L’aveu de Laura Slimani, présidente des Jeunes socialistes : «Oui, le genre, ça existe ! Et oui, nous allons l’enseigner dans les écoles, et c’est tant mieux !»

Vincent Peillon la menteuse et son complice Najat Vallaud-Belkacem voient tout leur plan com’ s’effondrer ce samedi 1er février avec cette intervention de Laura Slimani, la présidente des Jeunes socialistes qui, en confiance car s’adressant à des cadres socialistes, lâche le morceau : “Oui, le genre, ça existe ! Et oui, nous allons l’enseigner dans les écoles, et c’est tant mieux.” Un peu avant, cette extrémiste déclare : “Je pense que nous devons assumer.” Elle est bien la seule au PS…

Parents français, il devient urgent de retirer vos enfants de cette école qui ne leur apprend plus à lire, à écrire ou à compter, mais qui leur enseigne l’homosexualité. Petit rappel : contrairement à ce que prétend Vincent Peillon, l’école n’est pas obligatoire, l’instruction, qui peut être faite à la maison, si. N’oubliez pas non plus les écoles hors-contrat, dispensées d’appliquer la propagande gouvernementale.

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71 Comments

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  • Alainpsy , 3 février 2014 @ 13 h 55 min

    Le socialisme….ou comment rendre les enfants fous.

  • racam le rouge , 3 février 2014 @ 14 h 24 min

    bonjour,

    Les femmes commencent à vouloir se donner une importance qu’elles n’ont pas.
    Comme le disait si justement Le grand Guinsbourg :
    Il faut prendre les femmes pour ce qu’elles sont et les laisser pour ce qu’elles ne sont pas..”

  • Alainpsy , 3 février 2014 @ 14 h 28 min

    Enfin, n’oublions pas l’aspect psychologique d’un tel problème, c’est à dire les identifications sexuelles inconscientes des enfants qui n’ont pas besoin de peillon pour s’identifier au Papa pour plaire à la maman, ou s’identifier à la Maman pour plaire au papa, ce qui les met tout naturellement en adéquation avec leur sexe biologique. Vouloir intervenir dans ce processus innocent et brouiller tous les repères naturels est criminel et n’a d’autre but qu’une volonté de destruction, de confiscation de l’enfance.

  • JACKY4546 , 3 février 2014 @ 14 h 55 min

    C’est plus que de la réflexion, c’est déjà en bon chemin, et avec le concours de députés UMP s’il vous plait .
    Voir le texte ci-après :

    L’éducation à domicile, c’est seulement bon pour les handicapés, voyons !
    On en parle, un peu, sur les réseaux sociaux ; l’information n’a pas été évoquée dans la presse « grand public » et il y a peu de chances qu’elle l’intéresse jamais mais les faits sont là : un octet de sénateurs vient de déposer une proposition de loi visant, je cite le titre, « à limiter la possibilité d’instruction obligatoire donnée par la famille à domicile aux seuls cas d’incapacité ». Oui, vous avez bien lu, ça se passe en France et en 2014.
    Avant de revenir sur cette loi et l’intéressante phalange liberticide qui tente de la faire passer, essayons un peu de contextualiser le sujet. Comme vous le savez, le législateur (du XIXème siècle) a, dans sa grande clairvoyance, estimé qu’en France, l’instruction est obligatoire jusqu’à 13 ans. Par la suite, l’instruction obligatoire s’est étendue jusqu’à 14 puis 16 ans. Notez qu’on parle ici d’instruire et non d’éduquer les enfants, même si les deux termes ont été habilement confondus ces dernières décennies dans un mouvement qui n’a rien de fortuit, comme on va le voir.
    Jusqu’à présent cependant, les parents ont toujours conservé la possibilité de placer leurs enfants auprès d’un précepteur ou de s’occuper eux-mêmes de la charge que représente cette obligatoire instruction. Ainsi, en 2013, on comptait environ 40.000 enfants dont l’instruction se déroulait hors du cadre scolaire, soit par des cours particuliers, soit par l’enseignement par correspondance. Les raisons qui expliquent les choix des parents sont multiples ; il peut s’agir d’une obligation technique (cas des enfants malades, handicapés, …), de contraintes familiales (mobilité trop grande des parents, …) ou d’un simple choix réfléchi de leur part de ne pas confronter leurs enfants aux enseignements prodigués par l’Éducation Nationale, soit parce que cette dernière est inadaptée (cas typique des enfants surdoués) ou parce que les parents ont jugé que l’orientation prise par les cours ne leur convient pas.
    Peu importe, finalement, les raisons qui entraînent ces situations : la France impose l’instruction, elle n’impose pas la méthode.
    Enfin, pas encore et c’est là qu’intervient l’ensemble d’instruments à vent du Sénat qui vient de déposer le projet auparavant cité. Le but est simple : mettre fin à cette situation scandaleuse où des parents, conscients du gâchis de plus en plus catastrophique que constitue l’enseignement industriel bas de gamme fourni par l’État, décident de s’occuper eux-mêmes de l’instruction de leurs enfants.
    Comme c’est dommage ! De plus en plus de familles, pas vraiment convaincues de la bonne qualité des cours dispensés, peut-être effarouchées par les scores PISA de plus en plus médiocres, refusent de placer leur progéniture dans les mains généreuses de la République. De plus en plus de parents commencent à comprendre que le but de l’école républicaine n’est absolument pas d’instruire leurs enfants, mais de les élever, comme on élève des animaux domestiques, pour qu’ils sachent ensuite répéter des tours et se tenir tranquille. Et ce n’est pas moi qui le dis, c’est Vincent Peillon, l’actuel patron de l’Éducation Nationale : pour lui, l’école doit même jouer le rôle d’éduquer les bambins, et de les détacher de toutes ces niaiseries que forment le cocon familial, à commencer bien sûr par la religion, la morale et les valeurs traditionnelles, mais sans s’y limiter : « il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel »…

    Ne l’oubliez pas : pour nos petits socialistes en culotte courte, l’enfant est un excellent terrain d’expériences. Pour certains, ce seront les expériences éducationnelles pédagogogiques, pour d’autres, tout est à base de synaptogénétique qui crache bien, pour d’autres encore, la question de la sexualité occupera un champ d’autant plus large que toute la société leur semble structurée sur cette question qui les taraude au plus profond d’eux-mêmes. Dès lors, c’est la porte ouverte à la propagande, qu’elle soit politique, ou sexuelle. D’ailleurs, comme le disait Laurence Rossignol, une sénatrice socialiste surtout connue pour ses médiocres capacités d’auto-défense, l’enfant n’appartient pas à ses parents, mais bien à l’État.
    Manque de pot ou mauvaise couverture du radar socialiste, plusieurs dizaines de milliers de bambins échappent encore au moule républicain et cette proposition de loi arrive donc pour combler cette lacune et balayer ces terribles zones d’ombre du phare stroboscopique de la pensée socialiste.
    Et ce n’est même pas caché dans l’exposé des motifs :
    L’un des buts de la scolarisation de l’enfant est sa socialisation. Celle-ci nécessite une éducation qui ait une dimension collective, qui lui permette de découvrir la diversité des conditions et des cultures des enfants de son âge et de rendre son développement plus harmonieux. (…) L’éducation à domicile ne peut être le prétexte d’une désocialisation volontaire, destinée à soumettre l’enfant, particulièrement vulnérable, à un conditionnement psychique, idéologique ou religieux.

    C’est écrit en toutes lettres : l’école à domicile, c’est une façon d’éviter la socialisation de l’enfant, c’est une méthode pour échapper à la dimension collective (lisez : collectiviste) de l’Éducation Nationale, et elle est à l’évidence utilisée pour un conditionnement psychique, idéologique ou religieux … conditionnement dans lequel les services de l’État ne sombrent absolument pas parce que c’est l’État, et que ça se saurait, enfin voyons, si l’administration, l’État et l’Éducation Nationale endoctrinaient les enfants. Et puis, ce n’est pas comme si, dans le passé, cela avait été tenté ; on sait bien que jamais les institutions républicaines, démocratiques ou étatiques en général, ne se sont lancées dans ce genre de pratiques !

    Conclusion : ce que des parents sont susceptibles de faire pour leurs enfants, jamais un État ne tremperait là-dedans. Et comment imaginer en effet qu’un père ou une mère, aimant leurs enfants, les connaissant plus intimement qu’aucune autre personne, s’investissant pour eux au point de consacrer une partie de leur vie à leur instruction, leur éducation et leur formation psychique, religieuse, morale et citoyenne, parents qui sont directement intéressés au résultat, comment imaginer, dis-je, qu’ils fassent mieux que des fonctionnaires lambdas formés en batterie par une administration qui ne sait même pas combien elle a de salariés en son sein ? Comment imaginer ça ? Impossible !
    Il était donc impératif d’agir et c’est donc ce que Hugues Portelli (UMP, Val d’Oise), Christian Cambon (UMP, Val de Marne), Jacques Gautier(UMP, Hauts-De-Seine), Esther Sittler (UMP, Bas-Rhin), Hélène Masson-Maret (UMP, Alpes Maritimes), Michel Houel (UMP, Seine et Marne),Colette Mélot (UMP, Seine et Marne) et Louis Pinton (UMP, Indre) ont décidé de faire. Vous noterez au passage le beau mouvement d’ensemble : ils sont tous UMP, ce qui les situe, sur le papier, dans l’opposition à l’actuel gouvernement. Du reste, c’est une bonne chose puisqu’on peut raisonnablement penser que leur étron législatif liberticide sera retoqué par leurs collègues du parti officiellement socialiste. Mais la présence d’une telle loi, pondue par de tels sénateurs, d’une telle opposition, permet d’affirmer qu’en réalité, une véritable course au plus-disant collectiviste et liberticide s’est engagée entre les deux factions qui se disputent les rênes du pouvoir en France. La différence entre l’UMP et le PS est maintenant si fine qu’elle est purement symbolique et ne sert plus qu’à occuper le peuple dans des élections qui sont, de facto, truquées non par mécanisme, mais par l’absence totale de choix.
    Il est consternant de constater que la pourriture idéologique s’est à ce point installée confortablement dans les esprits de nos élus qu’ils pensent sain de limiter les capacités d’instruction des parents en légiférant. Il est effrayant de voir avec quelle rapidité ce pays sombre dans un régime global d’interdiction, de restriction et d’encadrement d’absolument tout. En un siècle, la France aura perdu chacune de ses grandes libertés, rongées petit à petit par ces types d’interventions lamentables, qui auront lentement mais inexorablement dissout la cohésion sociale du pays en dépossédant chaque citoyen de ses responsabilités pour n’en faire qu’un animal mal domestiqué.
    Il existe une pétition contre cette loi scandaleuse, je vous encourage à la signer et à la partager autour de vous. Parfois, un petit e-mail bien rédigé aux sénateurs concernés permet de leur faire comprendre que leur base électorale n’est pas d’accord avec leurs conneries.
    Et enfin, je conclurai en notant qu’encore une fois, ce bon vieux sénat poussiéreux fait ici une parfaite démonstration de son passéisme en proposant une loi rétrograde au moment où les MOOC explosent, et fournissent, en direct, gratuitement, une quantité toujours plus grande de ressources et de savoir pour tous (allez voir Ralentir Travaux, – et pourquoi pas, soutenez-le). Ces tristes sénateurs s’inscrivent parfaitement dans la tendance d’un État français qui s’enkyste gentiment dans le pire des conservatismes et s’effondre lentement sous son propre poids législatif, ses vieilles habitudes et ses vieux schémas de pensée surannés.
    Ce pays est foutu.

  • Jo , 3 février 2014 @ 14 h 56 min

    Attention, revoilà non pas Estrela rejeté mais son sosie retouché en pire !
    Présentation aujourd’hui ! Voilà une autre façon de passer !
    Ne lâchez pas vos députés !

    “Ce rapport est pire que le rapport Estrela. D’abord parce qu’il réclame une « feuille de route », c’est-à-dire un programme comportant des objectifs et des mesures concrets assortis d’un calendrier, afin de lutter contre les prétendues discriminations à raison des orientations sexuelles. Ensuite, parce que non seulement il reprend les grandes lignes du rapport Estrela, mais qu’il va beaucoup plus loin : prise en compte de l’identité de genre, donc reconnaissance officielle d’une ou plusieurs « catégories » supplémentaires (neutre ? inter ?) en plus des hommes et des femmes ; reconnaissance mutuelle des actes de mariage, adoption, filiation, etc… pour les couples homosexuels, ce qui revient à terme à forcer les États à adopter des législations dont ils ne veulent pas ; droits exorbitants du droit commun privilégiant les minorités tonitruantes et muselant toute opposition ou même simple objection ; octroi d’une protection internationale à raison de l’orientation sexuelle… Seule bonne nouvelle dans ce sombre tableau : la Commission a indiqué qu’elle ne travaillerait pas sur une telle feuille de route. Pour combien de temps ?

    L’ordre du jour a été modifié : le rapport Lunacek est désormais inscrit lundi pour une brève présentation (procédure qui prévoit que seuls cinq députés pourront parler, choisis par le président de séance parmi les députés présents qui lèvent la main). Comme vous le voyez, un débat volontairement tronqué.

    Le règlement intérieur ne permet pas aux députés « non-inscrits » de demander un vote nominatif, mais j’ose espérer que les membres de groupes parlementaires, qui y sont habilités, le feront. Ne ménagez pas vos légitimes pressions à leur égard (députés UMP, centristes, libéraux…).”

    http://gollnisch.com/2014/01/31/suite-vos-nombreux-messages-propos-du-rapport-lunacek/

  • JACKY4546 , 3 février 2014 @ 14 h 57 min

    Pardon : ce n’est pas de députés UMP mais de sénateurs…

  • Kanjo , 3 février 2014 @ 15 h 17 min

    tient ? ça leur arrive parfois de dire la vérité ?

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