C’est tellement énooooorme que même les journalistes sont enfin obligés d’en parler.
Il est, de la sixième à la première, élève du lycée La Providence, un établissement privé catholique d’Amiens fondé par la congrégation des jésuites21. Il poursuit ses études à Paris au lycée Henri-IV, où il obtient le bac S avec la mention très bien22. Il est également lauréat du concours général de français en 199422,23.
“Admis en hypokhâgne et khâgne au lycée Henri-IV (classes préparatoires de lettres CPGE B/L – filière lettres et sciences sociales), il échoue à deux reprises à l’écrit du concours d’entrée de l’École normale supérieure24,23,25. Il obtient par la suite une maîtrise26, puis un DEA27 de philosophie à l’université Paris-Nanterre28. Diplômé à 24 ans de l’Institut d’études politiques de Paris (2001), il étudie à l’ENA à Strasbourg de 2002 à 2004 dans la promotion Léopold Sédar Senghor29, pour laquelle le classement final est annulé par le Conseil d’État à la suite d’un recours pour excès de pouvoir30 (Emmanuel Macron fait partie des 75 requérants ayant saisi le Conseil d’État)31, sans que cela ait d’influence sur l’affectation d’Emmanuel Macron à l’Inspection des finances ni sur les autres élèves de la promotion32. Pendant sa scolarité à l’ENA, il effectue son stage en ambassade au Nigéria33.
Des éléments de sa biographie publiés dans les médias ont fait l’objet d’incertitudes et de contradictions. Ainsi, Emmanuel Macron semble avoir entretenu pendant un certain temps l’ambiguïté sur son prétendu passage par l’École normale supérieure25. Par ailleurs, il indique avoir réalisé un mémoire sur l’intérêt général, en rapport avec la philosophie du droit de Hegel, sous la direction d’Étienne Balibar, mais ce dernier indique ne pas avoir de souvenir ni de trace de cet épisode34, précisant : « Peut-être s’agit-il d’une censure inconsciente, je ne sais pas »35.”
Si l’on en croit sa fiche Wikipédia, a lire son cursus scolaire puis universitaire, Emmanuel Macron devrait disposer d’un vocabulaire étendu et connaître le poids des mots. Il est à craindre que de sa longue cohabition avec Brigitte, prof de français et de thèâre ne lui soit demeuré que l’esprit cabotin.