Dans le cadre du procès contre Radovan Karadžić, le Tribunal pénal international pour la Yougoslavie (TPIY) a reconnu en mars 2016 que le président serbe n’avait pas participé au projet d’épuration ethnique en Croatie et en Bosnie et qu’il s’y était même opposé.
Un aveu du TPIY qui aurait dû faire les gros titres des médias occidentaux, ce qui n’a bien entendu pas été le cas.
Voir l’article du Salon Beige du 11 août dernier à ce sujet, et aussi l’article du Visegrád Post du 21 août (qui donne également en lien la lettre envoyée deux jours avant sa mort en prison par Slobodan Milošević aux ministère des Affaires étrangères russe, dans laquelle l’ancien président de la Serbie estime être victime d’empoisonnement et demande à être examiné par des médecins russes).
Ou encore l’entretien avec Nikola Mirković publié dans le journal Présent du samedi 20 août :
13 Comments
Comments are closed.