Un enfant de 4 ans martyrisé par deux lesbiennes

Ouest-France rapporte que le tribunal correctionnel de Rennes a condamné à trois ans de prison, dont un an de sursis, une femme de 44 ans et sa concubine de 35 ans, mère d’un enfant de 4 ans.

Les deux femmes ont été reconnues coupables d’avoir martyrisé le petit garçon en 2009 : elles l’ont par exemple placé sur le balcon presque nu, frappé sur tout le corps, lui ont brûlé les pieds… L’enfant a vécu un véritable calvaire, précise notre confrère. C’est la famille d’accueil, chez qui il était placé, qui a donné l’alerte.

Les paires de lesbiennes sont plus concernées que les couples par la violence et les enfants élevés par elles peuvent en être les victimes.

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121 Comments

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  • François Desvignes , 30 août 2013 @ 15 h 42 min

    un garage à bites
    un sac à sperme
    un vide couilles

  • François Desvignes , 30 août 2013 @ 16 h 01 min

    1/L’enfant a besoin de l’altérité pour se construire : cela n’a rien à voir avec le mérite, la sincèrité reels ou supposés, des uns ou des autres.

    2/ Devant le droit d’un enfant, il n’y a pas de droit de l’adulte homo ou hetero ou écossais à quoi que ce soit. Le “droit de” l’emporte sur “le droit à “Car l’enfant n’est pas une chose, mais du fait de son innocence, celui parmi les hommes qui est le plus proche de la perfection angélique.

    3/l’enfant pour toutes ces raisons est sacré et une société qui n’aurait plus rien de sacré serait une société condamnée. Notre société désacralisé se suiciderait si elle renoncait au sacre de ses fils, la dernière de ses valeurs sacrées. Or, nous ne pouvons pas être suicidaires en plus d’être injustes….au moins pour nos enfants !

    4/ Puisque l’enfant est sacré, toute atteinte à son intégrité est un crime. Un crime de lèse majesté. Dont la sanction ne peut donc être que la peine de mort.

    Veuillez fusiller les lesbiennes en commençant par la mère.

  • monhugo , 30 août 2013 @ 16 h 01 min

    Les monstres, il y en a partout, même chez les “orientés sexuels” (appellation officielle des homos). Dénoncer les horreurs “hétéros”, pédophiles ou pas : évidemment. Et il y en aura toujours (beaucoup) plus, en nombre absolu, que les horreurs homos, pédophiles ou pas (puisque les homos représentent, au mieux, entre 2 et 5 % d’une population donnée) !
    La “bisounourserie”, de mise pour les LGBT, est une hypocrisie majuscule. Pour ma part, je ne dénonce rien d’autre. Sur le créneau précis des violences “conjugales” et familiales.

  • Christiane , 30 août 2013 @ 16 h 08 min

    Ce cas s’est déjà présenté aux Etats-Unis : Deux lesbiennes ont donné des hormones femelles à un petit garçon adopté dès son plus jeune âge, à 8 ans, elles l’ont fait changer de sexe en lui faisant subir une opération, n’est-ce-pas monstrueux ? et les médecins et pharmaciens complices, tout comme ces deux dégénérées, ne méritent-ils pas la corde ? Un autre duo d’homosexuels avaient adopté un bébé pour s’en servir de jouet sexuel, le pot aux roses a été découvert quand ce dernier eut atteint l’âge de 2 ans et un peu plus; ne méritent-ils pas le même traitement ? Il y a des cas que seule la peine capitale . est en mesure de sanctionner.
    Et, nous ne savons pas tout. Allez sur le site :
    ” donde vamos.canalblog.com / archives” il est question de différentes affaires de pédophilie comme celle assez récente d’ Outreau et de bien d’autres dans lesquelles la lumière n’a jamais été faite. A l’écoute d’une vidéo, il est dit que Dominique Perben, ministre de la justice, avait été instruit de l’affaire d’un réseau de pédophiles et n’a rien fait. Si on savait tout, je suis certaine que nombre de hauts fonctionnaires et politiques devraient être derrière les barreaux en attendant d’être pendus haut et court. Il ne se passe pas un mois sans que nous apprenions la disparition d’une jeune femme ou d’un enfant.
    Pourquoi flanby a-t-il passé cette loi à l’arraché ? sans doute pour mettre à l’abri toutes ces ordures.

  • monhugo , 30 août 2013 @ 16 h 30 min

    Ne convient alors pas du tout à, je cite : “une fillette confiée à deux homosexuels”…..

  • Dōseikekkon , 30 août 2013 @ 16 h 48 min

    monhugo : « la violence “conjugale”
    est un sujet occulté en général par
    les LGBT
    (…)
    Le lien vers “slate.fr” – site
    homophile – est à suivre »

    À suivre, mais qui mène à une impasse.
    Pour tout dire il ne vaut pas tripette ; si on cherche à « remonter » les liens indiqués, la seule donnée vraiment consistante figure dans une étude de Statistique Canada où l’on peut lire :
    « Lorsqu’on examine plus
    particulièrement ceux et celles qui
    se sont dits gais, lesbiennes ou
    bisexuels, on constate qu’ils
    affichent des taux plus élevés de
    violence conjugale , que les
    hétérosexuels.
    En effet, 15 %3 des gais et
    lesbiennes et 28 % des bisexuels ont
    déclaré avoir été victimes de
    violence conjugale par rapport à 7 %
    des hétérosexuels. »

    On s’aperçoit donc que gays, lesbiennes & bisexuels n’ont pas été victimes, mais « ont déclaré avoir été victimes de violence conjugale (…) ».
    Autrement dit, cette statistique ne porte pas sur des violences constatées et avérées, mais seulement alléguées…

    Et puis, si on cherche vraiment la petite bête, on relèvera cette autre phrase de l’étude : « De plus, les personnes non mariées risquaient deux fois plus d’être victimes que les personnes mariées. »
    Ainsi don, si les gays & lesbiennes sont deux fois plus victimes de violence conjugale, c’est peut-être tout simplement parce que… ils ne sont pas mariés !
    (Statistique réalisée en 2004, le mariage des couples de même sexe est devenu légal en 2005 au Canada. Encore un argument en faveur du mariage des couples de même sexe ?).

  • monhugo , 30 août 2013 @ 16 h 53 min

    Un père de famille, à la rigueur, pourrait avoir une opinion. Qu’on espère d’ailleurs nuancée, et tempérée par l’expérience. Un père de famille…
    Ce qu’il faut dénoncer, ce n’est pas que 2 femmes puissent élever ensemble un enfant (ou 2 hommes), puisque l’hypothèse, en dehors de tout contexte sexuel entre les intéressés a toujours existé (surtout dans le premier cas). Un enfant peut être éduqué par sa mère et sa grand-mère, par exemple. Sans dommages.
    Avec la “réforme” façon Taupe, ce n’est pas du tout de cela qu’il est question. Il est question :
    a) de faire un enfant ad hoc (le procréer délibérément de manière artificielle – pour l’instant dans les faits, inéluctablement en droit aussi),
    b) de combler le vide de la branche non “biologique” par un lien éducatif, justement : le “projet parental”.
    L’enfant est donc d’une part le résultat d’un commerce (sperme, ovocyte, utérus : ça s’achète ou se loue), et d’autre part le cobaye d’un montage juridique artificiel lui aussi (l’intention vaut filiation – or, l’intention, c’est volatil et subjectif – jusque-là, si nécessaire, la preuve ADN était seule admise dans les conflits de filiation : intangible et objective).
    Si un enfant a une filiation claire, parce qu’issu d’une relation “classique” H/F, et qu’après divorce ou séparation de ses auteurs, il est (en partie) élevé, non par sa mère (ou son père) et un beau-parent hétéro, mais aussi par un partenaire homo de son parent gardien, cette variable sexuelle ne le concernera en rien. Sauf parent gardien et beau-parent indignes, qui feraient du prosélytisme LGBT à domicile par exemple !
    Education ne vaut pas filiation (droit), contrairement à ce que la loi du 17 mai 2013 prétend introduire en droit civil français de la famille. Mais pas plus. Car les bons éducateurs, comme les mauvais, cela ne dépend pas, en principe, de ce que les éducateurs font dans leur chambre à coucher !

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