Pour le premier ministre hollandais, si l’immigration massive n’est pas stoppée, l’Europe connaîtra le sort de l’Empire romain

Olivier Bault
29 novembre 2015
Latest Update: 29 novembre 2015 8 h 39 min
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« Comme nous le savons tous, les grands empires tombent lorsque leurs frontières ne sont pas bien protégées. », a déclaré le premier ministre hollandais Mark Rutte dans une interview avec plusieurs journaux étrangers (ici dans le Financial Times). Néanmoins, comme Angela Merkel, il compte sur la Turquie pour stopper l’émigration musulmane vers l’Europe, ce qui, avec des dirigeants turcs liés aux Frères musulmans, relève du fantasme. Sans doute le premier ministre hollandais se sent-il, comme son homologue français Manuel Valls, obligé de dire aujourd’hui sur la surveillance des frontières ce que le premier ministre Viktor Orbán dit depuis déjà très longtemps à cause de la montée dans les sondages du PVV (Parti pour la liberté) de Geert Wilders, parti anti-immigration allié au FN français au Parlement européen. Celui-ci poursuit sa progression dans les sondages et est désormais largement en tête des grands partis.

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Tonio , 29 novembre 2015 @ 9 h 57 min
“..l’Europe connaîtra le sort de l’Empire romain….”
après avoir commis les mêmes erreurs: faire garder ses frontières par des populations qui n’avaient pas d’autre idée que de les franchir dès que possible.
Donnerait-on ses moutons à garder à des loups dévorants ? Que non pas !
mais l’UE est si bête, et si gentille, qu’elle fait tout le contraire de ce qu’il faut quand il le faut: évidemment, être gouvernés par des Hollande, des Valls, des Juncker, des Schulz ne peu que conduire au suicide programmé de la civilisation occidentale, pour mourir dans les bras de USA qui n’attendent que de cueillir ce fruit mûr!
Tonio , 29 novembre 2015 @ 10 h 26 min
Et c’est exactement ce qui est arrivé à Byzance au VIIe siècle: ses frontières sud ont été bousculées par les pillards arabes, avec la complicité des populations arabes des frontières dont Byzance, moyennant finance, leur avait confié la garde; on a vu ce qu’il en est advenu : “Talis erat enim fides punica …”
mais soyons sûrs que les leçon de l’Histoire n’inspire pas nos fumeux dirigeants, puisqu’ils ne se fient eux qu’au sens de l’Histoire et non pas à ses leçons: mais que peut-on apprendre d’un sens de l’Histoire qu’on ignore ?
Bonne blague pour faire phosphorer nos zélés disciples des petits pères marxistes…
Pupuce , 29 novembre 2015 @ 11 h 55 min
L’inculture les caractérisant, ils n’ont jamais entendu parler de la fin de l’empire romain et encore moins de Bysance.
KAMISAN , 29 novembre 2015 @ 12 h 11 min
La relation de causes à effets : Pressions migratoires, déficit démographique, religion du renoncement et du pardon, trahison “communautaire “, … tout y est, plus qu’à laisser jouer le temps et l’occident sera définitivement détruit !

Un remède ?, encore faudrait il que le malade l’accepte : Une contre culture totale : Arrêt de la TV, purge de l’info, politique nataliste, arrêt de la double nationalité, changement religieux radical, inversion migratoire etc…enfin ça c’est de la science fiction, la bête est moribonde, rassurez vous le nom France perdurera un petit moment, 50 /100 ans après ça sera une autre Histoire…
Trahi , 29 novembre 2015 @ 18 h 24 min
Ha oui, pépère et en tant que premier ministre, tu fais quoi.
Tous les premiers ministres sont TOUS pareils.
franchou , 29 novembre 2015 @ 19 h 43 min
Je suggère au premier ministre hollandais de lire le livre d’Henry Bergasse publié en 1975 (déjà!) intitulé ” le Tocsin de la Décadence” (les Belles Lettres).
En avant-propos, il écrivait:
“Quant,en l’an 167, les premiers barbares montèrent à l’assaut de la ville d’Aquilée, le tocsin sonna pour en alerter les habitants. Mais, ce que les Romains n’entendirent pas, ce fut le tocsin de leur propre décadence, qui allait donner le signal à bien d’autres invasions.
-Peut-être sommes-nous sourds à des prémonitions semblables!
Peut-être nous abusons-nous sur notre propre sécurité”.
Tonio , 30 novembre 2015 @ 6 h 34 min
Je vous suis, mais où sont les autres ?