Idéalement, la distance raciale de sécurité entre un Africain et un Européen et/ou une Européenne, c’est environ 750 kilomètres, soit la distance qu’il y a entre la côte Nord et la côte Sud de la Méditerranée, là ou la distance est la plus grande.
En attendant des jours meilleurs, et pratiquant la distanciation raciale de 100 mètres, à Bondy (93), banlieue du Caire – depuis 28 ans – je peux certifier que cette distance est raisonnable, eut égard à toutes les « équidistances » historiques, contemporaines et macroniennes.
Quelques principes, non pas pour survivre (ce qui est un luxe) mais pour ne pas mourir (dans d’atroces souffrances physiques, psychiques et spirituelles interminables, que le monde entier nous envie).
Ne pas porter sur soi :
– Un téléphone intelligent
– Une carte bleue
– Plus de 2 €
– Des vêtements potentiellement montreurs de signes extérieurs de richesse, même honnête.
Porter :
– Des vêtements à équidistance du « un peu sale et dépressif » au « vaincu par le sens de l’histoire ».
– Baisser la tête avec la modestie et l’humilité d’un kouffar/dhimmi « qui n’est rien !!! » comme l’a affirmé l’Emmanuel.
– Descendre ou changer de trottoir pour sauver sa misérable existence, quand l’instinct de conservation le commande en poussant de stridents cris d’orfraie qui nous rendent sourds et hébétés.
En ce qui concerne les jours meilleurs, c’est simplissime.
Le programme a été exposé à Montbéliard (France), le 17 juin 1962, il y a 58 ans, 1 mois et 2 semaines.
Il y a 21 mille et 229 jours, De Gaulle prophétisait :
« Cette grande Europe-là – de l’Atlantique à l’Oural – , cette Europe-là, avec le concours du Nouveau Monde qui est son fils, pourra résoudre alors le problème de la misère de deux milliards d’hommes des pays sous-développés. Voilà le rôle, voilà la politique de la France. »
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