Paris : affrontements entre l’extrême gauche (qui arrache le drapeaux français) et la police, 174 gardes à vue

43 Comments

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  marie france,sorti des drapeaux , 30 novembre 2015 @ 11 h 20 min

  Bonjour Gisèle bien résumé
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  Marino , 30 novembre 2015 @ 11 h 46 min

  “comme la plupart des pieds noirs qui ont pris la fuite en 1962 en accusant le De Gaulle de grand criminel contre l’humanité”

  * Pendant toute l’année 1961, nous avons connu la détérioration psychologique, l’angoisse naissante, la lassitude du général de Gaulle et des Français. On voyait bien l’inutilité de l’armée qui livrait bataille.

  On continuait pourtant de combattre, les embuscades et le terrorisme FLN continuant d’agir, mais on avait bien conscience d’un abandon prochain. L’information officielle ne faisait état que de négociations. Les opérations s’enchaînaient bien encore, mais le moral était soumis à une rude épreuve. Les combats se sont ainsi poursuivis jusqu’en février 1962.

  Nous n’imaginions pas la réalité les accords d’Évian, le retrait de l’armée française et l’arrivée des forces de l’ALN. Le général de Gaulle avait décidé, il fallait obéir, mais pour les musulmans engagés sur place, c’était la pire des trahisons.
  Entre janvier 1961 et janvier 1962, un tiers des harkas avait disparu. En janvier 1961, les harkis étaient soixante mille. Ils n’étaient plus que quarante et un mille début 1962. Quand on démobilise, on désarme. Les harkis, toujours menacés, n’avaient qu’une appréhension, c’était d’être désarmés
  […]

  François Meyer
  En dépit des ordres, des obstacles et du danger, François Meyer, alors jeune lieutenant, a mis à l’abri en France, entre juin et juillet 1962, trois cent cinquante harkis, familles comprises. Non seulement il n’a pas abandonné ses hommes, mais encore, il les a accompagnés le reste de sa vie durant.

  * Extrait de Harkis, soldats abandonnés, XO EDITIONS (23 février 2012)

  – Les directives des wilayas et de l’état-major de l’ALN tombées entre les mains de l’armée française montraient que ce n’était qu’un expédient provisoire, destiné à endormir la méfiance des harkis et à les dissuader de quitter le pays jusqu’au jour où l’Algérie indépendante pourrait solder ses comptes. Position confirmée par le président de l’Exécutif provisoire, Abderrahmane Farès, qui refusa d’intervenir en leur faveur : « Ils sont algériens, ils appartiennent à la patrie musulmane. Celle-ci les accueillera ou les jugera. […] Cela fut bien spécifié dans les négociations d’Évian. Le général de Gaulle était d’accord sur ce point. »

  – Il y eut très tôt des enlèvements et des meurtres de harkis, notamment en Oranie dans la wilaya V dont le chef avait voté contre la ratification de l’accord des Rousses, comme l’état-major général de l’ALN, ainsi le 19 mars à Saint-Denis du Sig et, en avril, à Saïda contre les gradés du « commando Georges ». Ces violations du cessez-le-feu furent d’abord assez peu nombreuses 487 enlèvements de Français musulmans signalés du 19 mars au 1er juin. Elles se firent plus fréquentes à partir de la mi-mai, lorsque la date du référendum d’autodétermination eut été fixée au 1er juillet.

  A partir du 3 juillet, la reconnaissance de l’indépendance de l’Algérie par la France ouvrit la voie aux règlements de comptes. La responsabilité du maintien de l’ordre était censée revenir à l’Exécutif provisoire.

  Suivant le rapport adressé en mai 1963 au vice-président du Conseil d’État par M. Robert, ancien sous-préfet d’Akbou, dans cet arrondissement, à partir du 27 juillet, « 750 personnes environ furent arrêtées et groupées dans trois «centres d’interrogatoire», […] où l’on entendait loin à la ronde les hurlements des torturés ». Près de la moitié furent exécutées, les autres libérées avant le 15 septembre. Les détenus comprenaient deux tiers d’anciens supplétifs et un tiers de civils.

  Le rapport Robert cite « un conseiller général […] arrêté le 1er août après avoir assumé les fonctions de maire jusqu’à cette date à la demande de l’ALN » et « enterré vivant le 7 août, la tête dépassant et recouverte de miel », qui agonisa durant cinq heures, « le visage mangé par les abeilles et les mouches ». Le même rapport note que, « durant cette période, la population n’a participé aux supplices que de quelques dizaines de harkis, promenés habillés en femmes, nez, oreilles et lèvres coupés, émasculés, enterrés vivants dans la chaux ou même dans le ciment ou brûlés vifs à l’essence ».

  * Aussi : ANDRÉ : “fermes ta gueule” et révises NOTRE HISTOIRE !

  Les pieds-gris come TOI , nous les avons connu …
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  André , 30 novembre 2015 @ 12 h 01 min

  Pour ceux qui veulent faire l’effort de comprendre,je les invite à lire tous les commentaires,suite à cet astucieux articles:

  http://ripostelaique.com/ne-serait-temps-jeunesse-algerienne-se-ressaisisse.html

  Vous découvrirez très rapidement de quel côté se trouve la haine et découvrir que la France à amorcé sa chute qui devient de nos jours vertigineuse depuis le décès de Charles De Gaulle. Il y a un excellent proverbe arabe que je traduis comme ceci: –Apprenez du passé pour vivre au présent et rêver pour l’avenir. Faites des investigations, du révisionnisme et vous découvrirez que la mauvaise graine fut planté par des fuyards en 1962, qui non seulement ont fait massacrer des bébés de vingt ans, de vrais français de souche pour protéger leur fuite, mais arrivés en France ont accusé De Gaulle de grand criminel pour le faire assassiner. De nos jours De Gaulle assassiné, son plan détruit, la France va payer. Je n’ai cessé de vous le répéter, on peut tromper l’homme, mais on ne peut pas tromper le Vrai DIEU surtout lorsqu’il vous tend une perche et que vous la rejetez.
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  marie france,sorti des drapeaux , 30 novembre 2015 @ 12 h 07 min

  @Marino ,merci de nous défendre devant un salopard de “déserteur” qui n’a de cesse de nous salir,puisqu’il “aime tant ses arabes “qu’attend il donc pour les rejoindre ce sale coco de “pied rouge”
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  André , 30 novembre 2015 @ 12 h 20 min

  Que sont-ils allés faire en Algérie les pieds noirs, sinon de l’invasion ?
  Voici la vérité à faire circuler:
  http://www.dailymotion.com/video/x33003j_l-histoire-occultee_school

  Voici encore reçu d’un français honnête:
  Jean Némar 61 il y a 1 an
  Bonsoir Olivier ,
  J’ai lu avec beaucoup d’attention votre commentaire .
  Apparemment il semble bien confirmer toute la connaissance que vous avez pu acquérir durant ces années d’études sur cette bien triste période !!
  Et , Je ne mettrai absolument pas en doute la réalité de vos affirmations !
  Pardonnez moi olivier , mais dans mes écrits , même si je blâme plus l’armée Française que tous les autres , c’est que tout simplement , et encore une fois , nous n’avions absolument rien a faire la-bas !!
  Nous étions des envahisseurs !! oui je dis bien des envahisseurs , n’en déplaise à quelques uns , et j’en suis désolé !!
  Mais si quelqu’un franchit le seuil de votre porte sans y avoir été invité , dites moi ce qu’il est !!
  Encore une fois ces conflits , n’ont servi les intérêts que d’une minorité d’affairistes autant politiques que civils avec un ego, démesuré , avides de richesses, de pouvoir et tout le reste ….!
  Donc, je le dis , le redis et je ne le répéterai jamais assez , ( Ne pas se tromper de cibles!!!) ce sont eux les vrais coupables !!
  Quant a revenir très rapidement et de manière très courte sur les souffrances affligées à tous ces innocents civils d’un côté comme de l’autre !!
  Je réaffirme que ceux qui ont fait cela … ne sont pas des hommes , mais des lâches, des faibles et des bourreaux , aux services de ceux cités ci-dessus !!
  Cordialement
  Les algériens de souche qui se sont révoltés avaient certainement un mobile solide. Bien sûr je l’ai découvert. Mais je voudrais l’entendre dans la confession des pieds noirs. Plus personne n’a aucun pouvoir sur moi. Quant à De Gaulle je ne pouvais prévoir qu’un jour j’oeuvrerai indirectement à le réhabiliter, mais en 1960, il fut obligé de plier le genou devant moi.
  Je me répète, je ne suis pas venu sur terre pour aller tuer de pauvres gens en Algérie, mais pour poser des questions et avoir des réponse solides. Par exemple pourquoi les pieds ont-ils quitter la France pour aller s’implanter en ALgérie.par exemple ?
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  genai , 30 novembre 2015 @ 12 h 32 min

  André, vous vous prétendez chrétien! vous êtes un infâme mythomane, un petre indigne du titre d’homme…vous crachez votre haine du pieds noirs…vous avez du sang sur les mains…avez vous seulement été présent en Algérie quand ce De Gaulle, ce prétendu général, ce déserteur a donné sa parole d’homme et de soldat que jamais le drapeau du fln ne flotterait sur Alger…j’avais vingt ans et jeune instructeur du plan de scolarisation j’ai été convoqué comme tous les fonctionnaires,les militaires , les élus dans la salle des fêtes de ce village ou j’enseignais à 70 petits français “musulmans” et là il est arrivé “le sauveur” il nous a fait jurer en levant la main droite que nous défendrions coûte que coûte l’Algérie terre française à jamais…c’était au cours de la sinistre tournée des popotes…alors depuis j’ai beaucoup écrit et j’ai intitulé la période 58-62 le temps des reniements…vous êtes un ignoble menteur André et votre place est réservée auprès de de gaulle (pas de majuscules) des benbella, katz et autres messmer près du grand chaudron mais vous serez un des tisons pour brûler en enfer si Dieu veut.
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  Marino , 30 novembre 2015 @ 12 h 37 min

  – Ce con dit : ” chercher à comprendre pourquoi j’aime tant mes arabes”

  Je luis réponds : que j’aime les harkis musulmans

  Le bachaga Boualem fut député d’Orléansville (Chlef) avant de devenir vice-président de l’assemblée nationale française de 1958 à 1962.

  Il fut également l’une des figures emblématiques de la guerre d’Algérie et de la communauté harkie car il commandait lui seul plus de 1500 harkis dans la région du Ouarsenis ( à cheval sur les wilayas actuelles de Medea, Ain Defla, Tissemsilt, Chlef, Relizane et Tiaret) harkis qui combattaient contre le FLN, pour une Algérie française .

  En mai 1962, il a été expatrié en France ainsi que 66 membres de sa famille, où l’État français lui a attribué le domaine agricole du Mas fondu en Camargue.

  ” La France est mon pays au même titre que vous, Monsieur Dupont. Nous l’avons défendu ensemble, sous le même uniforme, dans les plis du même drapeau.

  “Lesang des vôtres et des miens s’est mêlé pour défendre cette terre de France sur laquelle je ne suis pourtant pas né.
  Et vous m’avez abandonné, Monsieur Dupont. Je ne suis ni de droite ni de gauche, je ne suis pas un homme politique, je ne suis pas un écrivain. Je suis un Français moyen.
  Pour le rester, Français, j’ai tout abandonné en Algérie, les miens, mes fidèles, mes biens, mes terres.”

  Au Mas Thibert., je vais tous les ans au méchiou

  Arles – Près de 600 personnes au rassemblement de l’ ARAPA (Association des Rapatriés d’Algérie du Pays d’Arles)

  C’est avec émotion, après le lever des couleurs, que deux représentants des harkis et des pieds-noirs déposaient une Gerbe au pied du drapeau français.
  La Marseillaise était ensuite entonnée, suivie du Chant des Africains.

  Rassemblement et méchoui de l’ Association des Rapatriés d’ Algérie du Pays d’ Arles

  https://www.youtube.com/watch?v=gbo0L5LGrs8

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