Malgré la pression des médecins, elle refuse d’avorter et ne le regrette pas !

Emma Robbins s’en souvient comme si c’était hier : enceinte de quadruplés (après une conception naturelle) comme cela arrive une fois sur 750 000, les médecins lui ont conseillé d’avorter deux enfants pour donner une meilleure chance de survie aux deux autres. Mais en dépit de la “pression énorme”, la jeune femme de 31 ans, originaire de Bristol, n’a pas cédé et s’est refusée à sacrifier ne serait-ce qu’un enfant : rien qu’y penser lui “[brisait] le cœur” : “Je savais qu’en regardant mes bébés survivants, je penserais à ceux de perdus.” Un an plus tard, elle célébrait l’anniversaire de Zachary, Joshua, Ruben et Sam, nés… le 29 février 2012 ! Spécialisée dans la gestion de projet, Emma Robins était déjà maman d’un petit Luke, 3 ans. Aujourd’hui, elle et son mari, Martin Robbins, 39 ans, ne regrettent pas leur choix. Au Daily Mail, ils confient : “Nous mentirions si nous disions que c’est facile. Mais nous sommes heureux de n’avoir pas renoncé à nos bébés.” Tous deux qualifient leurs quadruplés (nés par césarienne après sept mois de grossesse) de “petits miracles”.

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40 Comments

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  • Térénia , 7 mars 2013 @ 11 h 15 min

    Rendons grâce à Dieu pour le choix de cette famille, faire confiance à la Providence est toujours source de grâce de la part de Dieu parce qu’ avec des “si et des mais” tout humains et soi-disant prudents , on dérive droit vers la culture de mort. Cette famille est heureuse aujourd’hui de son choix ce qui n’aurait pas été le cas si elle avait décidé d’en supprimer un ou deux…..peut-être même cela aurait été une cause de divorce à cause du malaise engendré….
    Que cela soit un exemple, même pour celles et ceux qui n’en attendent qu’un et qui envisagent de commettre “le” meurtre !!

  • christine62 , 7 mars 2013 @ 13 h 52 min

    La honte, c est vous qui la représentez !
    Qui êtes-vous pour juger de la vie de cette famille ??
    Un malheur aurait pu se produire, même si cette femme n avait attendu qu un ou deux enfants !
    J imagine que sa grossesse a été bien encadrée.
    Bref, soyez d accord ou non avec sa décision, mais tâchez de vous rappeler que vous n êtes pas là pour la juger.

  • Rictrude , 7 mars 2013 @ 14 h 33 min

    “Les veuves de guerre se débrouillaient sans aide de l’Etat” ?

    Non, elles percevaient une pension de veuve de guerre.

    Je connais plusieurs cas au sein de ma propre famille. Elles devaient travailler en plus, bien sûr.

    Mais vous ne pouvez pas comparer la vie dans les années 1920 et de nos jours : à cette époque, les enfants étaient mis au travail dès l âge de 13 ans et apportaient une aide financière ; aujourd hui ils sont à la charge de leurs parents jusqu à 25 ans…

    Elever des poules et des lapins, c est encore possible à la campagne, mais en ville, dans un HLM ?

    Par ailleurs, en ce qui concerne les veuves de la guerre 14-18 qui auraient “choisi” de ne pas se remarier… rappelez-vous qu en 1918 de nombreuses femmes ont dû rester célibataires en raison du manque d hommes.

  • conneriephobe , 7 mars 2013 @ 16 h 38 min

    C’est votre opinion, mais la loi Veil du 17 janvier 1975 autorise depuis près de 40 ans l’élimination des petits indésirables en toute légalité.

    Il reste heureusement la morale, la foi chrétienne, l’amour que la femme porte déjà au petit d’homme qu’elle attend qu’il soit un ou plusieurs, et la valeur que chaque couple accorde à la vie.

    Je souhaite à cette famille beaucoup de bonheur et de grâces, elle les mérite.

  • bernique , 7 mars 2013 @ 18 h 20 min

    Ben, comme connerie !

    “C’est votre opinion, mais la loi Veil du 17 janvier 1975 autorise depuis près de 40 ans l’élimination des petits indésirables en toute légalité.”

    Je croyais qu’il était “phobe” ! ! !

  • bernique , 7 mars 2013 @ 18 h 21 min

    J’adore !

  • bernique , 7 mars 2013 @ 18 h 27 min

    Voui, voui, voui…, j’ai tout compris, enfin… presque !

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