Au vu de leurs conséquences, faute de pouvoir y envoyer toutes sortes d’observateurs, il faudrait faire interdire ce réunions secrètes, anti-démocratiques, d’où ne filtrent que le fait que les invités se retrouvent étrangement et rapidement propulsés à des postes très importants tel Edouard Philippe, inconnu du grand public, invité en 2016, nommé Premier ministre en 2017.