En Corse, comme partout en France, il est grand temps d’appliquer la loi Pleven contre le racisme.
Rappelons que sont punis comme complices ceux qui, par un moyen quelconque, auront directement provoqué l’auteur de crimes ou de délits à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion.
Qui, à Ajaccio, a provoqué ceux qui ont tendu un guet-apens aux pompiers et aux gendarmes et ceux qui ont violemment manifesté contre ces crimes et délits ?
Qui ?
Mais ceux qui, depuis le Président Pompidou, ont importé de la main-d’œuvre pas chère des anciennes colonies.
Ceux qui ont renoncé à défendre les ouvriers français pour recruter de nouveaux adhérents pour une CGT et un Parti communiste en déclin.
Ceux qui ont instauré le regroupement familial (Chirac et Giscard), aggravant les comptes sociaux en donnant des droits à des familles n’ayant jamais cotisé.
Ceux qui ont appliqué la discrimination négative à l’embauche dans des entreprises publiques ou privées au détriment des Français de souche.
Ceux qui ont, par magie, trouvé des HLM pour des réfugiés au détriment encore de Français attendant avec patience leur tour.
Ceux qui ont abandonné les « petits Blancs » dans les centaines de zones de non-droit.
Ceux qui financent les mosquées.
Ceux qui détruisent les églises.
Ceux qui ruinent notre économie en mondialisant notre industrie, créant des chômeurs en France et des esclaves dans le monde pauvre.
Il est temps de demander des comptes à nos politiques et à nos capitaines d’industrie qui ont déserté l’intérêt national, à nos intellectuels et à nos pisse-copie qui ont perdu les Français dans la haine d’eux-mêmes et de leur pays.
Tous ces tristes sires méritent bien d’être condamnés pour avoir installé la haine et la violence dans notre France.
Pierre Lours – Boulevard Voltaire