Nigel Farage : les partisans d’une Europe des nations ne sont ni des malades mentaux ni des dangers pour la civilisation

19 Comments

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  Diex Aïe ! , 30 octobre 2013 @ 11 h 19 min

  La nation comme le mot le dit, c’est la terre où l’on est né! Tout comme la patrie est la terre de nos pères. Ainsi, un breton se sent patriote en France qu’il reconnait comme étant sa nation puisque ses pères l’ont défendu jusqu’à la mort en 14-18.
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  Bleu, blanc...Roi! , 30 octobre 2013 @ 20 h 23 min

  Ce ne sont pas l’Europe des Etats-nations, mais l’Europe des Etats souverains qu’il faut soutenir.
  La menace independantiste qui sent la lutte des classes doit etre neutralisée, au profit d’un régionalisme libéré du jacobinisme comme du marxisme. La subsidiarité, en un mot, qui fait la part belle aux expressions culturelles locales.
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  Alverma , 31 octobre 2013 @ 8 h 19 min

  Il faudrait expliquer aux petits ambitieux locaux que les services centralisés d’un État reviennent bien meilleur marché (aux contribuables) que les mêmes services décentralisés. Dans cette logique, la construction de l’Europe devrait passer par un État européen central fort (armée, finances, marchés, etc…) et laisser aux États nations le loisir de gérer à leur goût le reste (la santé et l’éducation par exemple, l’organisation du territoire), sauf ce qui est d’intérêt général (routes, trains, canaux). C’est parce que tout cela reste confus que l’Europe ne se fait pas.
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  Alverma , 31 octobre 2013 @ 8 h 28 min

  C’est beau l’étymologie (je m’en sers souvent moi-même) mais ça ne dit pas tout. Où commence et où finit la terre du père et la terre de la mère? Les catalans séparatistes vous diront qu’ils sont “une nation” et ils ne sont pas patriotes espagnols pour un sou; cependant, très souvent, leurs pères venaient d’ailleurs…

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