Le féminisme contemporain est paradoxal dans son histoire et dans ses réalisations actuelles. Annoncé comme une libération inédite, il rencontre des obstacles imprévus et des divisions. Il pose aussi la question de la fragmentation des relations humaines et des moyens d’accomplissement de la partie féminine de l’humanité.
Documents et réflexions préalables sur la page de l’événement Facebook du Café Histoire Actualité du 5 avril.
Inscriptions en suivant ce lien.
Rendez vous 49 rue des Renaudes de 20 heures à 22 heures pour apprendre et débattre sur le sujet. On peut aussi trouver des réflexions historiques sur ce thème dans le site Histoire fabriquée.
Nous verrons l’histoire des féminismes et de la condition des femmes du passé avant de parcourir les paradoxes de sa situation présente avec Gabrielle Cluzel qui publie “Adieu Simone” : « Je n’ai pas la prétention de faire une analyse du féminisme depuis des siècles à travers le monde. De remonter à l’âge de pierre pour étudier la condition de la femme dans les grottes préhistoriques. Je veux seulement évoquer ce que je connais. Ce féminisme en mini-jupe, mutin comme une parisienne de Kiraz, que l’on trouvait sur les barricades de mai 68, devenu ce féminisme imposant et tyrannique, aux allures de rombière de Faisant, que l’on trouve à présent sur les ruines de mai 68. Une rombière acariâtre et autoritaire avec sa moitié, l’homme occidental, faible et maigrelet, qu’elle morigène toute la sainte journée et fait avancer tête baissée… mais une rombière laxiste, aveugle, et masochiste avec les enfants qu’en couchant avec l’amant de toujours, la gauche, elle a engendrés et réchauffés dans son sein : libération sexuelle, laxisme judiciaire et islam impérieux. »
Conférence débat animée par Guillaume de Prémare, délégué général d’Ichtus, auteur de “Résistance au meilleur des mondes” et Vincent Badré, professeur d’histoire et auteur du livre “L’histoire fabriquée”? Ce qu’on ne vous a pas appris à l’école et animateur du Café Actualité.
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