Des centaines de squelettes humains utilisés comme remblais par la mairie de Rennes!

Alors que la mairie socialo-marxiste de Rennes se gargarise de la « prouesse » technique de la mise en lévitation du Couvent des Jacobins – ce qui ne manque pas de faire bêler d’admiration les masses abruties -, il convient de jeter un éclairage plus précis sur cette opération d’enfumage médiatico-politique.

Tout d’abord, il y a le symbole du couvent, à différents niveaux, et en premier lieu, comme témoin de l’union définitive de la Bretagne à la France, car en effet il s’agit de l’endroit où furent célébré les fiançailles d’Anne de Bretagne et de Charles VIII. Donc avant tout le symbole de la sujétion de la nation bretonne à la couronne française.

Les 6 et 7 février, les Rennais sont invités à découvrir le chantier du centre des congrès lors de sa phase la plus spec

Ensuite, il y a le nom. Et là seuls les béotiens qui pullulent ou les naïfs ne voient pas la référence : les Jacobins – initialement le nom de l’ordre religieux qui l’occupait, mais du temps de la Révolution l’appellation d’un des clubs parisiens des plus fanatiques, des plus farouchement centralisateur -. Et c’est bien là que ce situe le but de cette aberration stalinienne, d’un montant exorbitant pour les Rennais – mais le prix à payer dépasse largement ce qu’ils peuvent imaginer, ce qu’ils vont voir sur leur feuille d’impôt à venir – la centralisation de la culture, son nivellement dans ce nouveau centre des congrès totalement enclavé dans la vieille ville, en dépit du bon sens.

Des centaines – oui des centaines – de dépouilles mortelles provenant de la nécropole se trouvant sous le couvent sont partis avec les gravats pour servir de remblais pour les routes et pour combler les anciennes carrières.

Sans même parler de la perte inestimable que cela représente pour l’archéologie, où est le respect pour nos morts, pour notre culture ? Ma digaréet tout cela part dans les chiottes tandis que le péquin moyen s’ébaubit devant les pilotis qui font se lever l’édifice entier de 1cm (Dieu soulève les montagnes, la Technocratie satanique soulève les couvents, autres temps autres mœurs).

Que dire aussi de la « restauration » très douteuse, si ce n’est qu’elle correspond bien avec l’esprit qui la préside ? C’est à dire faire du neuf avec du vieux (plancher béton dans les étages, suppression de belles portes anciennes, le couvent lui-même éclipsé par une énorme verrue en béton), et si possible en bafouant la nature bretonne (chêne pluriséculaire abattu pour devenir un échantillon de charpente et donc destiné à finir au feu, structure mettant en péril le couvent par l’absence de prise en considération d’un séisme potentiel).

C’est la haine du christianisme qui est surtout probante ici, et elle s’exprime de façon encore plus clair lorsqu’un élu lambda – socialiste, cela va sans dire – se demande – par voie de presse, histoire de sonder nos cœurs, bien défaillants en ces temps d’Apocalypse – si nous ne devrions pas abattre la Basilique Notre Dame De Bonne Nouvelle sise en face, lieu qui vit le baptême du Bienheureux Marcel Callo, déporté par les nazis pour son engagement catholique.

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