Par Charles Chaleyat
Il existe un moyen relativement exact, rapide et instructif pour comprendre les événements politiques de l’actualité, c’est la saisie a contrario des ‘éléments de langage’ (comme ils disent) de nos gouvernants et élites dirigeantes, repris par nos héraults de la médiacratie bien pensante : Malherbes, Gattegno et autres Barbier occupant sans contradicteurs les étranges lucarnes.
S’ils vous disent, comme Dray, qu’il ne faut pas s’alarmer d’une décapitation en France et ne pas ‘avoir peur’, c’est qu’ils savent très bien quelle réaction parfaitement naturelle auront les français. Ces derniers vont au contraire désormais se méfier de qui ils côtoyent puisque – on vient de le voir en Isère (après Kelkal, Merah, Nemmouche et Kouachi Brs) – n’importe quel musulman peut basculer dans le crime en appliquant les versets du Coran. Et en même temps, ils vont se rendre compte de la folle politique immigratoire mise en place en France depuis Giscard qui est le terreau de l’islamisation. Et cela nos gouvernants ne le veulent pas, s’appliquant sans cesse à voiler les faits car cette politique doit porter ses fruits : la disparition de notre nation. A l‘opposé, il faudrait donc bien sûr prendre en compte cette guerre que nous fait l’islam.
S’ils vous disent, comme Valls, que les premières victimes du terrorisme sont les musulmans, c’est bien évidemment, et au contraire, la réalité qu’il faut prendre en compte : ‘des’ musulmans tuent partout des non-musulmans en appliquant les principes musulmans. Il n’y a ni islamisme, ni salafisme, ni fondamentalisme mais seulement l’islam dont certains appliquent les règles et d’autres pas. Chez nous, ils agressent nos médecins et nos pompiers, nos journalistes, nos policiers et n’importe qui (Aurélie) et maintenant ils égorgent…
Ils le font comme ils l’ont toujours fait dans la longue et sanglante histoire musulmane qui a duré 14 siècles, que seules les batailles et leur propre décrépitude civilisationnelle avaient freiné. On n’a jamais vu de musulmans modérés manifester contre ces abominations et sitôt revenus sur scène grâce au pétrole (Arabie, Irak) ou au régime démocratique (Turquie d’Atatürk), redoutables inventions occidentale, ils réembouchent leurs vieilles lunes moyenâgeuses et relancent le jihad que seule la force peut stopper.
D’une façon générale, nos dirigeants veulent des choses qui n’ont rien à voir avec les desiderata des dirigés… Il représentent non pas leurs électeurs qu’ils trahissent après chaque élection mais une caste dirigeante dont ils sont la partie émergée ou à laquelle ils font allégeance contre émoluements conséquents. Ce qu’ils énoncent n’est jamais qu’une interprétation de la réalité en fonction de leurs choix.
Ils ont choisi l’islam!!!