Les maires d’Occitanie ont eu l’insigne honneur d’être destinataires d’un courrier en date du 16 janvier dernier, émanant du Préfet de la Région Occitanie. Pas pour leur présenter ses vœux, c’était déjà fait… Mais pour leur demander, questionnaire à l’appui, de recenser les logements vacants de leur commune, en vue de loger… des migrants.
Vous penserez benoîtement que les communes destinataires sont des villes importantes, et qu’il s’agirait de faire le point sur les logements sociaux non attribués. Cela paraitrait quelque part déjà bizarre car de nombreux Français sont depuis des années en attente de logement à loyer abordable et ont subi des fins de non-recevoir à chaque demande auprès des offices idoines.
Mais détrompez-vous ! Les maires des petites communes ont reçu aussi cette demande tout près de ressembler à une réquisition du temps de l’occupation.
Que signifie donc, dans un village, le recensement des « logements vacants » ? Certainement pas des logements sociaux, le nombre de leurs habitants n’étant pas suffisant pour justifier pareille construction.
Il pourrait s’agir cependant, par exemple, d’anciens logements de fonction d’instituteurs vidés de leurs habitants pour cause de disparition d’une école victime de la désertification rurale. Ou bien de locaux communaux inutilisés.
Cela reste une bien maigre perspective. Pour ma part, je pense que, clairement, le gouvernement, par le truchement de ses sbires régionaux dénommés préfets, va réquisitionner des maisons privées inoccupées. Qui n’a vu, en traversant un village, une maison aux volets visiblement clos depuis longtemps ? Peu importe qu’elle appartienne aux descendants d’une famille locale qui veulent la conserver pour leur future retraite et renouer ainsi avec leurs racines. Le maire, complaisant ou contraint, n’aura pas grand mal à dénombrer ces foyers désertés.
L’essentiel sera de pouvoir y caser des migrants dont la déception sera aisée à deviner, dans un endroit isolé et n’offrant aucune des perspectives promises par le passeur qui les aura amenés sur nos côtes. Quant aux désordres engendrés par cette situation, circulez, y aura rien à voir !
Autres villes, autres cas de figure envisageables, sans esprit d’utopie. Par exemple, les stations balnéaires où certains studios restent obstinément vides à longueur d’année. Un tour de reconnaissance des boîtes aux lettres jamais vidées par les policiers municipaux, et voilà une moisson de points de chute pour des « chances pour la France »… Et si le premier magistrat de la commune renâcle pour protéger ses revenus touristiques, « on » saura bien lui faire entendre raison.
En un mot, braves gens, pendant que les commanditaires de l’islamo-mondialisme bétonnent leur tranquillité, leurs valets locaux organisent votre submersion par l’invasion migratoire de tous nos territoires, urbains ou retirés…
Le grand remplacement est en marche, à deux pas de chez vous !
Nicole Mina, Conseiller Régional d’Occitanie. Conseiller Municipal de Marsillargues.
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