Au milieu du XXe siècle, un Américain a mené la plus grande enquête statistique jamais réalisée jusqu’alors sur la sexualité. Pour y arriver, le docteur Alfred Kinsey et son équipe ont questionné des milliers d’Américains et d’Américaines. Mais ces derniers ne leur ont peut-être pas dit la vérité. Et plus tard, il y a eu Google. Selon Seth Stephens-Davidowitz, analyste de données passé par Harvard puis Google, on ne ment pas au plus célèbre des moteurs de recherche. Pourquoi ? Parce que personne ne cherche à plaire à un logiciel. Seth Stephens-Davidowitz a étudié toutes sortes de questions que posent les gens à Google, dont celles concernant leur sexualité.