Dans les couloirs de l’Assemblée, les manières de François de Rugy font jaser. En cette période de disette budgétaire et d’injonctions à se serrer la ceinture, au Parlement, élus et fonctionnaires s’avouent parfois désarçonnés par certaines dépenses effectuées par leur président, l’ancien écologiste propulsé quatrième personnage de l’État en juin 2017. Disons le tout net : elles n’ont rien d’illégal. Mais à l’heure où le « nouveau monde » affiche ses exigences de probité, à l’heure où le couple présidentiel s’enorgueillit de régler ses dépenses personnelles, ces petits extras interpellent. Et font bruisser ces couloirs où tout se sait, et où l’on ne pardonne rien :
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