Un enfant de 4 ans martyrisé par deux lesbiennes

Ouest-France rapporte que le tribunal correctionnel de Rennes a condamné à trois ans de prison, dont un an de sursis, une femme de 44 ans et sa concubine de 35 ans, mère d’un enfant de 4 ans.

Les deux femmes ont été reconnues coupables d’avoir martyrisé le petit garçon en 2009 : elles l’ont par exemple placé sur le balcon presque nu, frappé sur tout le corps, lui ont brûlé les pieds… L’enfant a vécu un véritable calvaire, précise notre confrère. C’est la famille d’accueil, chez qui il était placé, qui a donné l’alerte.

Les paires de lesbiennes sont plus concernées que les couples par la violence et les enfants élevés par elles peuvent en être les victimes.

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121 Comments

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  • monhugo , 30 août 2013 @ 17 h 40 min

    Celui qui “aime” les femmes en n’oubliant pas de rappeler à la première occasion qu’elles doivent rester à leur place (KKK), celui qui les “aime” par hygiène, celui-là évidemment ne les aime pas.
    Les LGBT divisent l’humanité en “orientés sexuels” pour faire oublier qu’elle est divisée en hommes et femmes (ou l’inverse, pour ne faire de peine à personne). Les phallocrates divisent l’humanité en Porteurs de Pénis (et Testicules) et détentrices de vagins (trompes, utérus). Une division du monde tout aussi réductrice, et idéologique, que la première.
    Pour ma part, j’en reste à hommes/femmes (ou femmes/hommes, dans l’ordre alphabétique).

  • monhugo , 30 août 2013 @ 17 h 53 min

    Un père, A PRIORI, est moins habile avec de très jeunes enfants. Question d’éducation reçue déjà.
    Il y a toujours des exceptions. J’ai pour ma part, il y a de nombreux lustres (rappel : un lustre équivaut à 5 ans), été confiée à mon père, qui m’a élevée seul jusqu’à mes 17 ans.
    J’avais 6 ans.
    Dans l’affaire, la mère indigne avait la garde (enfant de 4 ans), mais rien n’interdisait au père d’agir, dans le cadre de son droit de visite et d’hébergement. S’il y avait père. La “brève” d’Ouest-France parle de “famille d’accueil”. Ce qui laisse à penser que les 2 femmes “débordées” avaient requis elles-mêmes un placement (c’est la famille d’accueil qui a donné l’alerte – ce qui revient à dire que les maltraitances n’avaient pas été caractérisées avant le placement, par hypothèse).
    Toujours “contextualiser”.

  • monhugo , 30 août 2013 @ 18 h 04 min

    Ce qui donne, pour qui n’entend pas cet idiome ?

  • monhugo , 30 août 2013 @ 18 h 12 min

    Slate, qui est un site homophile, a au moins l’avantage de s’écarter du prêchi-prêcha LGBT. Je suis sûre que vous m’avez lue, comme je vous lis, jusqu’au bout, et que vous avez ainsi constaté que je suis infiniment plus nuancée sur le sujet que beaucoup ici. Le sexe, c’est dans la chambre à coucher des partenaires sexuels. Ne pas tout ramener au sexe ! Ne pas confondre sexualité des éducateurs et éducation des enfants, mais… de la même façon, ne pas confondre filiation et éducation.

  • monhugo , 30 août 2013 @ 18 h 14 min

    Donc, je réitère, pas du tout en situation pour 2 homosexuels (masculin, non ?) et une fillette (sujet féminin, non ?).

  • charles-de , 30 août 2013 @ 18 h 14 min

    Watashi mo furansu jin desu !

    J’ai reconnu le mot “kekkon”, mais pas “dôsei” ?

  • charles-de , 30 août 2013 @ 18 h 17 min

    Il est Français, et habite à Paris !

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