École maternelle de Joué-lès-Tours : deux enfants invités par la maîtresse à baisser leurs pantalons et à se toucher mutuellement le sexe

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  • sacha79 , 31 mars 2014 @ 13 h 59 min

    je suis tout a fais d’accord. J’espere que le courage de se petit garçon, aideras les mamans de petites filles de sa classe à remarquer tout changement de comportement, de façon a avoir un autre temoignage mais aussi et surtout de pouvoir aider psychologiquement ces enfants

  • monhugo , 31 mars 2014 @ 15 h 16 min

    Essayez de lire (et comprendre).
    “Affaire” à préciser. Pour l’instant, une instrumentalisation d’un “ouï-dire”. Point barre.
    Aucun autre enfant n’a confirmé, semble-t-il. Un peu de sérieux. Stop aux “rumeurs”, même si elles sont conformes à un (mauvais et généralisé) vent, avéré.
    Les raisons, fondées, de s’insurger ne manquent pas. Inutile d’en inventer !

  • Claire , 31 mars 2014 @ 16 h 30 min

    Curieux tout-de-même qu’une institutrice ne se déplace pas urgemment pour
    nier ce genre d’accusation et calmer la situation. On peut quand même quitter
    un stage dès lors qu’il est question du mal être d’un enfant affirmant avoir subi une
    pénible expérience scolaire. Le fait que seule la Directrice apparaisse alors qu’une
    autre personne adulte est en cause est très très troublant…

  • gerard57 , 31 mars 2014 @ 22 h 28 min

    Un enfant traumatisé peut refuser de redescendre son pantalon. Il faut des spécialistes ici. C’est compréhensible.

  • gerard57 , 31 mars 2014 @ 22 h 32 min

    D’accord avec vous. Ils rejoignent un “journaliste” du Monde sur ce point, qui dans son papier, ne pose à aucun moment la question d’une véritable enquête et d’un établissement des faits véritables. C’est sidérant et inquiétant :

    http://education.blog.lemonde.fr/

  • Maurice , 1 avril 2014 @ 6 h 46 min

    La mère a voulu porter plainte et une personne (je ne me souviens plus du nom donné à sa fonction) a voulu ausculter le petit garçon qui s’est réfugié en pleurs auprès de sa mère en s’accrochant à ses jambes.
    N’ayant pas pu l’ausculter, la plainte n’a pas été jugée recevable. (allez sur le SB et vous y lirez la lettre)
    cette affaire doit être vraie ! Le nier est normal vu que les preuves viennent que d’un côté, mais l’enseignante reconnaîtra-t-elle ses actes, si actes il y a ? Rien n’est moins sur vu le peu de franchise que certains enseignants ont.

    Il y a trois enfants de concernés, ne l’oublions pas, mais les autres qui ont été témoins de la scène, ont-ils pensé ? – Chouette ont va voir des zizis ! – en chantant le zizi de Pierre Perret ?
    Au nom de pensée délirante tout et n’importe quoi est fait.
    Heureusement qu’il y a des écoles nous convenant mieux, les efforts que les parents font pour y envoyer leurs enfants ne sont pas vains ! ! N’est-ce pas normal de se priver pour le bien-être futur de ses enfants ?
    Attendons de voir ce qu’il va être décider pour cette enseignante, mais je crains que ses congénères profs ne montent aux créneaux pour la défendre au nom de tout ce qu’il vous passe par la tête.
    Après les cours sur le – gender – la pratique ? Que va-t-il en être pour les ados ? !

  • Kanjo , 2 avril 2014 @ 17 h 16 min

    Attendez qu’on soit sûr, par le témoignage des autres enfants, de ce qui c’est vraiment passé avant de livrer cette femme à la vindicte populaire. Si les faits sont avérés, cette femme est odieuse, mais, comme à Outreau, il y a peut-être des innocents qui vont se retrouver en prison pendant que les coupables se la coule douce. Ne condamnons pas sans preuve.
    Par contre, par mesure de précaution, il faudrait mettre ces deux enfants dans une autre école pour les séparer de cette maîtresse en attendant de savoir.

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