“Flouter” les terroristes pour nier les tueries islamistes!

Mardi 26 juillet, Europe 1, BFM TV et les chaînes de France Médias Monde (RFI, France 24 et Monte Carlo Doualiya) ont décidé de ne plus diffuser les photographies ainsi que les noms des terroristes. Le Monde et La Croix viennent de leur emboîter le pas. Les auteurs d’attentats deviendront-ils bientôt des « nonêtres » ? Ce terme de novlangue orwellien désigne, dans le roman 1984, ceux dont on effaçait l’existence jusque dans les archives des journaux : « Celui qui a le contrôle du passé, disait le slogan du Parti, a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé. »

La presse utilisait déjà un vocabulaire inapproprié pour décrire les islamistes. Selon le dictionnaire, un « forcené » est un individu « qu’un accès de folie, une forte émotion rend, a rendu très violent ». Au hasard de leurs sautes d’humeur, en somme, ces barbares massacrent des centaines de Français avec un raffinement particulier.

De même manière que le parti de fiction, l’ANGSOC, a fini par déclarer que « deux et deux font cinq », nos bien-pensants nous assureront qu’il n’y a plus d’attentats, que « ça va mieux ». Quelle sensation de malaise donne cette impression d’évoluer dans une dimension parallèle ! Quelle dépossession de notre propre pays, dont les élus ne veulent pas assurer la sécurité !

La gauche, déjà connue pour ses dénis pathologiques de réalité, a-t-elle fait pire ? Face à la nouvelle, le lectorat du Monde se réjouit et pousse des soupirs de soulagement. Cachez cette vérité que je ne saurais voir : cette indécente célébrité posthume pourrait inspirer d’autres « forcenés » à chercher leur part de gloire ; il est « fatiguant » de trouver ces noms et ces visages synonymes d’horreur à répétition, oublions-les un peu…

D’ailleurs, le dernier article publié sur Adel Kermiche, se targuant d’expliquer « pourquoi l’un des auteurs de l’attentat avait été remis en liberté », prend des allures de plaidoirie : l’auteur insiste sur le « parcours chaotique » d’un « jeune homme » qui rêvait de devenir « aide médico-psychologique » et se décrivait comme « un musulman basé sur les valeurs de miséricorde, de bienveillance ». Assigné à résidence chez ses parents avec un bracelet électronique, il bénéficiait d’une permission de sortie le mardi matin pour sa « prise en charge psychologique »…

La suite de l’histoire, nous la connaissons. Une phrase que les Français sont condamnés à conjuguer à tous les temps, si ce gouvernement se maintient encore au pouvoir. Trump déclarait, mercredi, que « la France n’est plus la France ». Il a bien raison : la République des Lumières précipite notre pays dans le chaos.

Virginie Vota – Boulevard Voltaire

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“Urgence d’un “grand accord” entre les médias: ne plus donner ni le nom, ni la photo, ni l’itinéraire et la vie des assassins djihadistes.”

Délit d’images, site de réinformation, tient à préciser qu’il se fait un devoir de ne pas céder aux injonctions de BHL et de ses acolytes, et de toujours vous communiquer éléments disponibles, noms, photos, etc., auxquels ses intervenants ont accès.

 

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                                                                    Adel Kermiche a assassiné le père Jacques Hamel au nom de l’islam.

 

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                                                                              Malik Petitjean a assassiné le père Jacques Hamel au nom de l’islam.

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