On n’en entend pas forcément beaucoup parler en France, voire pas du tout, mais plusieurs « faits divers » sordides impliquant des demandeurs d’asile ont défrayé la chronique de ces derniers mois en Italie. Ainsi on apprenait le 30 août dernier qu’un jeune « réfugié » ivoirien de 18 ans, Mamadou Kamara (photo ci-contre), avait été arrêté pour le double meurtre dans leur maison de Vincenzo Solano, 68 ans, et de son épouse d’origine espagnole Mercedes Ibanez, 70 ans. Deux retraités qui ont eu le malheur de résider à proximité du centre d’accueil de Cara di Mineo en Sicile, où vivent plus de 3000 clandestins. On notera au passage que la Côte d’Ivoire n’est pas en guerre et ne persécute pas ses citoyens pour leurs convictions politiques et que l’immigrant-pour-raisons-économiques Mamadou Kamara aurait dû être expulsé sur le champ, dès après son débarquement le 8 juin dernier avec un groupe de 1143 immigrants illicites amenés à Catane par un navire militaire britannique qui était allé les chercher au large de la Libye dans le cadre de la coopération européenne avec les réseaux de passeurs et les islamistes. Ce qui a d’ailleurs conduit la fille du couple de retraités, Rosita Solano, à dire dans les médias que Matteo Renzi, le premier ministre italien, était aussi responsable du meurtre de ses parents. Matteo Salvini, le leader de la Ligue du Nord en a remis une couche en affirmant que le gouvernement italien n’est pas « aussi » responsable mais qu’il est l’unique responsable de ce meurtre, et il est vrai qu’en laissant entrer des centaines de milliers d’immigrants dont on ne sait rien, nos gouvernements prennent délibérément le risque des attentats terroristes et des crimes que commettront une petite minorité d’entre eux.
Le crime de l’Ivoirien Mamadou Kamara aurait eu pour motif le cambriolage de la maison, mais la police soupçonne également un motif sexuel car le corps de Mme Ibanez a été retrouvé nu, par terre sous le balcon par lequel il avait été jeté, et il porterait des traces de violences sexuelles. Le corps de son malheureux époux avait été massacré. La porte et les fenêtres ne portaient pas de traces d’effraction, et les deux retraités, d’après les voisins, avaient l’habitude de donner un peu d’argent aux immigrants illégaux qui mendient devant le supermarché local et qu’ils invitaient aussi parfois à venir avec eux pour leur donner quelques fruits de leur jardin. Il y a des gens avec qui la générosité ne reste jamais impunie…
Les deux retraités brutalement assassinésDans un autre « fait divers » récent, au début du mois d’août, trois jeunes Égyptiens mineurs résidant dans un centre d’accueil de « réfugiés » de la ville de Fiuggi, ont dévasté le bâtiment et violé la responsable du centre de 48 ans. Les trois jeunes musulmans vivaient là depuis 6 mois. Le 30 juillet, ils ont tout cassé, frappé des employés du centre et violé à trois la directrice qu’ils ont ensuite essayé d’assassiner. Ils avaient entre 16 et 17 ans. L’Égypte n’est pas non plus un pays en guerre, elle a même la chance d’avoir un vrai président et un vrai gouvernement, contrairement à l’Italie ou à la France, et ils auraient dû être expulsés il y a longtemps.
Un mois plus tôt, en juin, la police italienne arrêtait un Somalien et un Ghanéen de 26 ans ainsi qu’un Nigérian de 30 ans. Le Ghanéen demandait l’asile (son pays non plus n’est pas en guerre et ne persécute pas les opposants politiques), tandis que le Nigérian était en attente d’expulsion (mais toujours pas expulsé malheureusement). Les trois jeunes Africains squattaient l’ancien village olympique construit pour les Jeux olympiques d’hiver de 2006, qui est occupé depuis deux ans par une centaine de clandestins. Les trois jeunes hommes sont accusés d’avoir séquestré une jeune handicapée de 20 ans et de lui avoir fait subir des violences sexuelles pendant 30 longues heures.
Il n’y a pas que le problème des terroristes djihadistes qui arrivent en Europe avec les centaines de milliers d’immigrants clandestins, il y a aussi la minorité de criminels qu’on laisse entrer dans l’espace Schengen sans rien savoir d’eux. D’Italie, la vague arrive en France, comme ici à Menton, où une habitante de 22 ans a été brutalement agressée par un immigrant clandestin qui se dit mineur (une tactique souvent utilisée pour éviter l’expulsion) et qui a tenté de la violer avant d’être neutralisé par un groupe de jeunes.
Nice Matin, le 9/09/2015
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