Communisme et nazisme, les deux branches radicales du socialisme

The Soviet Story du Letton Edvins Snore est un film documentaire méconnu en France, et c’est bien dommage car il démolit deux mythes particulièrement bien ancrés dans notre pays. Le premier mythe nous fait croire que le communisme, contrairement au nazisme, part d’une bonne intention. Le deuxième mythe, c’est de s’imaginer que le socialisme internationaliste bolchevique et le socialisme ultranationaliste nazi n’ont absolument rien en commun, et que d’ailleurs le national-socialisme n’a de socialiste que le nom. Edvins Snore nous raconte, témoignages, images et documents d’archives à l’appui, l’histoire commune de deux branches radicales du socialisme : le national-socialisme allemand et le communisme russe.

Premier mythe : contrairement au nazisme, le communisme part de bonnes intentions

Ou, comme l’affirme le président socialiste de l’agglomération de Montpellier pour justifier l’édification de statues de Mao et Lénine (voir l’article ici) sur la Place des Grands Hommes du XXe siècle (à environ 300 000 euros la pièce, voir ici), « les idéologies représentées sur la place sont toutes des idéologies de libération et de conquête des droits malgré leurs parts d’ombre ».

Faux, répond le Letton Edvins Snore qui, contrairement à M. Moure ou M. Frêche, l’ancien président socialiste de la région Languedoc-Roussillon à l’origine du projet, a connu le communisme au pouvoir. Le communisme c’est la guerre des classes, et la guerre des classes implique de liquider une partie de la population. Pour restructurer la société, il faut d’abord tuer non seulement les opposants, mais aussi les intellectuels, les meilleurs travailleurs, les ingénieurs, etc. Des groupes entiers de la société. C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine et Staline, Mao et Pol Pot, pour ne citer que les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des peuples sont considérés comme trop réactionnaires. Karl Marx et Friedrich Engels prônaient eux-mêmes « l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que des Basques, des Bretons et des Highlanders d’Écosse », tous des peuples trop peu évolués pour la révolution communiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable « progrès » de l’humanité.

En hiver 1932-33, pour écraser la résistance des Ukrainiens trop attachés à leur terre face à la collectivisation, toutes les réserves de nourriture et de grain ont été confisquées, les champs encerclés par le NKVD (le prédécesseur du KGB), avec interdiction de s’en approcher. Les trains aussi étaient étroitement surveillés pour empêcher les Ukrainiens affamés de partir. Les gens mouraient lentement de faim. Hommes, femmes, enfants, vieillards. Des unités spéciales du NKVD venaient chercher les corps. Les Ukrainiens affamés qui essayaient de cueillir de la nourriture dans les champs malgré l’interdiction étaient tués d’une balle dans la tête. Le grain pris aux Ukrainiens était exporté à l’Ouest par millions de tonnes. L’Ouest savait et commerçait malgré tout. Sept millions de personnes sont mortes de faim pendant l’hiver 1932-1933 en Ukraine et c’était à ce moment-là le programme d’extermination le plus efficace jamais vu dans l’histoire de l’Humanité.

L’objectif ultime du marxisme-léninisme, c’est la naissance de l’Homme nouveau. Il faut pour cela recréer la société dans laquelle l’Homme évolue et l’Union soviétique a été le premier champ d’expérimentation de cette théorie meurtrière. Le documentaire The Soviet Story démarre sur des images de centaines de corps déterrés par les Allemands à Katyń, où au printemps 1940 les Bolcheviques avaient exécuté en masse quelque 25 000 membres de l’élite polonaise. De la même manière, dans un dernier acte de complicité avec le régime nazi, Staline laissa froidement, pendant 2 mois et alors que ses troupes attendaient de l’autre côté de la Vistule, les Allemands écraser l’insurrection de Varsovie d’août-septembre 1944. Résultat : environ 200 000 Polonais tués dont 10 % seulement étaient des combattants. Bien peu de monde finalement par rapport au million de Polonais déportés en Sibérie dans la partie du pays occupée par les Soviétiques en 1939-41. Une bonne moitié ne sont jamais revenus. Les critères de déportation ? Le décret 0054 du NKVD du 28 novembre 1940 délivré à Vilnius par le Commissaire du Peuple de la République socialiste soviétique de Lituanie (une ville polonaise entre les deux guerres mondiales, capitale historique de la Lituanie) nous dévoile les catégories de gens à déporter : les membres de partis politiques, les personnes qui ont été exclues du parti communiste, les réfugiés, les étrangers, les personnes qui ont voyagé à l’étranger, les personnes qui font de l’esperanto (!), les philatélistes (!!), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une activité paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés religieuses, les aristocrates, les propriétaires terriens, les commerçants aisés, les banquiers, les industriels, les restaurateurs et les hôteliers (1). Parmi les quelque trois millions de Polonais non juifs qui ont été tués pendant la deuxième guerre mondiale, la moitié environ l’ont été par l’occupant soviétique et l’autre moitié par l’occupant allemand. Bien évidemment, avec le génocide des Juifs polonais, les nazis ont fait nettement plus de morts en Pologne que les communistes, mais ces derniers les ont aidé dans ce domaine aussi.

Deuxième mythe : communisme soviétique et national-socialisme allemand sont deux idéologies complètement différentes

Un fait historique est mis en avant dans The Soviet Story : de septembre 1939 à juin 1941, les Soviétiques ont livré aux Allemands des groupes entiers de Juifs qui avaient fui l’occupant allemand. Le NKVD communiste a aidé à former la Gestapo nazie. Soviétiques et Allemands ont discuté ensemble de la manière dont il fallait résoudre la « question juive » en Pologne occupée. Les images d’archive de ces officiers soviétiques et allemands qui trinquent ensemble ou de cet officier communiste qui fait le salut nazi aux officiers SS devant un groupe de prisonniers juifs apeurés « rendus » aux Allemand sont sans équivoque. Le cinéaste letton nous montre encore cette publication communiste française de juillet 1940 qui vante le fait que les travailleurs parisiens s’adressaient aux soldats allemands comme à des amis. La coopération entre le régime nazi et le régime bolchevique était un fait bien avant le Pacte Molotov-Ribbentrop et elle ne s’est pas arrêtée au simple partage des territoires d’Europe centrale entre les deux puissances.

Les affinités étaient profondes. Tout comme le communisme, le national-socialisme avait pour ambition de créer un Homme nouveau. Françoise Thom, professeur d’histoire à la Sorbonne, interrogée dans le film d’Edvins Snore :

« Les deux systèmes n’acceptent pas la nature humaine telle qu’elle est, les deux systèmes sont en guerre avec la nature humaine. C’est la racine du totalitarisme. Le nazisme est basé sur une fausse biologie, le communisme est basé sur une fausse sociologie. Mais les deux systèmes prétendent avoir une base scientifique ».

Les esprits réactionnaires de ce début de XXIe siècle ne pourront s’empêcher, en lisant cette description, de penser à la rhétorique du « mariage pour tous », avec PMA et GPA, le tout basé sur la théorie du genre. J’espère qu’on me pardonnera cette petite digression personnelle mais l’association d’idées était trop forte pour que je m’en prive.

Un des principaux scientifiques du régime nazi, Alfred Rosenberg, a d’ailleurs confessé devant le tribunal de Nuremberg qu’Hitler avait dévoyé l’idée du national-socialisme. En effet, du point de vue des nationaux-socialistes, l’idée partait d’une bonne intention : créer une société nouvelle avec des gens sains, beaux et heureux, sans handicapés et sans Juifs.

George Watson, historien de l’Université de Cambridge : « Peu de gens savent que beaucoup de socialistes ont prôné le génocide au XIXe et au XXe siècle. C’est un fait très peu connu et très choquant. La première fois, c’était en janvier 1849, dans le journal de Karl Marx, le Neue Reinische Zeitung, Engels parlait de guerre des classes et Marx expliquait que quand la révolution socialiste éclaterait, il y aurait des sociétés primitives en Europe avec deux étapes de retard, puisqu’elles ne sont même pas encore capitalistes. Il avait en tête les Basques, les Bretons, les Highlanders d’Écosse et les Serbes, qu’il appelait des déchets raciaux. Karl Marx considérait que ces races devraient être détruites. »

Pierre Rigoulot, historien à l’Institut d’Histoire Sociale, Paris : « Marx parlait de la vulgarité et la saleté des Slaves. Il pensait par exemple que la Pologne n’avait aucune raison d’exister. »

Quelques années après Marx écrivait dans son journal : « Les classes et les races trop faibles pour maîtriser les nouvelles conditions de vie doivent laisser le champ libre. » […] Elles doivent « périr dans l’holocauste révolutionnaire ».

Pour George Watson, Marx et Engels ont bien été les premiers avocats de l’extermination raciale : « Je ne connais personne d’autre qui avant Marx et Engels aurait parlé publiquement d’exterminer des races et je suppose donc que cela a commencé avec eux. »

Un an après la mort de Lénine en 1924, le New York Times a publié un petit article qui disait : « Le parti national-socialiste des travailleurs allemands, fondé par Hitler, continue de penser que Lénine et Hitler sont comparables. » C’est Joseph Goebbels lui-même qui est cité dans l’article comme organisant des discussions politiques soutenant cette thèse : « Lénine était le plus grand des hommes après Hitler et la différence entre le communisme et la foi d’Hitler est très subtile. »

Par la suite, le message de leur ressemblance aux communistes passant mal auprès de leur électorat, les nazis ont changé de stratégie, mais dans les discussions internes du parti, Hitler disait souvent avoir lu Karl Marx et avoir basé sa doctrine sur les écrits de ce dernier.

Vladimir Boukovski, ancien dissident soviétique : « Les gens oublient souvent que les nazis étaient des socialistes. En Union soviétique c’étaient des internationaux-socialistes, en Allemagne c’étaient des nationaux-socialistes. Ce sont deux branches du socialisme. C’est la même chose, avec seulement une légère différence d’interprétation. »

Françoise Thom : « Une partie de la gauche a rejoint Hitler. En tout cas, en France, une partie des socialistes le soutenaient. »

Le dramaturge socialiste George Bernard Shaw soutenait lui aussi Hitler dans les médias. Et ce n’était pas parce qu’il ignorait les crimes que Hitler allait commettre, bien au contraire c’est justement parce qu’il les connaissait. Shaw demandait publiquement que les personnes inutiles pour la société soient assassinées de manière humanitaire. Des images d’archives que The Soviet Story publie à nouveau. Le socialiste Shaw lança même dans le journal Listener du 7 février 1934 un appel aux scientifiques pour qu’ils découvrent un gaz humanitaire qui permettrait de tuer instantanément et sans douleur, un gaz que les nazis allaient mettre au point dans les années 1940 sous le nom de Zyclon B.

Il faut tout de même dire que tous les socialistes ne soutenaient pas Hitler, et notamment ceux qui considéraient comme inacceptable de tuer les gens par catégories de races : pour suivre les enseignements de Marx la sélection devait être basée sur l’appartenance de classe. En ce sens, l’Union soviétique était alors le seul pays vraiment marxiste puisqu’il exterminait sa population avant tout selon le critère de classe. Sous Staline, les responsables locaux avaient des quotas de personnes à exécuter. Selon un ancien colonel de l’armée soviétique qui s’exprime dans le film d’Edvins Snore, Khrouchtchev lui-même avait demandé qu’on lui augmente son quota à 17 000 exécutions car il avait épuisé son quota précédent. Boukovski : « Tous épuisaient leurs quotas et en demandaient de nouveaux. Cela ne s’arrêtait plus ! »

Mikhaïl Gorbatchev : « Staline avait les mains pleines de sang. J’ai vu les condamnations à mort qu’ils signaient par paquets avec Molotov, Vorochilov, Kaganovitch et Jdanov. Ces cinq étaient les plus actifs, et Molotov ajoutait : ‘commuter les peines de 10 ans en exécutions par balle’. Par groupes entiers ! »

Norman Davies, historien britannique : « L’Europe n’avait jamais vu une telle tuerie, en termes de quantité et de nature. »

Natalia Lebiedeva, historienne russe : « Onze millions de personnes assassinées rien qu’entre 1937 et 1941. Onze millions ! Vous pouvez imaginer l’échelle des répressions contre nos propres citoyens ? »

Hitler, pour qui la Shoah n’était encore qu’un projet, suivait cela avec beaucoup d’intérêt.

The Soviet Story du cinéaste letton Edvins Snore a été financé par le groupe souverainiste au Parlement européen « Alliance pour l’Europe des Nations ».

Illustrations : Affiches de propagande nazies et soviétiques tirées du film The Soviet Story, www.sovietstory.com.

1. Source : God’s Playground: a History of Poland de l’historien Norman Davies.

Lire aussi :
> Le socialisme en chemise brune
> L’Union européenne contrainte de retirer des affiches de promotion comportant la faucille et le marteau
> Fidel Castro a recruté d’anciens SS pour former ses troupes

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192 Comments

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  • Joss , 25 février 2013 @ 11 h 20 min

    héhé, merci mais l’hérétique que tu es du con pour insulter SAINT Pie X en ne lui donnant pas son, titre de Saint démontre bien le sataniste qui est en toi, salle gueux ! Tu es méprisable au plus haut point pour cela et tout ce que tu peux dire n’est que de la merde comme celle que tu es… Un conseil, ne va pas consulter, ton cas est désespéré… enferme toi, coupe toi du monde et demande pardon au Seigneur pour l’affront que tu lui fais…

  • Joss , 25 février 2013 @ 11 h 27 min

    c’est vous l ennemi de la France ! L Allemagne est l ami sinon la soeur de la France ! C est vous l ennemi de la France grâce à qui le communisme, la gauche, le capitalisme, le métissage, l immigration envahissent la France et l Europe. Je vous chie dessus et sur vos parent et grand-parent pour avoir sacrifié l Europe au métissage et au mondialisme. Ceci est impardonnable et je vous organiserai bien volontiers un rdv avec NSJC pour que vous soyez jugé pour ce crime. Ceux qui sont responsable de l echec du nazisme sont responsable de la merde actuelle et vous qui en êtes fier devriez être pendu pour crime contre la race blanche ! Pauvre fou, vous suicidez la France et l Europe et vous avez encore le sourire aux lèvre et la fierté ! J imagine que vous êtes fier de cet état criminel qu est “Israël”. Vous n êtes qu une sous-merde ! C est comme ça… Vous devriez avoir honte a en mourir…

  • PAD , 25 février 2013 @ 11 h 41 min

    à Raptor,

    je ne nie pas qu’il y a eu des violences sous les régimes polythéistes, d’autant plus que l’usage de la force n’est pas une faute dans ces religions.

    1)Mais que ceci blesse votre foi en un Dieu unique ou non, le fait est que le principe monothéiste qui repose sur une vision binaire et donc manichéenne du monde ( Vérité/ Mensonge; Bien/ Mal, etc.) est un phénomène de violence amplificatrice.

    2) Dire que le nazisme est un polythéisme est aller beaucoup trop vite en besogne: que le culte de la force est à la rigueur était repris de la Rome antique ( qui elle n’en faisait pas un culte d’ailleurs)je veux bien. Mais Hitler avait une vision très christique du monde: voici une petite phrase parmi tant d’autres piochée dans Mein Kamf: « C’est pourquoi je crois agir selon l’esprit du Tout Puissant, notre Créateur, car en me défendant contre le Juif, je combats pour défendre l’œuvre du Seigneur ». Voyez-vous, une telle phrase n’aurait pu être prononcée par un païen.

    3) Sous l’empire Romain, la Roumanie était considérée comme un lieu de bagne des prisonniers de l’Empire; mais je n’ai jamais lu qu’il y eu des massacres de masse. De plus l’Empire a fait vivre pendant 4 siècles en paix des peuples très divers car leur particularité était profondément respectée.

    4) La III République ultra laïciste était une république intolérante de la diversité ( voire son comportement lamentable lors de la colonisation) car ayant pris pied dans une civilisation judéo-chrétienne, par essence intolérante.

    5) Turquie, Algérie, Éthiopie, Rwanda sont tous des pays monothéistes. De plus comme le souligne l’Africaniste Bernard Lugan, l’Église a une lourde responsabilité dans le génocide rwandais; car lors de la décolonisation, par “pitié envers les faibles” et “par amour du prochain”, elle a voulu absolument imposer la démocratie pour que l’ethnie soumise et majoritaire prenne le pouvoir. Ceci renversa la situation politique millénaire du Rwanda qui avait toujours eu l’ethnie minoritaire qui dirigeait notamment pour se protéger le la majoritaire. Résultat, l’ethnie minoritaire fut persécutée, et se vengea dans un effroyable génocide. “Qui fait l’Ange fait la Bête” (Pascale).

    Donc revoyez votre copie!

    Bien à vous.

  • J.75 , 25 février 2013 @ 12 h 32 min

    Vous avez autant de haine dans vos propos envers les patriotes ayant combattu pour la patrie (je précise bien: pour; et pas contre comme les collabos le firent) que les salafistes en ont envers la chrétienté, cela en dit long et je pense qu’ici la plupart des gens seront de mon avis pour observer avec consternation une telle idéologie des plus détestables. Ne vous en déplaise, la chrétienté n’est pas uniquement faite d’aryens. Je pense que NSJC serait abasourdi devant une telle haine de votre part et celui qui serait jugé ce serait plutôt vous, regardez la poutre dans votre oeil avant de regarder la paille chez les autres. La Chrétienté est une religion de paix, pas de haine exacerbée et n a pas de sympathie avec des racialistes-génocidaires païens à tendance sataniste avec en plus culte de la personnalité (Hitler) comme étaient les nazis.

  • Joss , 25 février 2013 @ 13 h 41 min

    “La plupart des gens…” Vous parlez comme un égalitariste, comme un révolutionnaire de 1789, Je n’ai rien à foutre de l opinion du peuple ! Ce n est pas la majorité qui me dictera ce que je dois penser.
    “Si le peuple a besoin d’un chef, c’est qu’il est incapable de se gouverner. Comment serait-il alors capable de choisir ce chef ? Est-ce qu’avant le décollage on élit le pilote parmi les passagers volontaires ? Et qui oserait soutenir qu’il est plus difficile de piloter un avion qu’un pays ?”
    Serge de Beketch.
    Il faut soumettre le mal au bien car c est le devoir de tous catholiques. Vous, vous avez laissé ce mal envahir la France et l Europe. Vous êtes le genre de type le plus méprisable de la terre… Vous et votre clic de résistants de la dernière heure ne valez pas mieux que les révolutionnaires de 1789.
    Le 23 décembre 1789, le franc-maçon comte de Clermont-Tonnerre déclare : “aux juifs, en tant que nation, il faut tout refuser ; mais aux juifs, en tant qu’homme, il faut tout accorder… Or, ils demandent dans leur pétition (pour leur émancipation), d’être considéré précisément comme des citoyens”. L’abbé Maury lui réplique : “Les juifs ont franchi 17 siècles sans se fondre avec les nations voisines. Ils n’ont jamais eu d’autres préoccupations que le commerce et l’argent… En un mois, ils peuvent être propriétaire d’une moitié de l’Alsace”. Le franc-maçon Robespierre conclu par : “Les juifs deviendront bons quand ils s’apercevront qu’il est avantageux de l’être”.
    Voilà comment les juifs et les franc-maçon ont finalisé leur alliance. On voit le résultat que cela donne…
    Saint Louis brûlait les juifs, sorcières et autres invertis. Cela fait-il de lui un nazi? Personnellement, je le pense oui et je suis fier de continuer le combat de mes aïeux, fier de combattre pour la religion catholique car je vois que nombreux sont ceux qui ont abandonné le combat. Tout comme les chouans étaient seuls face aux bleus, tout comme comme les SS étaient seuls face aux juifs-capitalistes et aux bolcheviques… Et comme le dis Jean Raspail : «Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter le dernier assaut, faute de quoi l’on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n’assiège plus parce que la vie s’en est allée».

  • raptor , 25 février 2013 @ 18 h 24 min

    Allons, assumez-vous donc, vous en avez déjà trop dit!

    Vous vivez dans le culte du IIIe Reich, vous devez donc forcément adhérer à son antisémitisme, (et aussi son néo-paganisme soi dit en passant) et au négationnisme (ou révisionisme si vous préférez, c’est la même chose). Quant à sédévacantisme, cest surtout pour le site “Les intransigeants” aujourd hui fermé (grâce à Dieu), mais si vous étiez cohérent, vous devriez l être, le pape, pas plus celui d aujourd hui que ses prédécesseurs, n acceptait l antisémitisme er le philonazisme.

    Allez, puisque vous semblez tant aimer défier l air du temps et donner dans la subversion, allez-y franchement! Mais cessez donc d y associer les catholiques!

  • Joss , 25 février 2013 @ 18 h 56 min

    Vous êtes la honte du catholicisme ! Vous n’êtes qu’un youpin ! probablement franc-maçon et capitalo-mondialiste et de toutes évidence UMPiste républicain… Rien à voir avec la royauté de NSJC.

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