À l’université Goldsmith University de Londres, les propos racistes les plus ignobles sont autorisés à condition qu’ils visent les blancs. Bahar Mustafa, une jeune Londonienne de 27 ans responsable « bien-être et diversité » du syndicat étudiant de son université, s’est défendue de son tweet #killallwhitemen (« tuez tous les hommes blancs ») en affirmant qu’elle ne pouvait pas être raciste, puisqu’elle appartient à une minorité ethnique. Bahar Mustafa s’était déjà distinguée en interdisant aux hommes blancs de venir à un événement qu’elle organisait en faveur de l’égalité. Sur la page Facebook de l’événement, elle avait écrit « Si vous avez été invité(e) et que vous êtes un homme et/ou blanc(he), MERCI DE NE PAS VENIR. » En réponse aux critiques d’un activiste étudiant, Tom Harris, elle l’a qualifié sur un compte Tweeter de l’université d’ordure blanche (white trash).
Seuls 165 étudiants membres de ce syndicat ont demandé la destitution de la responsable « bien-être et diversité » alors que ce syndicat compte plus de 8000 adhérents. Faut-il en conclure que l’énorme majorité des étudiants de cette université londonienne sont des gens de couleur tous plus racistes les uns que les autres ou bien qu’ils sont tous, indépendamment de la couleur de leur peau, tellement formatés au politiquement correct et à la repentance collective qu’ils ne conçoivent effectivement le racisme que par des blancs contre des membres d’autres ethnies ?
Capture d’écran du site du Telegraph : “Bahar Mustafa, responsable bien-être et diversité pour l’université Goldsmiths de Londres”
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