Une féministe suédoise refuse de signaler l’agression sexuelle d’un immigré afghan sur sa fille de 12 ans : « Il pourrait être expulsé »

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Eric Martin
28 janvier 2018
Latest Update: 28 janvier 2018 22 h 30 min
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Une féministe a refusé d’informer la police lorsque son petit ami, demandeur d’asile, a commis une agression sexuelle sur sa fille de 12 ans: « Je craignais qu’il ne soit renvoyé », a expliqué la femme. Elle va même ordonner à sa fille de « ne pas dire quoi que ce soit » au sujet de ce qui est arrivé. La fille a refusé de vivre avec son agresseur et sa mère amoureuse – le lendemain de l’agression, elle a déménagé chez son père où l’histoire a été découverte.

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hermeneias , 28 janvier 2018 @ 22 h 25 min
C’est une maladie mentale !
La défaite ou la victoire sont d’abord et ultimement mentales
Gisèle , 29 janvier 2018 @ 0 h 07 min
J’espère qu’elle sera punie comme il se doit et qu’elle sera déchue de ses droits maternels .
yves tarantik , 29 janvier 2018 @ 10 h 18 min
C’est de la non-assistance à personne en danger caractérisée.
SARRA , 29 janvier 2018 @ 11 h 34 min
les filles parties pour daesh etaient elles aussi en manque de sexe et pour se libérer ont servi dans des bordels avec plaisir et volontaires
cette mère devrait être abusé par une horde de barbare et ensuite finir en tôle et être exisé comme en afrique.
dj , 29 janvier 2018 @ 13 h 22 min
Chance pour l’ex-mari de ne plus être l’époux de cette pauvre dénaturée mais d’être resté père de son enfant!!!et Bravo dj
gouhier , 29 janvier 2018 @ 13 h 44 min
comment peut on avilir sa propre fille de cette manière !!!elle est à interner !!!!
Rorol , 29 janvier 2018 @ 14 h 44 min
allez retour au bercail chez ces fous