École maternelle de Joué-lès-Tours : deux enfants invités par la maîtresse à baisser leurs pantalons et à se toucher mutuellement le sexe
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Tout ceci est rapporté. Méfiance. Ne jamais croire à l’aveugle. La police doit prendre cette affaire en charge et démêler le faux du vrai.
monhugo , 30 mars 2014 @ 16 h 05 min
Il n’y a jamais eu “d’incitation” de mineurs à la débauche dans notre code pénal.
Il s’agissait “d’EXCITATION à la débauche”. “Excitation” dans le sens de “pousser à”.
On parle aujourd’hui de “corruption de mineurs”.
Il n’est évidemment pas du tout question ici de tout cela. La très “pédagogue” institutrice n’étant pas tentée par un quelconque proxénétisme !
Serait-on dans le domaine de l’ancien attentat à la pudeur, devenu “atteinte sexuelle sur mineur” ?
Avec la circonstance aggravante que ce soit une maîtresse d’école (personne ayant autorité) qui se soit improvisée en “maîtresse de cérémonie”.
Les juridictions répressives auront donc d’abord à qualifier cet étonnant exercice de “touche-pipi” dirigé en public (les autres enfants). Lourdes peines encourues (amende, voire prison), et dommages-intérêts au civil. Sans compter qu’une telle “enseignante” mérite la révocation.
Fleur , 30 mars 2014 @ 16 h 07 min
Ainsi va “l’école de la République”, version Hollande-Peillon-Belkacem-LBGT…
Beau résultat de ces apprentis-sorciers, tellement nuisibles parce que totalement immoraux !
Qu’on les chasse vite fait du “sanctuaire” scolaire, devenu grâce à eux un enfer pour ces malheureux enfants, innocentes victimes de leur idéologie aussi asservissante que salace !
monhugo , 30 mars 2014 @ 16 h 08 min
Si les faits sont établis, et qualifiés en “atteintes sexuelles sur mineurs” (2 enfants en cause), c’est du ressort du tribunal correctionnel. Délit, et non crime.
Fleur , 30 mars 2014 @ 16 h 13 min
Le certificat médical reproduit sur le Salon beige montre la véracité de la parole de l’enfant dans le cas présent. Il a bien été abusé, humilié et gravement blessé par deux idéologues débauchées qui n’ont pas leur place dans le “sanctuaire” scolaire de la République.
monhugo , 30 mars 2014 @ 16 h 15 min
Il ne peut en effet être question de “lynchage” a priori de l’enseignante.
Il faut établir et qualifier très précisément les faits.
Les enfants (victimes possibles, comme assistance) sont fort jeunes. Il faut du doigté et de l’expérience pour recueillir les témoignages, avec des si jeunes sujets. Enquête sérieuse. Puis plaintes, si nécessaire. Après, la machine policière et judiciaire peut se mettre en branle.
Michèle Succoja , 30 mars 2014 @ 16 h 27 min
Il faut recueillir le témoignage de la fillette qui est aussi concernée. Une plainte doit être déposée contre l’établissement et l’enseignante. Vous pouvez lancer une pétition sur le site “petition.com” pour obtenir une mobilisation massive des Francais.
Nous sommes tous responsable des jeunes et des générations futures, nous ne devons pas laisser ces énergumènes toucher à nos valeurs. Bon courage et ne lâchez rien.
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