Assimilation, intégration, laïcisation, inclusion : lettre aux autruches

Prologue : En tant que Roumain de naissance je regrette énormément qu’un pays comme la Roumanie n’ait pas été colonisé 130 ans par la France, comme elle l’a fait en Algérie, au lieu de subir 500 ans de l’Empire ottoman et 50 ans du communisme russe !

Je suis assis sur l’Europe, avec un pied à l’Est, en Moldavie-Roumanie, où, je suis né, j’ai appris à lire et écrire et j’ai grandi, et avec l’autre à l’Ouest, en France, où j’ai été formaté, j’ai créé et procréé.

J’ai deux yeux, un pour regarder mon écosystème structuré par 500 ans de résistance aux Ottomans et 50 ans aux communistes et à la Russie, et l’autre pour regarder vers l’autre bout de l’Europe, vers la France qui pendant des siècles m’a empêché de fermer les yeux.

Avec du recul, je constate que Dieu se trompait quand il a fait le monde, car les rayons du soleil et la lumière qui me chauffait et m’éclairait venaient de Ouest, tandis qu’à l’Est, ils disparaissaient dans une nuit profonde, ou comme dans une tradition populaire, le soleil périssait dévoré par le diable ! Ou, peut-être je me suis trompé de lieu de naissance, car si j’étais né de l’autre coté de la Terre, dans le Pacifique ou en Amérique, alors la lumière et le soleil viendraient en vérité de l’Est !

Je constate aussi une autre faute. Les neurones de mon 3e œil ont regardé vers le Sud. Eurêka! Hérodote, Aristote-le démocrate, Dionysos-l’enivreur, Aphrodite-la belle… Pas trop loin, deux audacieux, César – le Gaulois et Trajan – le Dace ! Et quelques copies : Bacchus, Vénus… puis Byzance, Constantin et Constantinople. La 2e Rome né 300 ans après Jésus, devient officiellement la seconde capitale de l’Empire romain chrétien pour 1 000 ans. Inimaginable bouleversement !
Voyons, voyons, si s’était incroyable, je fais comme Thomas, je veux voir ! Je traverse « Mare nostrum » avec le « Routard » d’Hérodote dans les mains ! Loin, c’est l’Égypte avec ses maisons en pierre. Alexandre, Ptolémée, Trajan me guident. Je vais vers l’Ouest sur la trace d’Héraclès. Je m’arrête à Ikosim voire Icosium, la ville bâtie par ses 20 compagnons (eikosi). Puis je vais me reposer aux colonnes d’Hercule, entre le monde civilisé au Nord et les dangereux barbares du Sud. Au réveil, je constate que Jésus est passé par là et que ce monde dangereux m’a reçu avec du « pain et du vin ». J’étais chez moi, « ubi bene, ibi patria ». Mais, comme Ulysse dans les temps jadis, après 700 ans je me suis réveillé devant la triste réalité ! Une tempête de sable venue de nulle part faisait tabula rasa sur son chemin. Je quitte mes frères et par le Djebel Tariq je rentre chez moi, en Europe. Je respire profondément car Charles Martel a réussi à arrêter ce tsunami destructeur des biens et des âmes. Je regarde vers l’Est et puis je retourne à ma « alma mater», les Carpates, en empruntant les voies romaines. Le chemin est long et dur, mais l’espoir de revoir mes moutons me berce et me transporte. Je ne trouve plus mes Daces. Avec Trajan, ils sont devenus roumains. Sont-ils heureux, je ne sais pas ! Mais, au croisement des vents de l’Est et du Nord, le bonheur est passager. Ils bâtissent en bois, car ils n’ont pas le temps de bâtir « en pierre » ! Et quand ils ont mis les premières pierres, un tsunami destructeur venu du Sud emporte le tout ! Pauvre Europe, elle a résisté à l’Ouest, mais elle est en grand danger à l’Est ! En vain la 2e Rome désespérée appelle au secours ses frères de l’Ouest, ils restent sourds. Et après 1 000 ans de résistance au bénéfice de l’Europe, elle tombe sous les yatagans asiatiques. Cependant, sa mort ne l’a pas empêché de transmettre à la 1ère Rome ce qu’elle avait de plus cher, son savoir.

À qui le tour ? C’est à Vienne, évidemment, qui était en train de restructurer le Centre de l’Europe. Attaquée deux fois en 150 ans, elle a eu une chance inouïe car elle a été sauvée in extremis par des cavaliers polonais. Ainsi, Vienne reste la porte d’entrée en Europe. À l’Ouest de Vienne, derrière ses murailles, l’air était respirable. On a pu bâtir en pierre. Mais pour ceux qui se trouvent à l’est et au sud de Carpates et du Danube, le temps s’est arrêté pendant 500 ans ! Longue, très longue période d’hibernation.

Enfin, l’histoire ne se répète pas car la belle Europe qui, dans le passé, est tombée sous les charmes du maître du monde – Zeus, cette fois, elle résiste à Allah, malgré toutes ses attaques à l’Est comme à l’Ouest, pendant 1 000 ans ! Certes, la perte de son berceau et d’une partie de sa famille la fait souffrir, mais elle a résisté car sa jeunesse mouvementée l’a rendue forte. Étant obligée de se transformer souvent pour refouler ou avaler les nombreux prétendants venus à cheval depuis les steppes éloignées de sa sœur Asie ou de plus près, des membres de sa famille attirés par sa grâce, elle a tellement grandi qu’elle est devenue une nouvelle Gaïa, la mère du monde. Avec une colonne vertébrale infaillible régénérée continuellement par des cellules souches issues de la chrétienté romaine, non seulement elle a su européaniser et humaniser ses enfants réticents et les envahisseurs Goths, Huns, Vandales, Mongols, Tartares, Slaves, Avars, Bulgares, Lombards, mais elle a su et pu bourgeonner ailleurs, à travers les mers et les océans. Naviguer, voir, comprendre et apprendre…. Si ses enfants « ont vu plus loin, c’est parce que ils sont montés sur ses épaules de géant » ! Ils ont vu l’univers et ils ont créé les universités ! Ils commencent à se comprendre. Ici-bas, l’homme travaille toujours la terre, tout en regardant le ciel ! Le feu prométhéen s’est propagé partout, sauf de l’autre coté de la « Mare nostra »! Là, depuis le 7e siècle Athènes, Rome et Jésus ont était balayés par la poussière née dans le désert d’Arabie. Porté au bout de l’yatagan, cet « yildirim », la foudre, a réussi à faire tabula rasa de 1 000 ans d’histoire. Le 7e siècle devient l’année « zéro » ! Les deux mondes se trouvent face à face. L’Europe continue de faire sa « mue », de mieux se connaître (Socrate), la renaissance, la révolution, la démocratie, l’égalité, le droit de l’Homme… De l’autre coté, le Coran, l’épée, la piraterie… On ne parle pas le même langage. La traduction en arabe des Grecs n’a pas changé « l’Homo Coranicus », même si quelques dialogues ont eu lieu, surtout en terre européenne. Dans l’impossibilité de « changer », c’est la guerre qui a parlé. C’est ainsi que la France a jeté un pont entre les deux rives de la Méditerranée, sur la terre de l’ancienne Numidie romaine. Fini le piratage arabo-turc, vive la navigation libre et le commerce ! Cependant, pour que cela dure, il faudrait rester en Numidie et faire comme les Romains : défricher, labourer, planter, faire des routes, des villes, des hôpitaux, des écoles, en un mot, récupérer le temps perdu : les 1 000 ans de non-développement. En 130 ans, ceux qu’on appelle pieds-noirs, avec leur sueur et leur sang, ont bâti un nouveau pays, baptisé Algérie. Le miracle du « vieillard de Tarente » (Virgile, Géorgiques) se reproduit :

« Je me souviens ainsi d’avoir vu au pied des hautes tours de la ville d’Oebalus, aux lieux où le noir Galèse arrose de blondissantes cultures, un vieillard de Coryce, qui possédait quelques arpents d’un terrain abandonné et dont le sol n’était ni docile aux bœufs de labour, ni favorable au bétail, ni propice à Bacchus. Là pourtant, au milieu de broussailles, il avait planté des légumes espacés, que bordaient des lis blancs, des verveines et le comestible pavot; avec ces richesses, il s’égalait, dans son âme, aux rois; et quand, tard dans la nuit, il rentrait au logis, il chargeait sa table de mets qu’il n’avait point achetés. Il était le premier à cueillir la rose au printemps et les fruits en automne; et, quand le triste hiver fendait encore les pierres de gel, et enchaînait de sa glace les cours d’eaux, lui commençait déjà à tondre la chevelure de la souple hyacinthe, raillant l’été trop lent et les zéphyrs en retard. »

“La traduction en arabe des Grecs n’a pas changé « l’Homo Coranicus », même si quelques dialogues ont eu lieu, surtout en terre européenne.”

Toutefois, ce saut dans l’histoire, c’était trop pour « l’Homo Coranicus », et avec larme au cœur les pieds-noirs, certains après 7 générations, ont été obligés de quitter leur œuvre et de rentrer au pays pour recommencer à défricher, labourer, planter, faire des routes, bâtir…

Et de l’autre coté à l’Est, les enfants d’Europe abandonnés aux mains des Sultans turcs, attendaient depuis 500 ans de réintégrer « alma-mater ». Durant tout ce temps, une seul lueur d’espoir, quand Charles Quint et les Habsbourg essayent d’éliminer les Ottomans. La plus grande bataille navale entre les flottes chrétiennes et ottomanes de Lépante, à laquelle la flotte française n’a pas participé, gagnée par les chrétiens, a donné de l’espoir car elle a montré que les « infidèles » ne sont pas invincibles. Mais, malheureusement, la priorité était ailleurs : résoudre les rivalités internes et même personnelles entre les enfants gâtés de l’Europe par des guerres et révolutions. Même Napoléon, avec ses 700 000 guerriers en perdant sa boussole, s’est trompé, car il s’est dirigé vers l’Est au lieu de descendre vers le Sud pour balayer les « infidèles descendus de la demi-lune » et libérer ses ancêtres et Constantinople. Quel gâchis ! Cependant ce continuum va-et-vient guerrier a transformé l’ « Homo Europeanus » qui, en se connaissant mieux, s’est doté d’une « conscience nationale » qui va bouleverser le paysage européen : deux nouveaux pays sont nés, l’Italie et l’Allemagne. À l’Est, heureusement ou malheureusement, la 3e Rome se réveille en Russie et vise de prendre la place des Ottomans, et surtout Constantinople. Elle ne réussira pas car le souffle libératoire né en France réussira à mettre fin à 500 ans de présence ottomane et à constituer des pays – nations, dont le mien, la Roumanie. Ce long séjour a laissé des traces car, d’une part, des petites minorités en quête de bien-être matériel ont quitté la Bible pour le Coran, et, d’autre part, certains colons turcs installés dans les Balkans sont restés sur place. Ces petits noyaux soutenus et même encouragés par l’« Homo Coranicus afro-asiatique » sont à l’origine des révoltes et même des guerres balkaniques récentes.

Le temps passant, d’autres cataclysmes majeurs se sont abattus sur l’Europe. Elle a survécu et même elle s’est renforcée car la démocratie, la liberté, l’égalité, la fraternité, essentielles pour se sentir homme caractérisent notre comportement et notre vie. C’est la quintessence de la chrétienté, c’est notre identité. Elle a pu mettre sur le bon chemin ses enfants égarés, elle a reçu dans son sein des populations entières guidées par la nécessité ou des conquérants attirés par la toison d’or qui, en contact avec ses valeurs, sont devenus ses enfants.

Aujourd’hui le monde a changé profondément. Des clivages économiques, idéologiques, religieux profonds sont apparus. Comment agir pour que l’homme devienne humain ? Est-ce que les 2 000 années de notre Histoire, de notre civilisation, sont en danger ? Durant tout ce temps, nous avons appris qu’une fracture économique est relativement plus facile à redresser, qu’une fracture de l’esprit, qui est plus stable et plus dangereuse. L’idéologie communiste issue du monde chrétien qui visait le bonheur universel à la place de l’individu, n’a vécu que 100 ans, mais sa mise en place fait partie des crimes contre l’humanité. Le clivage religieux est plus ancien et plus dangereux car il touche les masses et pas seulement les élites. L’histoire nous montre qu’une dictature religieuse par sa durée et son impact sociétal est plus pernicieuse qu’une dictature militaire. L’histoire de l’Europe révèle plus de 1 000 ans de confrontation armée entre la Bible et le Coran. Elle se poursuit même aujourd’hui hors-Europe notamment en Afrique où les chrétiens sont menacés de disparition, même dans leur berceau originel. La discrimination est permanente et l’islam étant religion d’État use de tous les moyens pour finir cette épuration religieuse. En Europe, une importante migration diffusant des populations musulmanes, essentiellement d’origine économique, a eu lieu durant les 50 dernières années. Ces populations imprégnées par l’islam n’ont jamais été attirées par la lumière de l’Europe et au contraire par certains comportements elles se sont trouvées en conflit avec les populations locales. Si, au cours du temps, toutes les autres populations se sont intégrées et même assimilées à l’Europe, eux ont du mal à trouver leur place dans un contexte de plus en plus laïcisant, ou la liberté individuelle règne en loi. Il s’agit là d’un conflit culturel qui est souvent traité à tort comme racial. Prisonniers d’un islam de plus en plus radicalisé propagé par des courants islamisés prônant la guerre sainte et la haine de l’Occident, ces populations profitent de la faiblesse des démocraties et tentent par tous les moyens, même virulents, d’imposer leur « monoculturalisme » comme loi. Il ne s’agit plus d’assimiler ou d’intégrer la culture du pays hôte, mais de changer ce vieux pays. Et cette-fois par le ventre, et non par l’épée. Ils (nous !) mangent déjà du « halal », le voile ou la burqa comme drapeau fait parti du paysage, des quartiers et des villes entières nous appartiennent et nous faisons la loi, nos mariages traditionnels à l’orientale remplacent leurs unions civiles, notre famille se renforce tandis que la leur disparait, bientôt leur pays sera couvert de mosquées et d’écoles coraniques en arabe, l’avenir est à nous ! On a déjà gagné car cette vielle nation n’est plus une nation, car au nom d’une « universalité » ils ont perdu leur identité ! Ils sont malades de la « repentance-ologie ». Ils se sentent responsables de notre communautarisme, et par conséquence ils appliquent une « discrimination positive » en notre faveur dans tous les domaines. Ils se punissent eux-même ! Le comble, étant sécularisé ils ont combattu pendant plus de 200 ans leur spiritualité traditionnelle qualifiée « d’opium du peuple », et maintenant devant le vide, ils essayent d’inventer une nouvelle religion, le laïcisme ! Ainsi désorientés et sans repères, leurs enfants trouvent un refuge dans le Coran, dans notre famille, et participent même avec nos enfants à la guerre sainte-Jihad ! Leur nouvelle idéologie est de créer l’Homme Nouveau qui n’a plus d’histoire, plus de famille, plus de sexe…Après Jésus et Mohamed, ils veulent pour la 3ème fois recommencer à compter le temps ayant comme an zéro « la naissance de l’homme nouveau ».

En vérité, ils sont devenus fou ces gaulois !

Inch Allah !

« Ceux qui ne croient pas au Coran lorsqu’il leur est parvenu, qu’ils sachent que c’est un livre inattaquable ; le faux ne l’atteint d’aucune part, ni par devant ni par derrière car c’est une révélation émanant d’un sage digne de louanges » (41:41-42). »

Post Scriptum : « Les idéologies offrant clé en main une vision du monde totalisante, sinon totalitaire, se sont effondrées: le christianisme ne fait plus recette et, même chez les chrétiens, le dogme persiste sous forme allégée, à la carte; le marxisme a globalement cessé de séduire avec la découvert de la traduction française de l’Archipel du goulag de Soljenitsyne, une somme qui affirme la proximité ontologique du marxisme avec les camps de concentration nazi; à quoi il faut ajute, en 1983, le renoncement des socialistes au socialisme sous l’impulsion de Mitterrand, alors présidant de la République, converti par opportunisme politique au libéralisme, et, en 1989, la chute du mur de Berlin, donc la disparition des goulags… Dégrisé, l’Occident se retrouve affecté d’une formidable gueule de bois ontologique. (…) En 1979, l’islamisme semble un épiphénomène iranien, il n’a pas encore donné la pleine mesure de sa nocivité planétaire: l’effondrement du politique se double donc d’un surinvestissement dans religieux. Désormais on ne croit plus à la révolution, en revanche on part à l’assaut du ciel. La Bible et le Capital pâlissent pendant que le Coran brille de tous ses feux guerriers. » (Michel Onfray)

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48 Comments

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  • 0 / 10
  • bernique , 3 janvier 2014 @ 16 h 55 min

    Stop !

    Don’t feed the troll ! ! !

  • bataille de Tourtour , 3 janvier 2014 @ 19 h 40 min

    Il en est des religions comme des alcools :à consommer avec modération. On peut d’ailleurs remarquer que l’éradication de la religion entraîne immédiatement l’adhésion à une “religion de substitution”,souvent bien plus bête et plus violente que la précédente. Les régimes politiques athées ont été parmi les pires :voir à l’heure actuelle la Corée du Nord.
    Quant à la violence,aux affrontements meurtriers,aux guerres,aux génocides,ce n’est pas l’absence de religion(s) qui les supprimera. L’être humain est violent :la faute en est à son hypothalamus .”Ecrasons l’infâme” ?

  • bataille de Tourtour , 3 janvier 2014 @ 20 h 13 min

    Certes,Jésus nous a dit d’aimer nos ennemis,de tendre la joue droite…,de donner notre manteau. Et les premiers chrétiens ont fait de même,et ont couru au martyre pour rallier plus vite le Royaume de Dieu.Car ils croyaient fermement au retour imminent du Messie.Dans ces conditions,évidemment…Mais bon,l’imminence ,du point de vue divin n’est sans doute pas la même que l’imminence du point de vue humain.
    Or donc,pour le moment,le Messie n’est pas revenu;et il nous appartient de nous organiser,de faire taire nos vaines querelles,et,surtout,de ne pas tendre l’autre joue,de ne pas filer notre tunique si on nous a arraché notre manteau,de ne pas pardonner à tout va ,ni de jouer orgueilleusement les bons Samaritains;mais au contraire de nous révolter,parce que nous existons,nous Français,nous Occidentaux,nous à la fois laïques et chrétiens, héritiers d’une magnifique civilisation: “Qu’as-tu que tu n’aies point reçu?”, dit Paul de Tarse ( 1 Corinthiens,IV,6). Donc responsables de cette civilisation,qu’il nous appartient de préserver, et de transmettre.

  • bataille de Tourtour , 3 janvier 2014 @ 20 h 20 min

    Les régimes athées ont abondamment fait la preuve qu’ils étaient pires encore que les régimes à connotation religieuse.
    Sauf en ce qui concerne les régimes théocratiques islamiques.Mais l’islam est un système politique effroyablement totalitaire,tissé de violence,et seulement verni de religion. 90% de politique,10% de religieux.

  • Marie Genko , 4 janvier 2014 @ 9 h 46 min

    Le Christ nous a donné la Parole de Vérité, mais nous avons interprêté cette parole au tamis de nos passions et de nos violences.

    Le magnifique article ci-dessus a l’immense mérite de nous le rappeler!

    C’est à cause de nos erreurs humaines, souvent faites au nom du Christ que nous avons semé le rejet du christianisme!

    Voilà pourquoi nous devons nous repentir de nos erreurs et oeuvrer pour retrouver l’union première de la chrétienté indivise.

    Mais cela ne s’obtiendra que par la prière sincère de chacun d’entre nous!
    Prions afin que le Seigneur nous enseigne à mieux voir nos erreurs et à revenir vers le christianisme originel des Pères de l’Eglise.

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