Le 24 octobre 1999, il avait alors répondu être “très pro-choix”, s’affichant carrément favorable à l’avortement par naissance partielle :
Trump says he was never asked about whether he was pro-life or pro-choice before he was a politician. He's lying: https://t.co/0LjEYRE5E1
— Yair Rosenberg (@Yair_Rosenberg) 30 mars 2016
Pénalisation. Mercredi 30 mars, Donald Trump a estimé sur la chaîne de télévision MSNBC que si l’avortement devenait illégal aux Etats-Unis, les femmes qui y auraient recours devraient encourir « une forme de punition » :
Le candidat a fait machine arrière quelques heures après ses déclarations en estimant dans un communiqué publié sur son site de campagne que dans le même cas de figure, ce sont les médecins qui effectueraient une interruption volontaire de grossesse qui devraient être sanctionnés
3 Comments
Comments are closed.