“Ce que nous avons, c’est un service national de santé, pas un service international de santé”. Le ton est donné. David Cameron vient d’annoncer que le Gouvernement conservateur allait limiter les allocations aux étrangers et donner la priorité aux citoyens britanniques dans l’attribution des logements sociaux (“Les immigrés devront avoir vécu et contribué à l’effort du pays pendant deux ans avant de pouvoir être éligibles.”) Quant aux “citoyens de l’espace économique européens qui ne se donnent pas une vraie chance de trouver un emploi, au bout de six mois, (ils) perdront leurs allocations”, prévient le Premier ministre conservateur. Des décisions influencées, affirme le journaliste de France 2, par les “unes xénophobes” de la presse anglaise. Sic.
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