de sa maman. Il n’a pas vraiment l’âge de se mettre des boucles d’oreilles tout seul, mais qu’importe. Les photos vont resservir un peu plus tard…
Thibault a 6 ans. Olivier, son parrain, fait son « coming out » : Il est homosexuel. Ce dont tout le monde, dans le fond, se fout : mais de nos jours il faut l’affirmer haut et fort, le revendiquer, le clamer, et porter l’étendard de la révolte homosexuelle dans la famille.
Thibault a 8 ans. Il est éloigné de son père et part vivre à Bordeaux pour suivre la mutation du compagnon de sa mère. La justice laisse faire. Thibault aurait des « orientations » qui déplairaient à son père : la « famille » et les psys s’en mêlent.
Thibault a 9 ans. Il se plaint de violences du compagnon de sa mère, officier de police. La justice ne réagit pas.
Thibault a 10 ans. Il fête Noël « en famille » dans un chalet à la montagne. Il découvre, un peu gêné, que son parrain partage le même lit que son « compagnon » Frédéric pendant la nuit de Noël. Douce nuit, sainte nuit…
Thibault a 11 ans. Il ne vient quasiment plus voir son père. Toute la « famille » s’y oppose. Frédéric et Olivier font obstruction physiquement à un droit de visite de son père. Ils portent plainte et l’accusent d’avoir proféré des « insultes homophobes ». 3 semaines plus tard, Thibault assiste au simulacre de « mariage » de sa mère avec robe blanche, grande assemblée, passage à la mairie et ersatz de « mariage » à l’église devant M. le curé. Un « mariage canada dry » : tout y est, alliances, lectures, bénédiction du couple, mais pas le sacrement. Exactement le genre de truc qui a sa place dans une église consacrée. Le mariage n’a pas été annulé ? La cure… n’en a cure. Et l’évêché ? Il s’en fiche. Rome est alertée, bien trop tard. La mascarade a eu lieu, et les enfants parlent aujourd’hui du « mariage » de leur mère comme étant celui-là, et non celui de l’union qui les a vus naître.
Thibault a 12 ans. Il est sur « Facebook » et Frédéric, le « copain » de son parrain Olivier est son « ami ». Frédéric est un brillant sujet, pur produit de la haute bourgeoisie de province, cadre dans un grand groupe, diplômé d’HEC et de Normale Sup, éduqué dans les meilleurs lycées catholiques de province. Frédéric est aussi un militant homosexuel convaincu, qui remplit son « mur » de photos plus qu’équivoques. A longueur de journée, Frédéric & Olivier se galochent, Frédéric la main dans son froc, Les copains de Frédéric & Olivier jouent à « frotman »… bref, pas vraiment de la photo d’art, ni du livre scolaire pour élève de 5e/4e.
Voici un petit extrait :
Chaque fois que Frédéric publie une photo, elle apparaît sur le « mur » de Thibault. Thibault est ainsi abreuvé quasi quotidiennement des photos d’Olivier et Frédéric. La justice s’en moque.
Thibault a 13 ans. Son père vient le chercher pour le week-end. Sur le pas de la porte, le mari de la mère agresse le père : coups de poings au visage. Ce weekend-là, Thibault ne viendra pas, et son père passe la journée aux urgences : entorse au cervicales, points de sutures, plaie semi profonde à la gorge, hématomes. Le visage de son père ne fera pas la une de la presse nationale. L’agresseur ne sera pas inquiété. Les agressions « pèrophobes », cela n’existe pas et cela n’intéresse pas la justice.
Thibault a 14 ans. Il part en Bulgarie avec sa mère. L’administration a fait un passeport de service diplomatique à Thibault, la justice entérine et prive son père de « l’exercice de l’autorité parentale » : depuis, plus de contacts.
2014, Thibault a 16 ans, il assiste au simulacre de « mariage » de Frédéric et Olivier, avec tout le « gratin » de la communauté gay de la côte Ouest et force « selfies » victorieux et triomphaux publiés sur Facebook. Thibault peut enfin voir de près les types découverts sur le « mur » facebook.
Aujourd’hui, ou en est Thibault ? Son père n’en sait rien. Il vit avec sa mère, en Bulgarie, et son mari, détaché à l’ambassade de France. Le proviseur du lycée français refuse de communiquer les bulletins scolaires.
Certainement, Thibault doit être légèrement… désorienté quant à … son « orientation sexuelle ». Au nom de la « théorie du genre », de la « famille sociale » et de la « lutte contre l’homophobie » on n’a cessé de le bousculer. Des grands mots pour noires âmes, qui masquent difficilement les réalités d’une injustice et d’une violence sociale inouïe, au-delà même de leur dimension immorale et perverse.
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