Le Parti socialiste veut pénaliser l’information équilibrée sur l’avortement

107 Comments

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  olivier84 , 29 septembre 2013 @ 8 h 06 min

  Tout à fait d’accord sur la sanction sur les sites “menteurs et trompeurs”. Mais dans ce cas, c’est à l’ensemble des sites internet qu’il faut étendre une telle pénalisation, des sites révisionnistes aux sites d’extrême gauche, pas seulement à l’IVG. C’est cela qui crée un trouble et qui donne le sentiment de vouloir museler les infos alternatives.
  Notez que je suis pro-ivg mais que je comprend ceux qui ne le souhaitent pas, que j’estime que cela ne soit être que le dernier recours, et que je tiens plus que tout à la liberté d’expression, qu’elle soit pro ou anti ivg (nb : le mensonge pro ou anti n’est pas une expression, ce qui rejoint le début de ma réponse)
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  MP , 29 septembre 2013 @ 8 h 50 min

  Je vous signale un mémoire d’étudiante sage-femme trouvé par hasard sur internet qui me paraît très intéressant, puisqu’il évoque l’IVG chirurgicale comme origine possible (mais méconnue ?) d’un important dysfonctionnement physiologique à l’accouchement, dont mon enfant et moi avons pâti à mon premier et dernier accouchement alors que j’avais subi une IVG chirurgicale (“par aspiration”) étant jeune. Il s’agit de la dystocie cervicale (anomalie de la dilatation du col de l’utérus).

  Extraits du mémoire :

  “La dystocie cervicale est une dystocie dynamique faisant suite à une
  pathologie cervicale préexistante ou non à l’accouchement. Elle se
  caractérise par un défaut de dilatation cervicale (même niveau de
  dilatation perdurant au minimum deux heures) plus ou moins accompagnée
  d’anomalie de la consistance cervicale comme une tonicité, un oedeme, un
  spasme…
  (…)
  Les dystocies peuvent apparaître sur un col fragilisé c’est pourquoi nous
  nous sommes intéressés à tout ce qui peut irriter le col. On retrouve par
  exemple : les conisations, les IVG (chirurgicales ou par curetage) ou les
  autres cicatrices cervicales.
  (…)
  L’arrêt de la dilatation est souvent responsable d’une agitation
  maternelle due à une hyperalgie (douleur) très importante. Cette dernière
  s’explique par la présence de contractions utérines intenses non suivies
  de modifications cervicales.
  (…)
  La précocité de la prise en charge d’un arrêt de la dilatation pendant
  le travail est d’une importance capitale pour la diminution du nombre de
  césariennes. Outre le risque de césarienne, cette pathologie peut générer
  une augmentation de la durée du travail responsable d’un état néonatal
  initial moins satisfaisant.”

  (message précédent non envoyé : lien vers le mémoire censuré par le modérateur du site ?)

  Pour info également, sur le col de l’utérus cicatriciel après une IVG chirurgicale :
  La technique chirurgicale consiste en une aspiration de l’oeuf, précédée d’une dilatation du col de l’utérus :
  * l’ouverture du col utérin peut être facilitée par l’administration d’un médicament ;
  * une canule de calibre adapté à l’âge de la grossesse, introduite par le médecin dans l’utérus, est reliée à un système permettant l’aspiration du contenu de l’utérus.
  L’intervention peut être réalisée sous anesthésie locale ou générale. La femme choisit avec l’aide du médecin le mode d’anesthésie le mieux adapté à sa situation.
  Une hospitalisation de quelques heures est suffisante, le plus souvent, pour une IVG, même si elle est pratiquée sous anesthésie générale. L’intervention se déroule dans un bloc opératoire. Elle dure une dizaine de minutes.

  Il faudrait lancer une pétition sur change.org en faveur de l’information équilibrée sur l’IVG, par rapport à la censure fomentée le gouvernement, et faire relayer la pétition par des sites comme Nouvelles de France. Nous serons je pense très nombreux à la signer. Sans doute que la vox populi ne pesera pas lourd pour nos dirigeants comme d’habitude, mais “on a fait ce qu’on doit quand on a fait ce qu’on peut”.
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  MP , 29 septembre 2013 @ 8 h 57 min

  Pour retrouver le mémoire que je cite, tapez “dystocie cervicale stagnation de la dilatation bohler” dans Google (1er lien). Enregistrez-le rapidement avant qu’il ne soit retiré.

  Cher Monsieur Martin, pourquoi mon commentaire précédent contenant le lien vers le mémoire que je cite a-t-il été directement censuré (même pas en attente d’une modération) s’il vous plaît ?
  Merci bien d’avance pour votre réponse.
  Bien cordialement.
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  MP , 29 septembre 2013 @ 9 h 21 min

  Le site IVG.net rappelle ceci (L’IVG en France) : L’IVG (interruption volontaire d’une grossesse) est réglementée depuis 1975 par la loi Veil qui stipule dans son art. 1er que « la loi garantie le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi »
  Elle est réalisée à la demande d’une femme enceinte estimant que son état la place dans une « situation de détresse ».

  Normalement, l’IVG, qui est un meurtre (de la vie), ne devrait être autorisé qu’en cas de légitime défense de la mère.
  Or, aujourd’hui en pratique, avec la liberté SANS CONDITION donnée à la femme de tuer (meurtre) la vie apparue en son sein, c’est le droit de la femme à ne pas donner la vie (sans que sa santé ou sa propre vie ne soit menacée) qui prime sur le droit de la vie à continuer. Hors cas pathologiques, c’est le droit de tuer autrui (sans excuse de légitime défense) qui prime sur le droit de vivre et de naître d’autrui.

  http://www.doctissimo.fr/html/grossesse/evolution-du-foetus/semaine-12.htm
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  Sentinelle , 29 septembre 2013 @ 9 h 49 min

  C’est aussi une façon d’accélérer le remplacement du peuple.
  Les musulmanes n’ont pas le droit d’avorter , donc en incitant les françaises à le faire, ils contribue à placer leur orphelins musulmans en adoption par des français, mais ………..à leur conditions. Personnellement je n’en voudrais pas.

  N’oublions pas que Belkasem est arabe musulmane, donc pro-destruction du peuple Français.
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  Sacha , 29 septembre 2013 @ 10 h 36 min

  J’allais écrire dans votre sens… Entièrement d’accord !
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  Dōseikekkon , 29 septembre 2013 @ 16 h 08 min

  « meurtre (de la vie)
  (…)
  tuer (meurtre) la vie
  (…)
  le droit de tuer autrui »

  Propos outranciers, qui ne peuvent que discréditer ceux qui les tiennent !
  Parce que, à ce compte-là, quand j’arrache une laitue ou des patates, c’est un meurtre (de la vie)…
  Et on se demande ce que peut bien signifier le droit d’autrui lorsque autrui… n’existe pas encore !

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