“En Allemagne, on peut avoir des relations sexuelles avec un animal sans être inquiété par la justice !” dénonce Marius Tünte, la porte-parole de la Fédération de protection des animaux. À condition toutefois de ne pas les filmer. Selon le quotidien suisse Le Matin, il existe même des “bordels d’animaux” outre-Rhin et des éleveurs prostituent leurs bêtes contre de l’argent pour des réseaux zoophiles. Claudia Lotz, la responsable d’une antenne locale de la Fédération contre le viol des animaux, témoigne : “Du hamster jusqu’aux serpents en passant par les chevaux et les chiens, toutes les espèces sont violées. Dans notre asile de Brême, l’Arche de Noé, nous avons récupéré des animaux traumatisés comme, par exemple, ce chihuahua violé par son propriétaire avec des parties génitales déchirées”. Les partisans de l’interdiction de la zoophilie, qui manifestaient à Berlin le 15 août dernier, ont fini par attirer l’attention du Gouvernement : le problème a été inscrit à l’ordre du jour du conseil des ministres il y a deux semaines suite à une initiative de la chambre des régions (Bundesrat). Les partisans de la zoophilie, comme l’association Zeta (qui s’est fixée l’objectif d’ “enseigner une distinction définitive entre zoophilie et bestialité”), crient déjà au scandale sur leur forum et jurent que leurs victimes sont consentantes…
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