“Au nègre joyeux”, “Au planteur”… À Paris, des enseignes commerciales héritées de l’époque coloniale créent la pagaille. Qualifiées de racistes par certains riverains hystériques, elles font partie de notre patrimoine, rappellent d’autres :
Enseignes coloniales : zizanie à Paris entre communistes victimaires et défenseurs du patrimoine
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