Jeudi 19 juillet 1990. Joseph Doucé, pasteur homosexuel des marginaux, des transsexuels, des sadomasochistes et aussi des pédophiles, – qu’il accueille au « Centre du Christ libérateur », un lieu de réconciliation pour les exclus du christianisme -, rentre chez lui, où il est attendu par son compagnon, Guy Bondar. Une heure plus tard, il est emmené par deux policiers. Il ne reviendra jamais. Treize jours après sa disparition, les journaux révèlent que Joseph Doucé était suivi par les Renseignements Généraux. Ils parlent de «réseaux pédophiles» et s’interrogent sur ceux qui auraient eu de bonnes raisons de vouloir le faire disparaître. On dit que Joseph Doucé aurait possédé un fichier de près de 10 000 noms. Des personnalités du monde politique et du show-business y auraient figuré :
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