François Fillon, candidat à la primaire de la droite, a axé son discours sur “la France profonde”, affirme Claude Askolovitch. “Il considère que le paysan de la Sarthe en sait plus sur les réalités de l’économie, que tous les beaux esprits de la capitale”. Première cible : “Paris, les énarques, l’administration, la sur-étatisation, un discours très conservateur, voir réactionnaire”, selon Claude Askolovitch. Seconde cible : “les musulmans qui doivent rentrer dans le rang”, selon l’éditorialiste. Et troisième cible, son rival Nicolas Sarkozy. François Fillon a eu sa petite pique pour l’ancien président et ses démêlés avec la justice : “Qui imagine un seul instant le général de Gaulle mis en examen ?”.
Claude Askolovitch dénonce “un discours conservateur, voir réactionnaire” de François Fillon…
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