L’UMP s’arrache François-Xavier Bellamy

Dans un “confidentiel”, Le Figaro magazine du 21 décembre rapporte que depuis que François-Xavier Bellamy a signé dans Libération une tribune intitulée “Mariage pour tous, justice nulle part”, le professeur agrégé de philosophie et maire adjoint sans étiquette à Versailles (délégué à la jeunesse et à l’enseignement supérieur), “reçoit des appels de parlementaires de l’UMP qui lui demandent d’animer des débats sur le mariage gay”. Selon notre confrère, Marc Laffineur, Christophe Béchu, Bruno Retailleau et Pierre Lequiller ont été les premiers à le solliciter.

> le blog de François-Xavier Bellamy

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36 Comments

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  • Iris Pseudacorus , 31 décembre 2012 @ 9 h 14 min

    C’est vrai que l’UMP sera en marge de la manifestation du 13 janvier 2013. La preuve , le premier ” parti de France ” ne fait affréter aucun autocar en direction de Paris. Ici en Bretagne du moins.

    signé : Un encore adhérent UMP et près démissionnaire

  • Marie Genko , 31 décembre 2012 @ 10 h 28 min

    Chers amis,

    Sur le l’adresse :
    http://www.fxbellamy.fr il est possible de lire le discours de François Scellier, que je reproduis ci-dessous.
    Je conseille à ceux qui ont quelques loisirs de regarder le lien de François Xavier Bellamy il est riche d’informations et de réflexions intéressantes!

    Discours du Président de Séance

    Monsieur le ministre, mes chers collègues, je dois au seul privilège de l’âge d’ouvrir aujourd’hui les travaux de notre assemblée. C’est un honneur, le plus grand peut-être de ma vie de parlementaire.

    Vous comprendrez que je ressente une forte émotion à cet instant, comme sans doute nos 218 collègues qui se sont installés pour la première fois dans cet hémicycle. Cette émotion est d’autant plus forte qu’outre la présence de ma famille à la tribune je sais que ma maman, qui vient d’avoir cent ans, me regarde à la télévision.(Applaudissements.)

    J’ose à peine parler d’elle, de crainte de désespérer, si je bénéficie des mêmes gênes, ceux qui attendent sûrement avec une certaine impatience de prendre ma place et qui pourraient se demander si je ne serais pas capable de renouveler l’exercice à la prochaine législature. (Rires et applaudissements.)

    Cette présidence du doyen d’âge, par laquelle commence chaque législature, exprime ce miracle de la démocratie et de la république (…) : au-delà de la majorité et de l’opposition, nous sommes tous ensemble l’Assemblée nationale et non l’assemblée des partis. Au-dessus de chacun d’entre nous et de nos différences, il y a la République une et indivisible, qui s’impose à nous comme une exigence non pas seulement politique, mais aussi morale.

    C’est une cause que, dans les affrontements inhérents à toute démocratie, nous ne devons jamais perdre de vue, quelle que soit la passion légitime que nous mettons dans nos débats.

    C’est un devoir plus grand encore dans les circonstances où se trouve notre pays, alors qu’il doit affronter des crises d’une gravité telle qu’elles peuvent mettre en danger, nous le pressentons tous, notre indépendance, voire notre démocratie. (…)

    Dans les circonstances actuelles, je vous le dis, mes chers collègues, les Français ne nous pardonneraient pas une autre attitude que celle inspirée par une saine vertu républicaine. (…) Comme l’a si bien écrit Tocqueville au sujet de la Révolution française, faisons de notre assemblée législative une « patrie intellectuelle » où tous les arguments peuvent être entendus, où le sérieux des débats prévaut sur les effets de manche, où l’intérêt général structure notre action.

    Soyons des éveilleurs de conscience. (…) En ces temps difficiles, nous devons veiller à conserver le bon sens comme boussole et le bien commun comme horizon.

    Mes chers collègues, ce petit exercice de prise de recul n’est pas une invitation à la contemplation. C’est bien davantage un exercice de salubrité intellectuelle pour se poser les bonnes questions : pourquoi, comment et pour qui nous sommes-nous engagés ?

    Entré tard en politique, j’ai parcouru le trajet classique d’un élu de terrain. Je dois avouer que ce n’est pas la plus mauvaise école. Je vous ai parlé du privilège du doyen en commençant ce propos, mais je ne compte pas en abuser longtemps. Pour clore cette réflexion sur notre mission de parlementaire, je vous livre ces mots de Tzvetan Todorov : « L’existence humaine ressemble à ce jardin imparfait […]. Elle est ce lieu où nous apprenons à fabriquer de l’éternel avec du fugitif, où le hasard d’une rencontre se transforme en nécessité de vie. »

    Cette sagesse, transposée au mandat que le peuple français nous a confié, nous commande d’être des jardiniers conscients que les tailles, les coupes, les semis auront plus ou moins d’effets, bénéfiques ou non, de court ou de long terme. En dépend la floraison ou son dépérissement.

    C’est donc en jardiniers responsables que nous devons nous comporter, toujours soucieux de la prochaine récolte. (Applaudissements.)

  • François2 , 31 décembre 2012 @ 10 h 54 min

    C’est un bla-bla auquel je n’ai rien compris du tout. Vous auriez pu avoir la bonté de nous le résumer en une phrase percutante (mais peut-être n’existe-t-elle pas).

  • François2 , 31 décembre 2012 @ 10 h 57 min

    Donc un ex-UMPS. L’académicien Maurice Druon l’a bien dit : “Il existe en France deux grands partis de gauche ; l’un d’eux s’appelle, par convenance, la droite”.

  • Iris Pseudacorus , 31 décembre 2012 @ 11 h 07 min

    C’est un discours de maçon (Franc-Maçonnerie)) que vous avez reproduit. Les ennemis des judéo-chrétiens. Certaines personnes voient des Anges où il n’y en a pas.

  • Iris Pseudacorus , 31 décembre 2012 @ 11 h 12 min

    Non pas cher ami, un tacticien qui depuis 1993 a été encarté au RPR, MPF, FN et enfin UMP,; pour enfin revenir dans la grande famille du futur grand parti de la Vraie Droite, qui j’espère un jour naîtra en France.

  • François2 , 31 décembre 2012 @ 11 h 59 min

    J’ai lu le blog : c’est bizarre et confus. Pourquoi tourner autour du pot : un enfant de couple homo sera toujours un orphelin de père ou de mère.

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