Oui, nous pouvons détruire l’Etat islamique ! (1/4)

A titre personnel, je suis en totale contradiction avec les conclusions du juge anti-terroriste Alain Marsaud et pense au contraire que les frappes françaises contre la barbarie islamiste au Levant sont une très bonne chose et, surtout, ouvrent des perspectives positives pouvant temporiser notre avenir bien sombre.

Disons le tout de go : nous, Français et Européens de souche, sommes en guerre totale et de longue haleine tant sur notre territoire qu’à l’extérieur contre une religion obscurantiste voulant s’imposer au travers d’une barbarie inconnue même des bourreaux nazis et communistes.

Le pouvoir politique français veut nous faire croire que l’islamisme n’a strictement rien n’à voir avec l’islam : c’est faux. Comme le disait si bien un commentateur de Nouvelles de France : « l’islamisme n’est que de l’islam actif et l’islam que de l’islamisme dormant ». La violence musulmane prend directement source dans le Coran – livre sacré dicté par leur Dieu qu’ils prétendent universel, via l’ange Gabriel, au Prophète Mohammed – mais aussi dans la Sunna décrivant la vie et les faits de celui-ci. Certes, il y a des sourates (phrases) de paix mais les sourates de violence, tant envers le juif et le chrétien qui refusent leur situation de dhimmitude qu’envers les musulmans ne respectant pas la loi coranique, y sont bien plus nombreuses. Or il n’y a strictement aucune hiérarchie entre les sourates qui ont une égale sacralité religieuse, et par conséquent, le zélé peut choisir ce qui l’arrange.

De plus, le rituel des égorgements et autres décapitations macabres ne sont pas des actes de hasard mais trouvent directement leur fondement théologique dans le texte coranique. Le verset 4 de la sourate 9 dispose : « Dieu les tourmentera par votre intermédiaire ». Cela signifie qu’il faut non seulement tuer le « mécréant » qui refuse de se soumettre mais aussi le supplicier affreusement afin de lui faire goûter les prémices de l’enfer qui accueillera son âme pour l’éternité (1).

Monsieur Marsaud a raison de pointer du doigt la faible capacité de nos services consulaires et diplomatiques, manquant toujours plus d’hommes et de moyens pour assurer une sécurité satisfaisante à nos ressortissants devenant une proie idéale dans les pays sensibles. Il a raison aussi de dire que notre présence militaire est insignifiante auprès des Américains à cause des coupes drastiques de nos armées qui sont déjà en quasi-totalité mobilisées au Mali et en Centrafrique.

A ceci s’ajoute l’argument judicieux de Christian Vanneste, rappelant que nous sommes confrontés à un conflit totalement asymétrique où nous avons, d’un côté, des armées occidentales acquises « au mort zéro » qui ne connaissent que la technologie militaire, parfois insuffisante, et, de l’autre, des barbares sans noms ni visages, bien décidés à mener une lutte totale dans l’espace et dans le temps, enrôlant même des enfants en bas âge devant obligatoirement assister aux tortures et exécutions immondes afin de les transformer en futurs guerriers qui prendront le relais d’une lutte messianique.

I) Les stratégies pour anéantir l’Etat islamique (nommé aussi Daesh)

Néanmoins, les frappes de la coalition dont fait partie la France peuvent malgré tout mettre de sérieux bâtons dans les roues de l’État islamique de Syrie et d’Irak, qui perdra automatiquement de son prestige, fédérateur de la nébuleuse islamique mondiale.

Premièrement, la croissance rapide de cette entité est due surtout aux bénéfices qu’elle récolte des puits pétroliers qu’elle a conquis, gagnant plus de 2 millions de dollars par jour, ayant actuellement une richesse comptabilisée à 3 milliards de dollars. Or, si nous arrivons à neutraliser son activité pétrolière, nous affaiblirons de manière significative ses capacités militaires. Les Américains l’ont très bien compris, eux, qui ont bombardé déjà douze raffineries pétrolières contrôlées par l’Etat islamique dans la province de Deir-ez-Zor située à l’est de la Syrie.

Deuxièmement, l’Etat islamique s’est préparé bien en avance à l’éventualité d’une intervention occidentale en creusant, à la manière du Hezbollah libanais ou du Hamas palestinien, des tunnels dans le désert afin de cacher son armement et surtout des réserves d’essence considérables. Mais cette stratégie contient en réalité de nombreuses limites. En effet, en 2006, Israël a réussi par ses bombardements aériens à éliminer un très grand nombre de planques du Hezbollah dans le sud Liban. Si Israël a perdu médiatiquement cette guerre à cause de journalistes occidentaux abusés par la prétendue infaillibilité asymétrique de son ennemi, en réalité elle l’a gagnée militairement : la destruction du matériel a été relativement importante, obligeant le Hezbollah depuis maintenant 8 ans à arrêter, par prudence, le jet systématique de roquettes et le rapt de soldats israéliens.

La difficulté que nous aurons réside dans la découverte de ces repères mais nous en avons les moyens technologiques, notamment satellitaires (pouvant, par rayon ultraviolet, mesurer la densité de concentration d’un produit recherché). De plus, une fois les abris découverts, nous disposons de missiles capables de les atteindre en transperçant sans exploser des couches épaisses du sol. L’embrasement des réserves d’essence paralyserait profondément le Daesh.

Pour finir, malheureusement, les frappes pulvériseront probablement des innocents. En effet, comme le Hamas, les combattants de l’Etat islamique se fondent dans les foules et dissimulent leurs armements et munitions sous le plancher des écoles ou des hôpitaux dont les attaques occidentales pour les détruire feront automatiquement beaucoup de victimes collatérales qui seront habilement exploitées médiatiquement par nos ennemis pour galvaniser les Irakiens sunnites. Or cette stratégie très « court-termiste », dévoilant par ailleurs le cynisme des islamistes envers les populations qu’ils prétendent défendre, peut se retourner contre eux. En réalité, si les bombardements devaient durer, les soldats d’Allah pourraient perdre l’appui des populations lasses d’être prises en étau.

Mais la force ne sera d’aucun secours si elle ne s’allie pas à une diplomatie cohérente prenant en considération la situation concrète de l’Irak. Que se passe-t-il en réalité dans ce malheureux pays ? La destruction calamiteuse de l’Etat baasiste par les forces anglo-saxonnes en 2003, en réaction à la nationalisation légitime par Saddam Hussein de la production pétrolière détenue jusqu’alors par les Occidentaux, a eu pour conséquence de pulvériser la colonne vertébrale étatique qui maintenait en fragile unité des populations contradictoires obligées de vivre ensemble depuis la création par les franco-britanniques en 1918 de frontières oniriques, partout dans le Moyen-Orient, afin de s’accaparer l’or noir.

D’ailleurs, le nerf de cette colonne vertébrale était la minorité chrétienne sur laquelle s’appuyait Saddam Hussein pour ne pas trop dépendre des arabo-sunnites ou chiites. C’est pour cette raison que Daesh les violente autant. La règle générale du Coran, qui reconnaît le christianisme comme religion du Livre et Jésus comme Prophète, est de mettre ses adeptes dans une situation de dhimmitude humiliante mais pacifique. En revanche, la loi coranique permet les pires exactions « punitives » envers les chrétiens si ceux-ci ont d’une manière ou d’une autre tenté d’échapper à cette tutelle et, pis encore, ont dominé les musulmans, ce qui fut un peu le cas sous le régime baasiste.

Or la désagrégation de l’Etat et l’introduction de la démocratie à l’occidentale a engendré une catastrophe. En effet, les Arabes ne connaissent pas l’individualisme occidental et, donc, votent de manière groupée et tribale. Souvenons-nous en 2012 de la communauté musulmane en France qui accorda tel un seul homme son suffrage à François Hollande suite à la demande des imams. Or, les chiites étant les plus nombreux en Irak, ils ont automatiquement gagné les élections et ont pris tous les rouages du nouvel Etat, expulsant même les rares Kurdes et chrétiens restant, dans un esprit de revanche historique car c’est la première fois, depuis la mort de Hussein – le fils d’Ali ayant entraîné, à l’aurore de l’islam, la tragique fracture entre sunnites et chiites –, qu’ils pouvaient reprendre un pouvoir dominé depuis toujours pas les sunnites (Empires Omeyyade, Abbasside, Ottoman, le royaume hachémite et même l’Irak révolutionnaire baasiste puisque Saddam était sunnite).

Ce comportement sectaire lourdement soutenu par l’Iran des mollahs, lorgnant sur les pétroles irakiens chiites du Golfe persique au sud et celui, au Nord, des Kurdes certes sunnites mais indo-européens comme eux, a littéralement braqué les arabo-sunnites dont un nombre considérable d’anciens cadres des services d’espionnages et de l’armée baasiste qui ont rejoint l’Etat islamique, avec lequel ils partagent désormais la même haine des chiites mais aussi de cet Occident auquel ils reprochent d’avoir participé à la mise en place des ayatollahs iraniens, ceux-là même qui ont provoqué le funeste conflit irano-irakien des années 80-88, bombardé deux fois leur Etat en 1991 et 2003 et leur a imposé un embargo inique entre ces deux guerres, responsable d’un grand nombre de morts : plusieurs dizaines de milliers de personnes dont beaucoup de femmes et d’enfants. Ils offrent ainsi au Daesh une compétence et une expertise militaire qui n’existe dans nulle autre organisation islamiste.

La France et les Etats-Unis qui ont très bien compris la situation ont appelé intelligemment les autorités chiites de Bagdad à créer un gouvernement d’union nationale au sein duquel des arabo-sunnites réintégreraient des postes politiques, militaires, économiques et administratifs prépondérants. Si nous arrivons à faire plier les chiites qui se sont enfin débarrassés de leur intransigeant président Maliki, il est probable que, à terme, un grand nombre d’anciens cadres baasistes se désolidarisera de l’État islamique dont l’étendard de résistance tant aux occidentaux qu’aux chiites n’aura plus de raison d’être.

Note :

1. Si l’islam sunnite dans son application stricte est très dur, il y a néanmoins des courants théologiques de l’islam moins rigoristes. Le chiisme duodécimain iranien, même virulent, est moins redoutable pour la simple et bonne raison qu’il est un peu imprégné de mazdéisme zoroastrien de la perse antique.

Première religion monothéiste de l’Histoire de l’Humanité – et ce bien avant le judaïsme antique qui ne transforma son dieu païen Yahvé en Dieu Universel qu’entre les IVème et IIIème siècles avant JC –, son enseignement compilé dans les Gathas sont d’une très grande beauté poétique prônant le respect de la nature, de la vie humaine, de la conscience individuelle et une certaine forme d’égalité entre les hommes et les femmes. Ainsi, par exemple, les obscurs mollahs mis en place grâce à l’aide occidentale à la fin des années 70 ont imposé le voile et la polygamie au nom du Coran mais n’ont pu s’opposer à ce que les femmes continuent à travailler et à faire des études, remplissant toujours 60% des bancs universitaires.

Mieux encore que le chiisme iranien, existe le courant sunnite maroco-sahélien de la confrérie Tijani qui est une forme de syncrétisme d’islam soufi et d’animisme africain dont la pratique est très répandue au Mali et au Sénégal. Son fondateur, Ahmad Tijani, avait reconnu la sacralité du roi du Maroc comme Commandeur des Croyants et a donc été enterré en grandes pompes par ce dernier dans la ville de Fès en 1815. « On ignore trop souvent que Fès forme un pôle essentiel pour des millions de Maliens et de Sénégalais pour lesquels le pèlerinage au mausolée du fondateur est au moins aussi important que celui de la Mecque » (Bernard Lugan). Ce courant est vu évidemment comme une abomination par les salafistes, wahhabites ou autres Frères musulmans de l’Afrique du nord ou du Moyen-Orient pour lesquels il s’agit d’idolâtrie.

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52 Comments

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  • 0 / 10
  • sergio , 2 octobre 2014 @ 23 h 30 min

    Ouah , canon la Saïda !…..un peu anti-sioniste obsessionnelle sur les bords , mais canon !
    L’ offensive de charme de l’ islam en direction des mécréants , sans doute ?….
    Décidément , ils utilisent tous les moyens pour arriver à leurs fins , les muzz !

  • Marie Genko , 3 octobre 2014 @ 10 h 15 min

    Ce que prêche Jean Dutreil ce n’est même plus une croisade contre des hérétiques c’est une guerre pour des intérêts pétroliers!

    Combien de générations de Musulmans haïssent l’Occident depuis le temps des croisades?
    Et cette haine elle se propage de génération en génération!

    Le sang que nous versons à nouveau au Moyen Orient ces dernières décennies, nous en répondrons à l’heure de notre mort devant le tribunal de Dieu !

    Lorsque nous, Occidentaux, auront enfin compris que les Croisades ont été le pire des contre témoignages que la chrétienté pouvait offrir au monde, la Parole du Christ sera entendue et la Paix reviendra parmi nous.

  • champar , 3 octobre 2014 @ 11 h 36 min

    @ Saida
    Ouaf, ouaf !
    Et les russes sont des américains déguisés en russes et les chinois de chiliens déguisés en anglais !

  • patrick Canonges , 3 octobre 2014 @ 12 h 08 min

    Vous avez raison. Il ne faut jamais réagir aux agressions. Vous avez oublié les Espagnols et Portugais qui ont eu tort de conduire la Reconquista.
    Quand on se fait enc…, il faut en redemander.

  • champar , 3 octobre 2014 @ 12 h 14 min

    Tout cela a commencé lorsque les américains ont laissé tomber le Shah d’Iran, ensuite lorsque les américains ont poussé Saddam Hussein à attaquer l’Iran qu’il croyait complètement affaibli en lui promettant qu’il pourrait annexer le Koweit en récompense de cette attaque (Saddam Hussein a donc été très surpris de se voir reprocher son attaque contre le Koweit …)

    – “il n’y a strictement aucune hiérarchie entre les sourates qui ont une égale sacralité religieuse, et par conséquent, le zélé peut choisir ce qui l’arrange”
    Les dernières sourates écrites sont plus importantes que les premières or les sourates invitant les mulsulmants à massacrer les autres sont les dernières lorsque l’islam est triomphant (caliphat islamique). Les sourates conciliantes sont les premières lorsque l’islam est minoritaire (cas actuel de l’europe mais le ton change …)

    – Le chiisme a une capacité d’interprétation du coran ce qui est totalement interdit aux sunnites (ce qui ne veut pas dire que les chiites font toujours un bon usage de cette capacité d’interprétation) le chiisme est dont susceptible d’évolution ce qui n’est pas le cas du sunnisme.
    En Iran, les chiites ne massacrent pas les chrétiens ni les zoroastriens (même s’ils les tiennent en statut inférieur, il y a plus qu’une nuance entre discrimination et massacre)

    Pour les sunnites qui appliquent le coran à la lettre comme le fait le califat islamique (donc les “vrais musulmans”), les autres sont des hérétiques à tuer.

  • Français désabusé , 3 octobre 2014 @ 12 h 33 min

    L’Iran possède un régime de mollahs arriérés… Mis en place par l’administration criminelle américaine!

  • Français désabusé , 3 octobre 2014 @ 12 h 38 min

    Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 Un Non-juif est comme un chien.
    Les écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif.Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs.Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts, comme les vaches, ou les ânes perdus et il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.
    Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on nomme porcs.
    Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les Non-juifs, ce sont des animaux.
    Talmud, Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les Non-juifs à des bêtes impures ».
    Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.
    Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Même qu’un non-juif à la même apparence qu’un juif, ils se comportent envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme.
    Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d’un non-juif c’est comme ci vous mangiez avec un chien.
    Talmud, Yebamoth 98a. Tous les enfants des goyims sont des animaux
    Talmud, Zohar II 64b : Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
    Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.

    Les juifs peuvent voler les non-juifs:

    Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame.
    Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un Non-juif.
    Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un Non-juif.
    Talmud, Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre
    Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice équitablement.
    Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs, ou sur les apostats.
    Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un Non-juif.
    Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: si un juif a la possibilité de tromper un non-juif, il peut le faire.
    Talmud – Babha Kama 113a: les incroyants ne bénéficient pas de la loi et dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël.
    Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

    Les juifs peuvent tuer les non-juifs:

    Talmud, Abhodah Zarah 4b: vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains.
    Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des Goïm devrait être abattu.
    Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.
    Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: tout juif qui verse le sang d’incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu’une offrande à dieu.
    Talmud, Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort.
    Talmud, Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort.
    Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu.
    Talmud, Iore Dea 158, 1 : En ce qui concerne les Non-juifs qui ne sont pas des ennemis, un juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle.
    « Un Akum qui n’est pas notre ennemi ne doit pas être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un danger de mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de l’eau, à moins qu’il ne te promette de te donner de l’argent ».
    Talmud, Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal.
    Talmud, Peaschim 25a : Il faut éviter l’aide médical des idolâtres sous entendu des Non-juifs.
    Talmud, Pesachim 49b : Il est permit de décapiter les Goïm (non-juifs) le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat.
    Rabbin Eliezer : » Il est permis de trancher la tête d’un idiot, un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire un animal charnel, un Chrétien, le jour de l’expiation des péchés et même si ce jour tombe un jour de sabbat « . Ses disciples répondirent : » Rabbi ! Vous devriez plutôt dire ‘de sacrifier’
    un Goï. » Mais il répliqua : » En aucune façon ! Car lors d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à dieu de l’agréer, alors qu’il n’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un. »
    Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder.
    Talmud, Sanhedrin 58b : Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper dieu.
    Talmud, Sanhedrin 59a : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort.
    Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un Non-juif, ce n’est pas un
    péché.
    Talmud, Zohar I, 25a : Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres.
    Talmud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.
    Talmud, Zohar II, 64b : Le taux de naissance des Non-juifs doit être diminué matériellement.
    Talmud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie d’un non-juif.
    Talmud, Zohar II, 43a : L’extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu.

    Les non-juifs sont impurs:

    Talmud, Abhodah Zarah 22b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.
    Talmud, Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont niddah(sales, impures) depuis leur naissance.
    Talmud – Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs.
    Talmud, Schabbath 145b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure.
    Talmud, Zohar I, 46b, 47a : L’âme des goyims est d’une origine théologique impure.
    Talmud, Zohar I, 131a : Les idolâtres (non-juifs) souillent le monde. Le juif est un être supérieur
    Talmud, Hilkhoth Non-juif X, 1 : Ne passez aucun accord avec un Non-juif, et ne jamais manifester de pitié envers un Non-juif.
    Il ne faut pas avoir pitié des non-juifs car il est dit: « tu ne jetteras pas
    sur eux un regard de pitié »
    Deutéronome 7:16 Tu dévoreras tous les peuples que l’Éternel, ton dieu, va te livrer, tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié.
    Talmud, Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.
    Talmud, Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal Non-juif, par un juge Non-juif, ou par des lois non-juives.
    Talmud, Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas.
    Talmud, Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience claire.
    Talmud, Sanhédrin 52b: L’adultère n’est pas défendu. avec la femme d’un Goyim (non-juif), parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec « la femme de ton prochain », et les goyims (non-juifs) ne sont pas des prochains.
    Talmud, Choschen Ham 34, 19: Les Non-juifs et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.
    Talmud, Abhodah Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d’un Non-juif, de peur qu’il ne la croit.
    Talmud, Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyims, ils versent le sang.
    Talmud, Abhodah Zarah 25b: Se méfier des Non-juifs quand on voyage avec eux à l’étranger.
    Talmud, Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage femme non-juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.
    Talmud, Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.
    Talmud, Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un Non-juif.
    Talmud, Choschen Ham 156, 5: Les clients non-juifs possédés par un juifs, ne doivent pas être démarchés par un autre juif.
    Talmud, Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux Non-juifs, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit.
    Talmud, Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des Non-juifs.
    Talmud, Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les Non-juifs et les juifs.
    Talmud, Emek Haschanach 17a: L’âme des non-juifs vient de la mort et de l’ombre de la mort.
    Talmud, Hilkhoth Maakhaloth: Les Non-juifs sont des idolâtres, il ne faut pas les fréquenter.
    Talmud, Hilkhoth X, 6: On peut aider les Non-juifs dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite.
    Talmud, Hilkhoth X, 7: Où les juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres.
    Talmud, Iore Dea 81, 7 Ha: Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique.
    Talmud, Iore Dea 120, 1: La vaisselle acheté à des Non-juifs doit être jetée.
    Talmud, Iore Dea 146, 15: « Leurs idoles [c’est à dire les objets du culte] doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants.»
    Talmud, Iore Dea 147, 5: Il faut railler les objets du culte non-juif, il est interdit de souhaiter du bien à un Non-juif.
    Talmud, Iore Dea 148, 12 H: On peut prétendre se réjouir avec les Non-juifs pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.
    Talmud, Iore Dea 151, 14: Il est interdit de concourir à la gloire d’un Non-juif.
    Talmud, Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un Non-juif, cela encourage l’amitié.
    Talmud, Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les enfants à l’hérésie.
    Talmud, Iore Dea 154, 2: Il est interdit d’enseigner un métier à un Non-juif.
    Talmud, Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Non-juif avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n’ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit est accordé dans n’importe quelle circonstance.
    Talmud, Moed Kattan 17a: si un juif est tenté par le mal, il doit se rendre dans une ville ou on ne le connaît pas et la il peut s’adonner au mal.
    Talmud, Orach Chaiim 20, 2 : Les Non-juifs se déguisent pour tuer les juifs.
    Talmud, Rosch Haschanach 17a : L’âme des non-juifs descend en enfer pour toutes les générations.
    Talmud, Sanhedrin 57a: un juif n’est pas obligé de payer le salaire redevable à un non-juif.
    Talmud, Sanhedrin 90a: ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens) n’auront pas de place dans le monde à venir
    Talmud, Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres des non-juifs (nouveau testament)
    Talmud, Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un Non-juif, ne se relèveront pas des morts.
    Talmud, Zohar I, 28b: Les Non-juifs sont les enfants du serpent de la Genèse.
    Talmud, Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de tromper les Non-juifs.
    Talmud, Zohar I, 219b: Les princes Non-juifs sont des idolâtres, ils doivent mourir.
    Talmud, Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes Non-juifs seront morts

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