Disons-le d’emblée, et même si rien n’est parfait en ce bas monde : on peut espérer que 2018 sera un cru exceptionnel, à savoir une année de croissance, voire de renaissance et, avec un peu de chance, une année de plus grande ouverture spirituelle. Pour mieux comprendre l’avenir, un petit flash-back sur le passé semble opportun. Il faut remonter à l’été 2011 et au « printemps arabe », puis à 2012, années marquées par le cycle Jupiter/ Neptune, pour retrouver ces élans gigantesques de solidarité des populations. Le cycle Jupiter/Pluton se greffait sur le précédent pour ancrer et consolider le pouvoir des peuples. En 2012, on amorça avec l’insigne dissonance Pluton/Uranus le grand changement de société qui allait se déployer jusqu’en 2016–2017. Phénomène rarissime qui m’inspira l’ouvrage « 2012–2016, cinq années qui vont changer le monde » (XO éditions). Avec en particulier le mariage pour tous, puis les gigantesques déplacements de populations, le socle sociétal de l’Occident était ébranlé. Notamment en 2015 (opposition Jupiter/Neptune), avec l’apparition des migrants. Or, il se trouve que, comme déjà annoncé l’année dernière, 2018 devrait dans son ensemble se révéler bien meilleur que les années qui l’ont précédé. Pourquoi ? En particulier en raison de la proportion largement en faveur des aspects positifs (6, contre 4 en 2017) par rapport aux aspects négatifs (2, contre 6 en 2017)- un facteur d’appréciation qui vaut ce qu’il vaut mais qui est relativement fiable. Six aspects positifs, donc, face à seulement deux aspects négatifs– mais relativement puissants. Une première depuis des lustres ! 2018 sera donc marqué par les deux premiers cycles évoqués ci-dessus, à savoir Jupiter/Neptune et Jupiter/Pluton, plaçant la solidarité des peuples au premier plan, ainsi que de possibles solutions dans le domaine de l’écologie, sans oublier, grâce à Jupiter/Pluton, une promesse de probable croissance. En retombées à un climat de début décembre 2017, où un beau trigone entre Jupiter et Neptune aura œuvré en faveur du plus grand nombre, au nom d’une généreuse solidarité, l’aspect – concernant notamment la France– se reproduira dès le 25 mai, puis le 19 août. Une salutaire coïncidence astrale. Pourquoi ? Pour contrer le retour de la méchante dissonance Uranus/Neptune, déjà active en été 2017, et qui nous a valu non seulement les problématiques liées à la Toile et à ses bogues gigantesques (cyber-guerres, NSA et son cyber-espionnage), mais également les graves préoccupations relatives à la santé publique (glyphosates, perturbateurs endocriniens et autres pesticides…), ou encore aux désordres religieux aussi bien qu’aux mouvements insurrectionnels. Une dissonance qui nous menace des conséquences de ce climat délétère entre mai et fin août, avec un retour en fin d’année- hélas ! Notre société occidentale sera contrainte en particulier de trouver une solution à la problématique des migrants ; celle-ci, notamment en mai et en juillet, risque de flamber à nouveau. Même si en principe de moindre puissance, on ne peut passer sous silence l’autre semi carré, à savoir celui entre Jupiter et Saturne, déjà présent à Noël 2017, et reflet d’une certaine déstabilisation de l’Europe. On peut craindre que ce climat ne perdure en 2018, avec des conséquences notamment sur le début mai. Les différents membres de l’Union Européenne auront du mal à s’entendre au sein de ce qui pourrait ressembler à une tour de Babel politique. En revanche, précisons que le beau trigone Neptune /Jupiter devrait être particulièrement favorable à la France, la Ve République étant en résonance avec ce cycle. À défaut de la création d’une VIè république, on peut imaginer que les améliorations tous azimuts, probablement déjà en germe fin 2017, seront bénies des dieux par ce même cycle en 2018. Un cycle qui, soit dit en passant, devrait également favoriser la spiritualité, la quête d’un idéal, religieux ou non, vu de Sirius, donc pour la planète en général. Enfin, à la faveur des harmonies célestes de la mi-septembre (Jupiter/Pluton, propice aux réformes), puis du début novembre (Jupiter/Chiron, un aspect guérisseur), on peut avoir bon espoir en les décisions généreuses et humaines des dirigeants politiques, celles-ci fussent –elles sincères ou juste pragmatiques, en réponse à l’air du temps. En somme et pour résumer le climat de l’année à venir, une année de croissance, voire de renaissance, un temps de solidarité et de plus grande ouverture spirituelle. On peut toujours rêver… « L’espérance est un risque à courir ». |