Une étude publiée ce mardi par l’Office fédéral de la statistique indique que les adultes étrangers représentent 57,8% de tous les adultes condamnés en 2019.
Les nationalités les plus concernées sont celles des pays d’Afrique du sud-ouest, qui récoltent le taux de charges le plus élevé, avec 30 pour mille – c’est-à-dire que sur 1000 personnes originaires de ces pays, 30 ont commis une infraction. Les personnes originaires des pays de l’ouest de l’Afrique arrivent à la seconde place avec un taux de 21,7 pour mille.
Ils sont suivis par les Jamaïcains (20,5), les Haïtiens (19), les immigrants de la République dominicaine et du Yémen (17,7) et par les Sud-africains (17,6). Les Nord-africains se placent au 8e rang, alors qu’ils étaient à la 3e place lors du dernier relevé.
Les immigrants de l’ancienne Yougoslavie ont vu leur taux de charge diminuer à 7,6 pour mille, soit 0,3 pour mille de moins que l’année précédente.
Les ressortissants Britanniques et Canadiens (1,2), Américains (1,4) ainsi que Suédois et Néerlandais (1,6) sont parmi les moins représentés. Ce sont les personnes de nationalité indienne qui ont le taux le moins élevé de condamnations à 0,9 pour mille. Les Suisses ont, quant à eux, un taux de 2,6 pour mille.
Toutefois, l’Office fédéral de la Statistique met en garde contre les conclusions hâtives et précise que ces chiffres ne « prouvent pas l’existence d’un lien de causalité entre nationalité et comportement condamnable ».
En effet, ces chiffres ne prouvent rien : l’immigration africaine apporte de la sécurité et de la prospérité à la Suisse dont la justice est profondément raciste, fin de la discussion.