C’est donc au soir d’un vote à plusieurs titres ignominieux à l’Assemblée Nationale que François Hollande a annoncé que prendrait bientôt fin son passage à l’Élysée.
Décision ni courageuse ni lâche, mais simplement dictée par le constat de son impopularité et de son impossibilité à manœuvrer encore un tant soit peu politiciennement.
Il n’aura pas été un dictateur sacralisé selon les formes de déification de l’État des totalitarismes du XX° siècle, continués jusqu’à nos jours dans les régimes communistes de Cuba et d’Extrême-Orient.
Il n’aura été qu’un médiocrissime personnage jouisseur aux allures souvent grotesques dans les mécanismes du néo-totalitarisme contemporain. Dans ce système, le Big Brother qui conditionne et asservit le peuple n’a plus le visage personnel et visible d’un monstrueux dictateur unique, narcissique et mégalomaniaque, grand-prêtre d’une idole idéologique, État, classe ou race.
Big Brother est anonyme, collectif, nihiliste, au service d’une diffuse commune culture de mort procédant de plusieurs centres de purulence : maçonniques, enarchiques, judiciaires, culturels, et surtout médiatiques. Comme dans la quintessence du totalitarisme qu’est l’islam, tout le monde y est appelé à surveiller tout le monde.
Réalisant la plénitude des paroles de l’Internationale, chacun doit à la fois être « rien » et « tout ». Bien sûr, des personnages prennent des formes diversement démoniaques, cajoleuses, glauques ou hideuses, dans la diversité de l’entreprise génocidaire collective : déspiritualisation, déconstruction culturelle, substitution démographique.
François Hollande occupe encore un poste structurellement nécessaire mais pas essentiellement déterminant. Il y fut et demeure pour quelque temps encore tel un clown tour à tour pitoyablement jovial, dérisoirement triste et souvent hagard.
Bien vite, l’histoire ne retiendra plus rien de lui. Espérons que celle ou celui qui lui succèdera retrouvera l’inspiration des souffles de vie de l’âme chrétienne de la France !
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