Le philosophe Alain Finkielkraut est revenu, ce lundi chez Ruth Elkrief sur BFMTV, sur la mort d’Arnaud Beltrame, le gendarme mort après l’attentat islamiste dans l’Aude à Trèbes le 23 mars dernier. L’homme a échangé sa place contre une otage et a succombé à ses blessures. Son héroïsme lui a valu un hommage national. “L’histoire du terrorisme en France est déjà fournie mais pour la première fois l’admiration prévaut sur l’effroi, toute la France est éperdue d’admiration et de reconnaissance vis-à-vis de cet homme”, a-t-il estimé. “On hésite entre deux mots pour qualifier son attitude”, a-t-il ajouté, parlant d’héroïsme et de sainteté :
“Pour la première fois, l’admiration prévaut sur l’effroi” estime Finkielkraut sur Beltrame
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