“On a interrompu la chronique. Je n’étais pas l’employé de Sud Radio. Interrompre une chronique quand on n’est pas d’accord, ça m’est égal. Ce qui me déplait c’est la manière de faire et qu’on en n’assume pas les raisons. Les raisons qui m’ont été invoquées, c’est la rupture d’un contrat moral parce que, soit disant, j’aurais mélangé mon rôle de chroniqueur avec des activités politiques partisanes”, a-t-il déclaré.
Et d’ajouter : “Je n’appartiens plus à un parti, je n’ai pas de mandat, je suis candidat à rien. C’est un mauvais prétexte. On a pris comme prétexte le fait que je sois allé sur BFMTV – d’ailleurs je suis allé sur d’autres chaines TV et radio depuis mes chroniques et ça n’a gêné personne – où j’ai défendu Nicolas Sarkozy. (…) BFMTV m’a invité à titre personnel”.