Point de vue totalement européiste, qui casse l’entreprise publique et, présentant les conséquences pour les causes, défend la privatisation. C’est encore un exemple des dégâts de la soi-disant concurrence bénéfique. Un service public de qualité ne peut être rentable.
Le choix du démantèlement des services publics mène à la pauvreté, au chômage, à la perte du service public, à l’enrichissement de quelques-uns, au mépris du grand nombre. Le pire, c’est qu’on continue à seriner en sautant sur sa chaise comme un cabris (pour rappeler un grand politique amoureux de la France) ‘privatisation’ ‘privatisation’, en invoquant la sacro-sainte concurrence pourvoyeuse de progrès. Basta !
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