Cela s’est passé le lundi 23 novembre vers 22h30 dans la ville natale du premier ministre finlandais Juha Sipilä, là où se trouve sa maison de campagne dans laquelle il avait annoncé début septembre qu’il voulait héberger des « réfugiés » ! Les premiers demandeurs d’asile étaient arrivés une semaine avant dans un centre d’accueil aménagé pour accueillir des « réfugiés » de 20 ans et moins. Les violeurs présumés de la jeune Finlandaise de 14 ans, vus par deux témoins qui sont intervenus et ont appelé la police alors qu’ils s’enfuyaient, sont deux Afghans âgés de 15 et 17 ans.
Le premier ministre a organisé une réunion de crise de son gouvernement et a qualifié cet acte d’écœurant, sans s’interroger sur sa part de responsabilité alors que la Finlande a déjà accueilli près de 30 000 clandestins cette année (dix fois plus qu’en 2014), ce qui n’est pas peu pour un pays d’à peine 5,5 millions d’habitants.
« Je veux apporter ma pierre à l’édifice pour montrer que la Finlande est un pays multiculturel », avait déclaré Juha Sipilä en septembre.
Le lendemain du viol de Kempele, dans le nord-ouest, une autre adolescente de 14 ans était violée à Raisio, près de Turku, dans le sud-ouest du pays, ce qui a conduit à l’arrestation d’un autre « réfugié » afghan, âgé lui de 19 ans. Le violeur présumé était en Finlande depuis environ un an et avait demandé l’asile.
Le directeur de la police nationale finlandaise a confirmé que les autorités étaient régulièrement informées de troubles, altercations, vols et attitudes inappropriées à l’égard de la gente féminine à l’intérieur et aux alentours des centres d’accueil de « réfugiés ». Mais le premier ministre finlandais s’inquiète avant tout des amalgames qui pourraient être faits avec l’ensemble des demandeurs d’asile, car certains habitants des villes où ont eu lieu ces viols ne cachent plus leur opposition à l’accueil des clandestins.
Sources : yle.fi, finlandtoday.fi, helsinkitimes.fi
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