Réinformation – Pologne, lundi : à quoi ressemblaient les manifs pro-avortement

Lors du plus gros rassemblement lundi des féministes en faveur du droit à l’infanticide volontaire pendant la grossesse (IVG), place Zamkowy à Varsovie, de courageux militants pro-vie déploient des photos de bébés avortés et expliquent dans un mégaphone comment se déroulent les avortements des enfants trisomiques, mettant les militants pro-mort en furie :

Les féministes polonaises manifestaient samedi et lundi dans plusieurs grandes villes de Pologne, toutes de noir vêtues, pour demander que soit maintenu le droit de tuer les enfants handicapés et notamment ceux touchés par la trisomie 21, principales victimes de la législation actuelle. Des protestations abondamment relatées dans les médias français malgré leur taille modeste (quelques milliers de manifestant(e)s à Varsovie). Le 23 septembre dernier, le parlement polonais envoyait en commission le projet de loi citoyen visant à interdire tous les avortements sauf en cas de danger pour la vie de la femme enceinte. Premiers visés, les avortements eugéniques qui représentent la majeure partie du gros millier d’avortements légaux réalisés chaque année en Pologne, pays où les avortements « de confort » sont interdits depuis 1993. Mais si l’avortement ne concerne, comme l’affirmait les féministes présentes, que leur ventre, pourquoi s’être habillé en noir ? Pour qui donc était ce deuil ?

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4 Comments

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  • Sirius , 5 octobre 2016 @ 1 h 50 min

    L’émission 28′ sur Arte avec sa smala de gauche et fin de race,sujet “Régression en Pologne et en Hongrie” = une pantalonnade. On ne se contente même plus de donner des leçons aux français,mais aux européens de l’est aussi.Arte c’était quand même bien mieux avant quand on s’occupait de culture et moins de propagande.

  • C.B. , 5 octobre 2016 @ 9 h 25 min

    Au nom du principe de précaution, vérifier, avant toute opération, que “l’amas de cellules” dont la patient souhaite se débarrasser lui appartient bien, en s’assurant que ces cellules ont exactement le même patrimoine génétique que des cellules prises ailleurs sur son corps (échantillon de peau, par exemple).
    Dans le cas où le patrimoine génétique n’est pas identique, un tribunal doit juger: il y aura alors un avocat pour défendre les droits de cet “amas de cellules”, dont le Professeur Israel Nisand, gynécologue, reconnait qu’il s’agit, dès le début, d’un être humain, actuellement non protégé par la loi (le fœticide est légalement autorisé, l’infanticide est interdit).

  • Catholique & Français , 5 octobre 2016 @ 9 h 37 min

    Quel spectacle ! Face à la Pologne digne, impassible et droite, ce ramassis de dégénérés ayant, pour seule argumentation la vulgarité, la grossièreté et les glapissements orduriers !

  • Robert , 7 octobre 2016 @ 22 h 00 min

    Honneur à ces jeunes, quel courage et foi.
    Cela me rappelle des souvenirs déjà anciens ou nous étions à dix ou vingt à faire face à cent hurleurs haineux. Sauf que la police ne nous protégeait pas réellement.
    Malgré la défaite du texte de loi, ils ont sauvé l’honneur de leur peuple, eux et tous ceux qui les soutiennent.

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