La majorité. 18 ans après la fondation, l’Alliance pour les Droits de la Vie change d’appellation et devient “Alliance Vita”. Un nom dont la “consonance internationale souligne le développement de [son] ancrage européen”, explique le docteur Xavier Mirabel qui la préside. A nouvelle appellation, nouvelle accroche : “solidaires des plus fragiles”, afin de “[souligner] mieux la dimension humanitaire à l’origine de notre mouvement”, explique Caroline Roux, secrétaire générale et coordinatrice des services d’écoute de l’association.
Alliance Vita gère SOS Bébé et SOS fin de vie qui “agissent auprès des personnes touchées par les épreuves de la vie, au moyen d’un travail d’écoute et de soutien personnalisés”. L’organisation compte également “amplifier les relations de dialogue et de partenariat engagées avec les pouvoirs publics et les responsables politiques de tous les partis” mais aussi “participer aux débats qui s’ouvrent en Europe sur les grands sujets de société”.
L’objectif est le même depuis 1993 : “y faire valoir la protection des existences les plus menacées : soit dans le principe même de leur vie, soit dans le respect de leur dignité, soit dans leurs conditions de vie”. Et ce n’est pas le travail qui manque : le 28 octobre, Alliance Vita dénonçait le travail de récupération de la journée des défunts par l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) qui milite pour la légalisation de l’euthanasie.
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